Le Manoir du diable

« personnage reparaissant » chez Balzac : on le retrouve dans plus de vingt romans du célèbre écrivain, notamment Le Père Goriot, La Maison Nucingen, Le Député d’Arcis, Une fille d’Ève, La Peau de chagrin, Les Comédiens sans Le Père Goriot, il tire le diable par la queue. À trente-sept ans, il possède 40 000 livres de rentes. À quarante-six ans, dans Les Comédiens sans le savoir, il est comte, pair de France, ministre de la justice, il a 300 000 livres de rente et il a épousé Augusta de Nucingen, la fille

relation avec George Sand (de son vrai nom Aurore Dupin) : « Nuit de mai », « Nuit de décembre », « Nuit d’août » et « Nuit d’octobre ». « Nuit de mai » est écrit « à chaud » après sa rupture avec cette femme écrivain (auteur entre autres de La Mare au Diable...) et se présente sous une forme dialoguée entre le poète et sa Muse. Voici les strophes 3 et 4 de ce poème. LA MUSE 15 Poète, prends ton luth; la nuit, sur la pelouse, Balance le zéphyr dans son voile odorant. La rose, vierge encor, se referme jalouse

DANIELEWSKI Mark Z 1 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Orlando, a biography’’ (1928) ''Orlando'' (1929) roman de Virginia WOOLF pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse (page 8) l’intérêt de l’action (page 9) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 27) l’intérêt psychologique (page 35) l’intérêt philosophique (page 39) la destinée de l’œuvre (page 45) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire

l’usage, ils agitent une torche pour se faire reconnaître. La sentinelle, recrue arrivant de France, ignorant les coutumes et les règles du service en campagne dans le sud, et nullement prévenue par ses officiers, tire sur les courriers. Les pauvres diables avancent quand même ; le poste saisit les armes ; les hommes prennent position, et une fusillade terrible commence. Après avoir essuyé cent cinquante coups de fusil, les deux Arabes, enfin, se retirent ; l’un d’eux avait une balle dans l’épaule. Le

devant l'auberge.) Le cocher de la berline dégringole rapidement de son siège... C'est un petit homme tout 8 brun, tout pétulant, visage bistré sous son grand tricorne, sourcils, moustaches à la Méphisto... (Attention ! en réalité, c'est le Diable lui-même, travesti !) Il va tout de suite trouver le gros hôtelier, surgi sur le seuil de sa porte, attiré par la grande rumeur... Très grands saluts réciproques... Aux portières de la berline... apparaissent vingt têtes charmantes, minois rieurs

ces yeux clairs qui ne semblaient jamais en repos.« On dirait qu’elle a peur de son ombre », pensa Vera.Oui, c’était ça : elle avait peur !Elle avait tout de la femme en proie à une frayeur mortelle… • 24. – 24 –Vera eut un léger frisson. De quoi diable cette femmepouvait-elle bien avoir peur ?— Je suis la nouvelle secrétaire de Mrs O’Nyme, lui confia-t-elle, aimable. Vous devez être au courant.— Non, mademoiselle, je ne suis au courant de rien,répondit Mrs Rogers. J’ai juste la liste de ces messieurs-damesavec

assure, répondit Zac très calmement. Vous n’aurez qu’à faire semblant d’être ma fiancée le temps d’un week-end. Rien de plus. Je suis prêt à vous payer mille dollars si vous acceptez. Il avait l’air sérieux. Elle avait bien envie de l’envoyer au diable, mais sa curiosité l’emporta sur son premier mouvement. — Expliquez-vous. J’ai vraiment du mal à comprendre. — Eh bien, voilà. J’ai raconté à mon grand-père que j’avais rencontré la fille de mes rêves. Maintenant, il veut que je la lui présente

la faire respecter. Le pouvoir royal devient sensible à la diversité du droit et la promotion de la coutume normande suscite dans les provinces voisines l’affirmation de leurs propre coutumes. La coutume est donc notoirement différente. Jean de bau manoir rédige vers 1280 les coutume de beauvaisis. Ce recueil est le modèle de rédaction des coutume qui présente toute les caractéristique car J de BM est baillis dans le lieu dont il recueille la coutume. On trouve d’autre exemple à la même période , ainsi

voilà le nez et le menton D’Urberville... un peu dégénérés. Votre ancêtre était un des douze chevaliers qui aidèrent le seigneur normand d’Estremavilla à conquérir le comté de Glamorgan. Plusieurs branches de votre famille ont possédé des manoirs dans toute cette régionci. Leurs noms se trouvent dans les Rôles du Trésor, au temps du roi Étienne. Sous le règne du roi Jean, l’un deux était assez riche pour faire don d’une seigneurie aux Chevaliers Hospitaliers, et, au temps d’Édouard II

Qu’il me suffise de vous indiquer que nous nous trouvons, par un beau soir de printemps (il montre la branche), dans le manoir du baron de Z… Zède comme Zèbre, comme Zéphyr… (il rit bêtement) Mais chut ! Cela pourrait vous mettre sur la voie. Comme vous pouvez l’entendre, le baron et sa charmante épouse donnent, ce soir, un bal somptueux. La fête bat son plein. Il y a foule au manoir. On entend soudain la valse qui recommence, accompagnée de rires, de vivats, du bruit des verres entrechoqués. Puis tout