Le Mariage Coutumier En Afrique

social système politique Lié à la propriété, au langage, au droit... système de parenté On peut là aussi réfléchir à une organisation par stades : Social/Parenté 1. « promiscuïté primitive » : relations sexuelles libres entre tous 2. mariage de groupes : groupes hommes et femmes s'épousent en tant que groupes entiers 3. monogamie Socio-politique 1. horde 2. tribu 3. société => les différents éléments constitutifs d'une société sont mis en relation pour constituer cette chronologie/hierarchie

common law va devenir écrite et le système romano-germanique fait une place importante à la jurisprudence, décisions de la justice. C. Les autres systèmes Juridiques a) Les droits africains Les droits africains sont des droit tout d'abord coutumiers, ils sont fondés sur la solidarité (familiale, villageoise ou tribale). La particularité du droit ici est que l'individu existe beaucoup à travers le groupe (famille, village, tribu) inversement au système occidental. Les individus n'ont pas de

été apportés au code de commerce, l’autorisation maritale était maintenue. En Angleterre vers les années 1930 une loi obligeait les femmes à quitter le secteur de l’enseignement lorsqu’elles se mariaient, ce qui nous amène à constater que le mariage ne constituant qu’un obstacle parmi d’autres dans l’insertion de la femme dans le marché de l’emploi9. Dans d’autres pays tel que l’Arabie Saoudite et le Gabon, cette forme de discrimination s’étendait sur plusieurs points, l’homme disposait de

avait d’état civil. Ils étaient les mieux placés pour connaitre les mouvements de population, ils étaient appelés à chaque moment important de la vie des habitants pour effectuer des sacrements : baptême, mariage, extrême onction… ce qui leur permettaient de tenir des registres de naissance, de mariage, des décès etc. … Tout cela s’est progressivement dissipé à partir du XV° siècle pendant lequel s’est déroulée une certaine révolution intellectuelle : la Renaissance. C’est le début d’une accumulation

contrat après la mise en œuvre de l’Electio juris. Lex fori : la loi du tribunal saisi. Lex loci celebrationis : littéralement la loi du lieu de célébration. Selon l’article 170 du Code civil, devenu 171-1 depuis la loi du 14 novembre 2006, le mariage d’un Français peut être célébré à l’étranger en respectant les règles locales. Lex rei sitae : loi du lieu de situation de la chose. Pour les immeubles pas de problème, mais pour un meuble il va falloir le localiser fictivement au lieu où se trouve

Le droit est un rabâchage de formules codifiées. Ce qui permet de distinguer ce qui est du droit de ce qui ne l’est pas est un type de formules. Ex : Pour qu’un mariage soit établi, il faut respecter des règles de forme : on va à la mairie, rdv avec officier d’état civil, publication d’un avis pour informer de l’imminence du mariage, etc. Le mot état, dans la forme, ne veut rien dire. On s’en sert à toutes les sauces qui n’ont aucun rapport. Ex : « état d’âme », « je suis dans un état de stress »

dans le prolongement du territoire terrestre, s’étendant jusqu’à la limite externe de la ZEE et peut même être prolongé ; dispose des mêmes compétences de la ZEE. -Au-delà, la haute mer, exclusive de toute souveraineté territoriale, le principe coutumier de la liberté de la mer prévaut signifiant la libre navigation de tous les navires soumis à l’autorité de l’état du pavillon. Exceptions : Tous les états peuvent saisir et juger les navires se livrant à des actes de piraterie (Corne de l’Afrique)

Dans cette perspective, je salue l’apport de l’IRD à la formation des scientifiques du Sud. S’ il y a indéniablement de bons scientifiques africains, le chemin est encore malheureusement tortueux pour une recherche compétitive et de haute facture en Afrique. Ce n’est pas toujours de gaîté de cœur que l’on démissionne! Au moment où on pense réhabiliter le partenariat avec l’Afrique, il revient certainement à la nouvelle génération des chercheurs africains de capitaliser et de valoriser les expériences

- Ensuite il y a les capétiens à partir de 987. On sait cela grâce aux barbares (germains) car ils avaient leurs droits, un droit coutumier, oral qu’ils continuaient à utiliser entre eux, ils ne l’ont pas imposé aux gallo-romains : ils laissaient appliquer le droit romain : c’est le système de la personnalité des lois. Dès le début du VIème siècle (vers 507), les rois barbares firent

parallèle certains droits régionaux des DH vont être élaborés. La plupart des Etats ont adoptés des constitutions qui protègent les DF des DH, parfois ces instruments se réfèrent à certains textes internationaux. Bien que les traités et le droit coutumier constituent l’armature du DIDH il existe aussi les directives, les déclarations et certains principes qui permettent de mieux comprendre, les appliquer et les développer. Le respect des DH présuppose l’existence de l’Etats de droit au niveau national