Le Lutrin

les satires du style d'Horace (cf notamment Boileau.). L'on assiste aussi à la renaissance de l'épopée de type Homérique ou Virgilienne. Mais ce genre ne connait aucun succès. Voire notamment la Pucelle de Chapelain, décriée par Racine et Boileau. Seul le Lutrin de Boileau, épopée satirique, nous reste familier. Jean Pierre Collinet lorsqu'il a établi des éditions des œuvres de Boileau et Perrault, a fait remarquer que le XVIIe siècle est, malgré les apparences, un siècle sans poésie et que seuls La Fontaine ou

Diffusion Les expositions de ses travaux constituent le premier moyen de diffusion. Elles sont mises en scène de façon à ne pas prendre le pas sur les lieux qui les accueillent mais à les investir et en tirer partie. Pour l’exposition à la BnF les lutrins sont réutilisés non pas pour lire mais pour regarder. Autre point intéressant à noter, Sophie Calle n’expose pas ses photographies sous verre comme il est habituellement coutume. Ce choix tend à les rapprocher de la peinture et supprime peut-être

Approfondir l'étude du personnage principal › Reconnaître le registre pathétique › Repérer l’ironie du narrateur Dominante Lecture analytique Vocabulaire : Nef (p. 34) : partie centrale d'une église qui va de l'entrée au choeur, au fond de l'église. Lutrin (p. 34) : pupitre. Abside (p. 34) : extrémité d'une église, derrière l'autel. Saint-Esprit (p. 34) : une des trois figures de Dieu dans la religion chrétienne, souvent symbolisé par une colombe. Tabernacle (p. 34) : petite armoire où sont conservées

Congrégation du Saint Sacrement, représentant la société des dévots au XVII° siècle. Marivaux fait à nouveau usage de l’intertextualité dans la troisième partie (p 182) en insérant dans le roman un vers de Boileau, tiré de son poème héroï-comique Le Lutrin qui dit « tant de fiel entre-t-il dans l’âme des dévots ? » l’utilisation de cette question rhétorique, employée par une icône de la littérature française du XVII° prouve que ce thème de la critique des faux dévots, qui sous des apparences de piété

d'Outre-tombe, 1re partie Livre 8 Chapitre 4 [poétique] répétition de mesures sur plusieurs vers, généralement par des tétramètres « Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent » — Boileau, Le Lutrin répétition phonique l’allitération répétition sur plusieurs mots d'une sonorité consonantique (harmonie imitative) « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » — Racine, Andromaque, acte V scène 5 l’assonance [stylistique]

Jérusalem délivrée) du Tasse inspirent plus encore que l’Eneide de Virgile ; ses drames pastorales inspirent aussi. Le burlesque n’est pas non plus absent de l’inspiration italienne, reprise par Saint-Aman dans la Rome Ridicule ou par Boileau dans Le Lutrin. Le genre de la tragédie lyrique et de l’opéra avec Lully et Quinault marque l’aboutissment le plus spectaculaire de cette inspiration en plein règne de Louis XIV. L’Espagne demeure le royaume dominant l’Europe militairement et politiquement jusqu’à

d'Outre-tombe, 1re partie Livre 8 Chapitre 4 [poétique] répétition de mesures sur plusieurs vers, généralement par des tétramètres « Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent » — Boileau, Le Lutrin répétition phonique l’allitération répétition sur plusieurs mots d'une sonorité consonantique (harmonie imitative) « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » — Racine, Andromaque, acte V scène 5 l’assonance [stylistique]

l'instruction ; il ne peut faire aimer leur condition à ses élèves qu'il traite de sauvages et de brutes, avec le mépris d'un lettré, et qu'il renvoie insolemment au fumier paternel [146]. Cachant des idées avancées sous sa raideur correcte, il chante au lutrin, prend soin des livres sacrés mais a formellement refusé de sonner la cloche, une telle besogne étant indigne d'un homme libre [39]. Dans les discussions de cabaret, il garde nu sourire aigre d'homme supérieur que sa position force au silence, mais

III, 6, « le massacre de Saint-Barthélemy », 1874. Ce fut un moment effrayant. Gros-Alain et Georgette virent, avec une extase mêlée d’épouvante, René-Jean froncer ses sourcils, roidir ses jarrets, crisper ses poings et pousser hors du lutrin l’in-quarto massif. Un bouquin majestueux qui perd contenance, c’est tragique. Le lourd volume désarçonné pendit un moment, hésita, se balança, puis s’écroula, et, rompu, froissé, lacéré, déboîté dans sa reliure, disloqué dans ses fermoirs, s’aplatit

chacun d’eux. Chez certains, l’excès de nervosité s’exprime dans  balancement un  oscillation une  va-et-vient un ou quelque autre mouvement perpétuel du corps entier. Les orateurs novices ou maladroits ont en outre tendance à  s’accrocher au lutrin  tambouriner des doigts  mordiller ou se lécher les lèvres se  faire tinter des pièces au fond d’une poche  grimacer  passer la main dans les cheveux ou sur les vêtements se  tourner constamment la tête comme un ventilateur pivotant. Tous