Le Malentendu

intellectuels et hommes politiques français et allemands, en traitant d’un thème très discuté à l’époque la nation ( cf. la première phrase du livre « Je me propose d’analyser avec vous une idée claire en apparence mais qui prête au plus dangereux malentendu ») . C’est véritablement le seul qui a trouvé une réponse plausible et argumenté sur le fonctionnement de la nation. En effet on peut le remarquer par l’étonnante modernité qui anime le discours. En lisant le livre pour la première fois je croyais

c’est l’excellence du café, c’est la «star» de l’expresso Quelle idée créative dominante? elle reprend et décline l’axe de communication et permet de construire une saga : l’objet du désir n’étant pas CLOONEY mais au final NESPRESSO. (jeux sur des malentendu, et complicité amusée de l’acteur-star). Le concept créatif pour l’annonce presse : il est adapté au support. On nous y montre un recadrage : il s’agit d’un extrait d’une planche-contact, issu du shooting en studio. Les traits à la craie indiquent

exemple, lorsqu’il y a des chutes, des coups, des grimaces, des tics amusants, cela divertit le public. Lorsqu’il y a des lapsus, des fautes de grammaire, de syntaxe ou de mots, cela entraîne le rire. La comédie divertit également lorsqu’il y a des malentendus, des quiproquos, lorsque des personnes sont critiquées ou caricaturées et lorsque des répliques ou des gestes sont répétés. Puis également lorsque les travers d’une époque, d’un groupe social, etc. sont dénoncés comme dans le comique de mœurs

...................................................................................................................................................... - le comique de SITUATION : une situation particulière fait sourire/rire : cela peut être un malentendu entre 2 personnages (au théâtre, cela s'appelle un QUIPROQUO) ou un personnage caché, ..... Ex : ..................................................................................................................................... ..........

Hippolyte pour sauver son honneur (scène 3). Thésée paraît. Phèdre s'enfuit avec quelques paroles équivoques (scène 4). A Thésée qui lui demande des explications, Hippolyte répond par son désir de fuir. S'installe alors un malentendu entre le père et le fils (scène 5). Le malentendu est un moteur du tragique. Phèdre s'en remet complètement à Oenone. Acte IV Oenone accomplit son dessein en accusant Hippolyte d'avoir voulu séduire la reine (scène 1). Ce discours trompeur confirme les soupçons nés aux

mots. Le mot n'est pas un obstacle à l'expression de nos pensées. Il en est la condition. Ainsi on ne peut pas transposer par le langage ce que l'on pense réellement. On constate que Le langage peut être source de malentendus, volontaires (le mensonge) ou involontaires. Ces malentendus sont aussi considérés comme abus dans la thése idéaliste comme le dit Hobbes dans Léviathan « à ces usages correspondent aussi 4 abus » qui sont mal noter ses pensées, l'usage metaphorique du langage, le mensonge et

John Gumperz a mené des études dans le domaine de la sociolinguistique et s’est intéressé à la communication bilingue et plurilingue, la communication interculturelle et les interactions verbales en mettant particulièrement l’accent sur les malentendus. Son approche, comme celle de Dell Hymes, se situe dans le cadre de l’ethnographie de la communication, qui consiste à relever et à décrire les différentes situations de communication et façons de parler propres à une société donnée.

mondiale, 1914-18, l’empire ottoman a commis l’un des plus grands génocides de l’humanité, en assassinant plus d’un million d’arméniens. On va essayer de vous parler de cet épisode historique le plus neutralement possible, car il y a beaucoup de malentendus sur les faits qui n’ont pas été archivés, et ceux qui l’ont été, les turcs ne veulent pas les divulguer. On essaiera de comprendre pourquoi cet acharnement sur les arméniens et comment l’empire ottoman a réussi à agir avec autant de discrétion.

dont je parle » l.40 « non, ce n’est pas moi dont vous parlez » l.41 « une femme qui a passé des nuits » l.40 « je n’ai jamais passé ni nuit… » l.42 Mais malgré l’ardeur de la discussion, Mme de Clèves ne parvient pas à dissiper le tragique malentendu. M. de Clèves conclut par « N’en dites pas davantage », refusant une vérité qui vient trop tard. Le tragique vient du fait qu’au moment de la mort, les personnages restent séparés. Un peu plus loin, M. de Clèves, presque convaincu de l’innocence

après une semaine d’absence et de refus de communication ! 3. Quel conseils donneriez- vous afin d’éviter une telle situation ? Comme chaque "accident", ce qui est "imprévisible" peut toujours, après coup, être interprété comme un signal d'un malentendu, un malaise, un manque de communication ou une mauvaise gestion de la communication. Je crois que le défi est de rester la tête froide mais aussi de conserver un minimum d'exigence devant les "fêlures" ou les "dérapages volontaires" de la part des