Le Marché Pétrolier Au Maroc

la richesse du site. Chapitre 1 Propositions de réponses aux questions de fin de premier chapitre page 68. Question n° 1 : Qu'appelle-t-on marché captif ? Réponse : On rattache généralement la notion de captif aux relations que deux pays entretiennent entre eux et plus largement les relations économiques qu’ils ont tissées, parfois de longue date. Un marché captif est souvent la conséquence d’un rapport de force, puisque le mot captif évoque une relation de vassal à seigneur. Citons les relations

Projet de Fin d’Etude Réalisé par : Talal Benazzouz Rayahine Aiboud Encadré par : Mr. Fouad JAWAB Année universitaire 2011/2012 Projet de fin d’étude La gestion portuaire GLT - ESTF Avant-propos Au cours des années 80, le Maroc a décidé d’ouvrir son économie sur le monde afin de favoriser sa croissance. Une ouverture qui s’est traduite en 1996 par l’accord d’association Européenne, et plus récemment avec des accords de libre-échange notamment avec les Etats-Unis. En 2003

appelle au contraire à nuancer les catégories et à affiner l'analyse. Tel est l'objet de cette étude portant sur les disparités spatiales et économiques de la rive sud de la Méditerranée. Celle-ci est comprise de Gibraltar à Suez et englobe donc le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye et l'Egypte, moins dans leur seule partie littorale et méditerranéenne que dans leur organisation spatiale nationale : les disparités spatiales doivent certes être évaluées à toutes les échelles, mais l'échelle étatique

fondements de base d'une nouvelle culture d'entreprise orientée clients sont en train de se bâtir dès à présent au sein de l'Office. Il s'agit notamment de la réadaptation du potentiel d'action de l'Entreprise ferroviaire aux nouvelles données du marché, tout en valorisant les atouts intrinsèques du rail, avantages indéniables et précieux de plus en plus recherchés: sécurité, transport de masse, faible coût pour la collectivité, économie d'énergie et d'espace, respect de l'environnement... L’O

| | |accord de libre échange entre le CCEAG et l’UE | | |accords commerciaux bilatéraux avec la Syrie, la Jordanie, le Liban, le Maroc et l’Irak | | |accords bilatéraux d’investissements avec une trentaine de pays | | |

externe de façon direct ou indirect : -de façon direct, on parle de désintermediation bancaire qui se traduit par soit un emprunt créancier donc une émission d’obligations, soit par une augmentation de capital entrainant une emission d’actions sur le marché primaire, soit par un crédit bail qui ne nécessite pas beaucoup de fonds dans un premier temps car il s’agit d’uune location. _de façon indirect, on parle cette fois d’intermédiation bancaire donc d’emprunt bancaire qui est le seul moyen pour les

tourisme consiste dans la bonne gestion de ce d’un phénomène important qui ne remonte qu’à quelques décennies. S’il est correctement géré, en respectant l’environnement et la culture des pays, en proposant des emplois aux populations locales et des marchés aux produits locaux, le tourisme peut apporter à un pays pauvre une nouvelle solution pour se procurer des devises étrangères. C’est pourquoi il s’agit donc d’une toute nouvelle philosophie qui entraîne des applications dans tous les pays touchés

politiques structurelles (ex : développement des infrastructures, éducation, ...). Le court terme et le long terme sont liés ex : chômage naturel et chômage cyclique récents. Certains problèmes sont exogènes : viennent de l’extérieur exemple : chocs pétroliers, chocs démographiques, ... Certains problèmes sont endogènes : créés par les gouvernements ou par les politiques économiques exemple : déficits publics, problèmes environnementaux. A noter, une distinction difficile entre ce qui est croissance endogène

Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales- SETTAT LA BALANCE DE PAIEMENT AU MAROC Rapport réalisé par : * MIAADI Meryem * MOICH Abla * MIFTAH Meriem * MENDES Semedo Iranide Maroa * MELLOUKI Hasna * NOUAIM Mohamed Ayoub

du xve siècle, et même dans l’antiquité. «  […] le capitalisme a toujours été monopoliste, et marchandises et capitaux n’ont pas cessé de voyager simultanément, les capitaux et le crédit ayant toujours été le plus sûr moyen d’atteindre et de forcer un marché extérieur. Bien avant le xxe siècle, l’exportation des capitaux a été une réalité quotidienne, pour Florence dès le xiiie siècle, pour Augsbourg, Anvers et Gênes au XVIe. Au xviiie siècle, les capitaux courent l’Europe et le monde ». * Contexte