Le Loup Et Le Chien Dialogue Argumentatif

Étudier la fable au cycle 3 1. Présentation du genre littéraire Définition de ce genre littéraire : récit généralement court permettant d’illustrer un précepte (texte narratif et argumentatif) Au fil du temps, la fable a beaucoup évolué, de synonyme de « mythe » dans aux XVII° et XVIII° siècles, elle s’est souvent rapprochée du conte (qui comporte parfois une moralité). De plus, le mot « fable » renvoie à la fiction, au merveilleux, voire au mensonge (polysémie à envisager avec les élèves). La

=> il était en prison mélancolique.         LA3   Raymond Queneau, ​ Le Chien à la mandoline​ , «La chair chaude des mots» ,1958    Introduction:  ● Début XXème : «Avant garde» poétique = modernité =entrer dans phénomène urbain  ● Changement de thème et modernité des formes, perspectives et regard du poète sur  l’oeuvre.  ● Poésie du XXème = réflexion sur les genres, langage et importance de l’écriture.   ● Titre renvoie à Queneau. Chien = lui­même / mandoline = lyre du peuple  ● Sonnet isométrique, alexandrins

112 Enoncé du devoir ________________________________________________ Corpus Texte A : Jean de La Fontaine, « Le Loup et le Chien », Fables, 1668-1696. Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, 1668-1696. Texte C : Jean de La Fontaine, « Le Lion et le Moucheron », Fables, 1668-1696. Texte D : Jean Anouilh, « Le Loup, la louve et les louveteaux », Fables, 1946. Texte E : Jean-Jacques Rousseau, Émile ou de l’éducation, 1762. Questions

crainte. La démarche persuasive s’appui souvent sur les registres pathétique et lyriques propres à toucher le destinataire, ou sur le comique, propre a éveiller sa complicité. Pour influencer son lecteur ou son auditeur, l’énonciateur du discours argumentatif peut associer l’art de convaincre et l’art de persuader. c. Délibérer : consiste à discuter sur un thème afin de se forger une opinion ou d’aboutir à une décision. Cette confortation de points de vue peut-être individuelle ou collective, intérieure

XIV. Le terme latin de fabula a désigné dès l'Antiquité le récit. Le mot français fable en vient à désigner un récit à valeur morale. C'est dans ce sens que l'emploie La Fontaine dans ses recueils. Dans le Loup et l’Agneau qui est un récit très court, il présente la rencontre entre un loup affamé et un Agneau naïf. La suite de cette rencontre ne fait aucun doute puisqu’elle est annoncée dans la morale au début de la Fable, écrite en hétérométriques. La Fontaine comme il le dit lui-même « se sert

3. Les compétences globales du cycle moyen et du 3 ème palier 4. Les compétences terminales / leurs composantes et objectifs d’apprentissage 5. L’approche par compétences 6. L’organisation de l’enseignement-apprentissage en projets 7. Le texte argumentatif 8. Les situations d'apprentissage 8.1 Les caractéristiques d’une situation d’apprentissage ? 8.2 Les exemples de situation d’apprentissage 9. L’évaluation 10. Les thèmes et supports II. Présentation du manuel III. Structure de la séquence

Le Loup et l’agneau, La Fontaine, Fables, I,10 Eléments d’introduction □ Rappeler ce qu’est une fable en présentant l’œuvre de La F □ Premier recueil- inspiration ésopique plus marquée- finalité didactique plus évidente- et moralité de nature pragmatique (comment agir tous les jours) □ c’est le cas ici- moralité de cette fable plus pragmatique que juste et morale ! □ penser à présenter le contenu de la fable : agneau paisible qui finit par se faire dévorer par un loup au terme d’une

vous mangez du sucre en Europe » Le discours d’un vieux Tahitien Décoder les images : de l’explicite à l’implicite Chapitre 3 > Le dialogue argumentatif : regards croisés sur l’Autre A B ........................................................................... 241 Un dialogue théâtral Le dialogue philosophique Chapitre 4 > Le texte argumentatif polyphonique : voix croisées sur l’Autre A B ....................................................................................

humains : l’innocence et la barbarie/ la victime et le tyran + à la fin : le récit toujours au présent de narration : « l’emporte et puis le mange » = brutalité + l’acte en train de se faire -> cruauté en actes. A l’intérieur du récit : le dialogue (quelques incises soit au présent, soit au passé simple) Présent de l’énonciation : caractéristique du discours/ théâtre = mimésis. // fable anthropomorphe, comme la plupart des fables = animaux qui sont à notre ressemblance… Je chante les

guides propres à l’orienter », écrit la philosophe Hannah Arendt. Une telle affirmation confère à l’expérimentation un rôle primordial dans la formation de notre pensée et suggère que le récit d’expériences – réelles ou fictives – est un moyen argumentatif infaillible pour forcer l’adhésion d’autrui. Mais n’est-ce pas une position un peu extrême ? Certes, il faut accorder dans sa réflexion une place à l’expérience vécue. Cependant son efficacité présente des limites – voire des dangers – et requiert