Le Marchand De Venise

traversent la ville pour la quitter ou s’ils sont seulement entrain de plaindre Florence à un endroit fixe. D’ailleurs, la pièce est censée se passer à Florence mais à la scène 2 de l’acte 5 on part « À Venise » et on retourne à Florence à la 3è scène de l’acte. Néanmoins, à la 7è scène on se trouve à « Venise » mais à la scène 8 retour à « Florence ». Par ailleurs, le temps de la pièce ne se tient pas en une journée. Dès les deux premières scènes de l’acte 1, la didascalie indique un changement de temps

sciècle : croissance et mutation importantes- renouveau du phénomène urbain (ex : reconstruction des vieilles murailles)- 12 e sciècle : construction de murailles plus vastes- les citées sont maintenant dominés par de nouveaux groupes ( artisants/marchands)- mouvement communal : rebélion contre l’autorité royale pour obtenir une commune- age du gothique : manifestation de l’amélioration des villes- dans les campagnes on observe un essort des espaces défrichés au 12e-13e sciècle pour construire- fin

précipite et le voit prostré, le cou encerclé de fer, jurant de ne l’enlever qu’une fois accompli son pèlerinage à Notre Dame de Lorette ! François est tombé en disgrâce auprès de la république de Venise. Déchu de sa fonction, ainsi en a décidé le Conseil des Dix ! Son condottiere est devenu suspect aux yeux de Venise : trop proche du roi de France qu’il a laissé échapper à Fornoue : on le soupçonne de traîtrise. François souffre, navré dans son honneur. Isabelle assume la régence de l'État pendant l’absence

a l'Europe, l'Afrique et l'Asie reposant sur la bible et sur l'antiquité grecque. La méditerranée est une espace d'intenses échanges commerciaux dominé par Gêne et venise qui ont bâti de véritables empires commerciaux. Au dela de la mediterranée les européens ont des relations commerciales avec l'Afrique et l'Asie, grâce aux marchands arabes, indiens et perces. Constantinople est un carrefour commercial majeur entre l'Europe et l'Asie, c'est aussi la capitale de l'empire Bizantin. B) Les

XVème siècle, Anvers est la seconde ville, après Bruges, des Pays Bas. Elle était notamment connue pour ces quatre foires annuelles. Mais avec le déclin de Bruges, et de Venise aux XVème et XYlème siècles, puis le fait que la cité acquit de nombreuses faveurs de Maximilien d'Autriche comme en 1488, où il conseilla les marchands étrangers de quitter Bruges pour Anvers. Tous ces facteurs permirent donc à Anvers de connaître, au début du XVIème siècle, un grand essor économique. Ainsi nous tenterons

renaissance il y à certes un essor de la bourgeoisie marchande qui permet un essor de la bourgeoisie en général, mais pour le bas peuple on ne note pas de réel changement. La renaissance est d’abord un phénomène économique qui s’amorce dès le 12ème siècle à la suite des premières croisades. En effet les routes commerciales orientales s’ouvrent alors aux Européens, l’Italie devient la plaque tournante du commerce oriental-occidental. Les villes marchandes s’enrichissent, un système monétaire est créé,

toutes leurs richesses pour retrouver Cunégonde. Envoyant Cacambo racheter Cunégonde, Candide se fait voler par un marchand et un juge, fait la connaissance de Martin, dégoûté de la vie et rejoint l'Europe avec lui. Ils passent par Paris où Candide manque de mourir des soins prodigués par la médecine, se fait voler par un abbé et échappe de peu à la prison, puis rejoignent Venise où ils cherchent en vain Cacambo et Cunégonde. Ils y rencontrent Paquette, la servante du Baron de Thunder-ten-tronckh

désastre pour l’économie. En 1204, Constantinople tombe suite à l’attaque de la IV croisades par le pape Innocent III. La IVe croisade avait comme but de libérer le tombeau de Palestine mais celle-ci est déjetée sur l’empire Byzantin par les marchands venant de Venise le 12 avril. La ville est détruite par les chevaliers, on retrouve plus de 2000 Grecs qui sont massacrés1. Ceci marque la séparation des chrétiens orthodoxe d’orient et les catholiques d’occident. Après la mort de l’empereur de byzantin

cerveaux. Ce n’était plus qu’un faiseur d’argent qui jetait à la fonte les choses et les êtres pour en tirer de l’argent. » (p : 288) Mais c’est Shakespeare qui a bien réussi à montrer cette décadence de l’homme dans Le Marchand de Venise : l’usurier Shylock impose une condition au marchand Antonio pour lui prêter 3000 ducats : lui prélever une livre de chair en cas de défaut de paiement. Peut-être comprenons-nous mieux l’appréhension des grecs et des romains vis-à-vis de l’argent ; cet argent présomptueux

de sécurité. C’est pourquoi lorsque les barbares (les Germains) arrivent aux frontières et commencent à se montrer menaçants. Les romains se protègent du mieux qu’ils peuvent en construisant des remparts et en fortifiant leur défense. Mais les marchands se faisaient attaquer à l’extérieur des villes, ceci provoqua donc une interruption des échanges commerciaux et un appauvrissement des villes en générale. Par conséquent, beaucoup d’habitants quittèrent celle-ci, car ils ne pouvaient plus vivre