Le Mal Existe Mais Pas Sans Le Bien

est-elle une convention sociale ? La morale est un ensemble des règles de conduites concernant les actions permises ou défendues, tenues pour universellement et inconditionnellement valables. La convention s'oppose à ce qui est naturel et à ce qui existe par soi et en soi. C'est l'accord humain né du sentiment d'un intérêt commun. «Ce qui résulte d'un accord réciproque, d'une règle acceptée (et non de la nature). Ce qui est admis par un accord tacite. (Le Robert) Mais alors la morale est-elle une

d'hommes qui habitent un même pays et ont en général des institutions communes; ensemble des sujets vis-à-vis de souverains ». Par peuple, on entend un groupe de citoyens unis par des intérêts communs et des relations d’interdépendance. Cependant il existe une « ambigüité sémantique » autour de la notion de peuple. Le peuple, composé de citoyens de sexe, d’âge, d’origines, de valeurs, d’histoire, de classes sociales et d’intérêts variés qui décident ensemble de leur mode de vie et partagent une histoire

intelligence, ce qui nous rend capable de créer les lois morales. Néanmoins la guerre suspend les lois de la morale, c'est à dire les lois de la paix : la guerre annule l'exigence éthique « tu ne dois pas tuer ». Malgré tous ces aspects négatifs, il existe des représentations positifs de la guerre, La Bataille de Waterloo ou la guerre prend une belle tournure, presque romantique dans la pose des personnages... On a ici une représentation belle de la guerre. De même qu'au Moyen-âge, les seuls à faire

Peut-il exister un homme sans culture ? Le mot culture est le plus souvent vaste dans nos esprits car c’est un terme abstrait mais surtout très généraliste et englobant. Mais qu’est-ce que la culture au sens propre du mot ? Quelle est sa véritable signification ? D’un point de vue humaniste, la culture peut se définir comme un phénomène naturel consistant par la réunion de plusieurs individus à fonder une base commune à ces individus, c'est-à-dire un ensemble d’aspects intellectuels, artistiques

pas dire que l'un a raison et l'autre à tord. I/Les origines historiques de la philosophie Philosophia apparait au 6e siècle av J-C avec Pythagore. Il vient de philein: aimer et sophia: sagesse, le savoir. Philosophe veut atteindre le bonheur, bien conduire sa vie ( aspect moral). Seul la vérité nous permet d'atteindre, d'approcher le bonheur. 1) Le questionnement socratique Socrate est nommé le « père de la philosophie ». Pensée pré-socratique fondée sur les mythes, relation Dieu-Hommes

le mieux dans le meilleur des mondes possibles”, il a voulu ridiculiser ceux qui ne considèrent pas avec sérieux et respect le problème du mal. Voltaire attaque les enseignements de ses contemporains, Leibniz ou plutôt son disciple Wolff moins subtil que son maître, et, au travers d’un conte assez caustique, leur apporte la contradiction. Ainsi la question du mal est-elle au cœur de cet ouvrage, mais en même temps, Voltaire essaiera de donner une réponse personnelle qui puisse concilier la bonté divine

le vieillard, mais la possibilité de redynamiser son existence actuelle et donc de « rajeunir ». Nous devons rester libre même à travers les âges. La philosophie est une sorte d’antidote contre le temps pour le vieillard, cela participe à son propre bien être. L’acte de philosopher implique ainsi le jeune car il sera la vieillard, ainsi sa conquête de la vérité et du bonheur perdurera à travers les années. Par ailleurs le vieillard de par son expérience aura acquis les principes de la philosophie (épicurienne)

IL va vers l'avancement d'un nouveau style théorique seulement à partir d'éléments présents. La vérité ne réside plus dans un seule livre (Bible), la Nature n'impose pas la politique, la politique trouve sa source dans la tradition politique. Bien Lire, c'est mettre en forme l'intelligence. Machiavel se met à la même hauteur que le Pape, que les Empereurs qu'il a pu croiser. « Je suis reçu comme un égal, un semblable, un frère » Lire comme Machiavel est un acte politique. Écrire et lire est

naturellement ou de quelque autre façon? » La première question du dialogue exprime son programme. La vertu s'enseigne-t-elle ou bien faut-il plutôt s'y exercer ou encore l'a-t-on par nature ? demande Ménon. Socrate ne peut pas répondre à la question parce qu'il ne sait pas ce que c'est que la vertu. Mais peut-être Ménon a-t-il une définition à proposer ? Ménon affirme qu'il « existe une multitude [de] vertus » et qu'on est donc « pas embarrassé pour définir la vertu » (72a) . Il en cite quelques-unes

tout est bien quand on va mal", c'est l'attitude délibérément mais difficilement choisie, face a une brusque déception de la vie, et la peur agaçante de la voir s'écrouler en mille pièces, devant ses propres yeux, sans pouvoir y empêcher l'effondrement. Tel un château de sable, minutieusement construit, emporté par une violente vague, et il s'écroule et il disparait dans l'eau salée de la mer. L'on peut vivre 100 ans sans vraiment avoir existé, qu'est ce que cela veut dire? Vivre, exister? N'est-ce