Le Malade Imaginaire Passage Comique Des Moeurs

différents genres (1ère partie) ▪ Former six groupes de cinq élèves. ▪ Distribuer deux résumés de textes différents ainsi qu’un questionnaire à chaque groupe d’élèves. Résumés proposés : o Racine, Andromaque o Molière, Le malade imaginaire o Corneille, Le cid o Marivaux, La Double Inconstance o Beaumarchais, Le mariage de Figaro o Hugo, Ruy Blas ▪ Consigne : « Individuellement, lisez attentivement les deux résumés proposés. Ensuite, en groupe, tentez

Caractérisée par le goût de l’excès, de l’ornement, du pathétique, elle marque l’art européen des XVIe et XVIIe siècles. Dans la littérature française, elle produit des œuvres étranges et fortes (d’AUBIGNÉ, Les Tragiques, 1616 ; CORNEILLE, L’illusion comique, 1636). En réaction à la sensibilité baroque, le classicisme érige en valeurs la simplicité, l’équilibre, le respect des règles imitées de l’Antiquité. La tragédie (CORNEILLE, RACINE) se fixe des règles strictes ; MOLIÈRE critique les artifices des

Apprendre à commenter un texte théâtral ▶ Distinguer la notion de genre de celle de registre ▶ ▶ Approfondir votre connaissance du théâtre classique Revoir les règles du théâtre classique ▶ Revoir la notion de registre comique ▶ Étudier une pièce de Molière dans son intégralité ▶ Mieux connaître et mieux maîtriser les mouvements artistiques et littéraires des XIXe et XXe siècles, en particulier le romantisme, le Parnasse, le symbolisme et le surréalisme

dramaturge  français, né et  baptisé  le  15 janvier1622  à  Paris , où il est mort après avoir joué sur scène la quatrième représentation de sa pièce  Le Malade imaginaire , le  17 février1673 . Issu d'une famille de marchands parisiens, il s'associe à 21 ans avec une dizaine de camarades, dont la future comédienne vedette  Madeleine Béjart

rapprocher de la comédie et de la fonction cri- tique (castigat ridendo mores, voir p. 382) qu’elle revendique. Les Caractères (livres V à X) de Jean de La Bruyère A Le contexte • Le règne de Louis XIV. La Bruyère forme le projet de peindre les mœurs de son époque à partir du moment (1661) où Louis XIV se met à exercer un pouvoir absolu. Le roi fixe l’étiquette de la cour qu’il déplace à Versailles en 1673 et les courtisans, soucieux de plaire au roi ou aux Grands, sont les cibles privilégiées

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 INTRODUCTION ........................................................................................................................... 1
 LE COMIQUE................................................................................................................................. 7
 DISTINCTIONS ET DIVERGENCES ......................................................................................

qu’est 1887. Dans cet espace d’une quarantaine d’années, quatre noms dominent: Emile Augier, Alexandre Dumas fils, Eugène Scribe et Victorien Sardou. Augier, adversaire du romantisme, travailla dans le registre bourgeois et les comédies de mœurs dont la plus représentative est le Gendre de Monsieur Poirier (1854), inspirée du Bourgeois Gentilhomme, écrite en collaboration avec Jules Sandeau. Très éloigné et critique de cet univers théâtral, Baudelaire analyse la notoriété d’un Augier en affirmant

explicite à une autre œuvre. Néanmoins, la seule allusion ne suffit : pour qu’il y ait réécriture, il faut que la transformation ou l’imitation soit massive et concerne l’ensemble de l’œuvre. Sinon, il s’agit d’évoquer une réécriture localisée d’un passage d’une autre œuvre. Les Chants de Maldoror comportent par exemple un ensemble de réécritures de Baudelaire, Shakespeare ou d’autres auteurs. Le texte se fait composite. Il en va de même dans La Place de l’étoile de Patrick Modiano, texte palimpseste

des trois sciences étudiées (« chimie, pharmacie, chirurgie ») et le médiocre aboutissement du savoir. Figaro a la coquetterie de rappeler l’usage qu’il en fait : « attrister » c'est-à-dire ennuyer, donc ajouter le désarroi au malaise « des bêtes malades ». La phase théâtrale : Le métier d’auteur dramatique est plaisamment présenté comme étant le négatif de la carrière vétérinaire : «métier contraire »: il s’agit encore de « piquer » (= comédie satirique) mais pour égayer et non pour attrister

Catalinon, son valet pleutre et souvent récalcitrant. Il n'était pas un incroyant mais un débauché, dans un pays où la religion était intimement mêlée à tous les incidents de la vie : à son dernier instant, il réclamait un prêtre. La pièce, satire des mœurs de la jeunesse madrilène, après avoir commencé par de banales aventures d'amour, s'achevait en un drame religieux d'une grandiose ampleur, dominé par l'idée du châtiment divin. Elle fut d'abord présentée comme la transposition scénique d'un exemplaire