Le Magasin Des Suicides

Lecture analytique n° 2 La Peau de Chagrin, Balzac, 1831 Intro : Un jeune homme, fiévreux et désespéré, entre dans un magasin d’antiquité en attendant le soir pour se jeter dans la Seine. Il s’extasie face à l’abondant bric-à-brac de trésors de ce magasin où « toutes les œuvres humaines et divines se heurtaient ». L’antiquaire, un vieillard, lui présente la Peau de Chagrin, tous deux l’observent à présent. Une atmosphère fantastique s’est déjà installée. QUESTIONS POSSIBLES :

mère seule qui est en pleine depression et qui enchaine les tentatives de suicide. Elle passe son adolescence dans des foyers, puis a cause de son comportement elle est receuilli chez son père et sa belle-mère qui la traite comme une esclave, elle décide alors de s'enfuir pour vivre dans la rue. Elle commence alors a se droguer pour oublier ses malheurs, elle se débrouille tant qu'elle peut opur vivre, elle vole dans les magasins pour pouvoir se nourrir elle rend des service pas très net pour gagner

La Peau de chagrin Résumé : In jeune homme parisien entre dans un établissement de jeu où il perd son dernier sou. À sa sorti, il se dirige vers le pont Royal pour se suicider. Puis il se ravise, préférant attendre la nuit afin de préserver son anonymat. Il rentre par hasard chez un antiquaire, où un vieil homme lui montre alors « une peau de chagrin » . Cette Peau a le pouvoir de satisfaire tous les désirs de son possesseur mais, en échange, la vie de celui-ci est intimement liée à sa dimension

destruction brutale de commerces, de foyers et de synagogues juifs. C’est en realité un pogrom organisé par l’État nazi, autrement dit des soulèvements violent, dans ce cas de la part de l’État, à l’encontre de la communauté juive. Ainsi les vitrines des magasins juifs furent démolies et ce par centaine, les dégâts s'élevant à plusieurs millions de marks. Les juifs furent par la suite accusés d’avoir provoqué eux même la destruction, ils sont ainsi par la suite mis en prison. Cependant, selon des témoignages

le patron, M. Octave Mouret. Denise, séduite par la grande enseigne, se présente dès le lendemain, pour y être embauchée. Chapitre II Le lendemain. Comme chaque matin, Mouret assiste à l'ouverture de son magasin. Il discute de ses projets d'extension avec ses collaborateurs. On découvre le magasin, son fonctionnement, ses principaux employés : Bouthemont, Mignot, Hutin, Mme Aurélie… En dépit de ses allures de provinciale, Mouret accepte d'engager Denise et lui fournit une chambre au dessus de la boutique

associées aux mains d’une personne utilisant l’iPhone. L’argument “téléphone” est presque anecdotique, seulement glissé à la fin, créant une surprise. Les magasins Apple sont présent dans les pays à fort IDH dont les habitants peuvent se permettre d'acheter leur produits contrairement au pays en développement. Ceci peut s'observer par le nombre de magasin, 250 en Amérique du Nord, 50 en Europe et 10 en Asie IV-Apple face aux critiques : les conditions de travail chez ses sous-traitants chinois

travaille à un manuscrit dont le thème est la volonté. Au début du récit, il émerge d’une vie de débauche et de luxure qui lui a laissé des marques indélébiles sur le corps et le visage. Il est hanté par le suicide et bien résolu à mettre ses projets à exécution lorsqu’une visite dans un magasin de curiosités vient changer son destin pour son plus grand bonheur ou malheur selon le point de vue de chacun. Roman d'une densité extrême dans lequel Balzac encore une fois analyse de façon remarquable

Daniel Pennac Personnages principaux  Benjamin Malaussène : Frère aîné d’une famille nombreuse, il s’occupe de ses frères et sœurs lorsque leur mère les quitte pour une aventure amoureuse. Il travaille comme Contrôleur Technique dans un grand magasin, mais son rôle est plus proche du bouc émissaire. Louna : Première sœur de Benjamin, elle est enceinte de son compagnon Laurent et ne sait pas si elle doit avorter. Clara : Deuxième sœur de Benjamin, elle travaille sur son bac tout en exerçant

Résumé : Arrivée à Paris avec ses frères, pour travailler dans le petit magasin de son oncle, Denise Baudu prend rapidement conscience que l'emploi n'existe que dans les grands magasins. Elle se fait embaucher au Bonheur des Dames, découvre le monde cruel des petites vendeuses, la précarité de l'emploi et assiste au développement exponentiel de ce magasin et à la mort des anciens petits commerces. Elle suscite l'intérêt du directeur du magasin, Octave Mouret qui lui confie de plus en plus de responsabilités

nom » (l. 33-36) 2/ Les cibles matérielles : * Lieux de culte « Des synagogues » (l.2) ; « Toutes les synagogues importantes » (l.15) (+ l. 18) « la demeure a été incendiée » (l.35) * Commerces « magasins juifs «  (l.2) ; « étalages des magasins juifs » (l.9) ; « milliers de magasins, bureaux et entrepôts …, citons les salles d'exposition et de vente de Citroën, à la Kurfürstendam… Toutes les succursales Etam, fabrique de bas et de lingerie, » (l.13-15) ; « boutiques » (l.43) 3/ Réaction