Le Masque Rouge

plusieurs gouvernantes et j’étais considérée comme une princesse. Ce jour là à l'école même routine, comme chaque matinée nous chantions à l'unisson l'hymne national de notre si beau pays, les filles et les garçons étaient vêtus d'un uniforme Bleue et Rouge.

son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant

« Staline, le tyran rouge »1. Qui est Staline ?Joseph Staline est un homme d’Etat soviétique. Il est né sous le nom de Losif Jughashvili le 18 décembre 1878 à Gori en Géorgie, qui faisait partie de l'empire russe après 1801. Ses parents étaient artisans, pauvres, et son enfance a été difficile. À l'âge de 7 ans, il a contracté la variole. Il survit, mais sa peau est restée couverte de cicatrices. En 1894-99, il suit les cours d'un séminaire théologique orthodoxe à Tbilissi, mais en est exclu parce

l’image sans avoir à l’appliquer réellement. Les effets varient de l’effet Noir et blanc à l’effet d’aspect vieillot Vintage, en passant par l’effet Traitement croisé. Les effets sont appliqués en tant que nouveau calque avec masque de fusion. Vous pouvez modifier le masque de fusion en mode Expert pour supprimer/réduire l’effet sur certaines zones. Haut de la page Textures 9 Utilisez le panneau Textures pour sélectionner parmi les dix textures que vous pouvez appliquer à la photo. Les

| |06 |Petit Lapin Rouge. | | | | |20 |C’est l’histoire d’un lapin que tout le monde appelle | |23 |Petit Lapin Rouge. Il est né blanc, mais quand il était

arbre sur la gauche, une main frappée par la mort au centre de monticule de chairs humaines. La plupart des personnages représentés ne voient rien ou presque rien : yeux fermés par la mort ou le sommeil, regards obturés par les bandages ou les masques à gaz… L’arrière-plan montre un paysage dévasté par la guerre Sur le volet droit, tandis que des corps inertes sont présentés au premier plan, un seul un homme vivant parmi les décombres apparaît. Il tente en vain de soutenir un compagnon inerte

des jeux de l’esprit, les reflets de l’or rouge sur ta peau qui se moire A l’ombre de ta chevelure, s’éclaire mon angoisse aux soleils prochains de tes yeux. Femme nue, femme noire Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l’Eternel Avant que le Destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie. COMMENTAIRE « Femme noire » constitue le poème le plus célèbre de Senghor. Sa place située entre « Joal » et « Masque nègre » ne saurait être une coïncidence quand

marquée d’une croix rouge et toutes les étoffes qu’elle contenait mise dans la rue. Tout ce qui était inutilisable était brûlé en place publique, à la suite de quoi on procédait à la fumigation du bâtiment à l’aide d’herbes aromatiques et de poudre de canon. Après la fumigation, il faillait lessiver les murs et les sols à deux ou trois reprises au moins avec une solution de chaux. Une fois qu’une maison, et tout ce qu’elle contenait, avait été purifiée, on recouvrait la croix rouge d’une croix blanche

témoignage pictural d’Otto Dix les mêmes ressentiments évoqués cette fois-ci par le biais d’images et de couleurs. Les trois couleurs employées sont principalement le gris, le marron et le rouge (ocre). On remarque clairement le ciel qui, sur les panneaux latéraux, se détache du reste de l’œuvre : il est rouge et tourbillonnant. En premier lieu, on peut imaginer qu’il s’agit d’une représentation de la ligne de front à feu et à sang. En allant plus loin cependant, il est possible que l’artiste ait

par « ils » dans la strophe 5 et dans le reste du texte : répété 8 fois. Ce sont des gens sans visage qui se masquent : l’inconnu utilise la peur. Quand on ne connaît pas l’ennemi, on ne sait pas à qui s’en prendre : pouvoir sans limites, pouvoir masqué « disait » « désirait » « s’accabler de politesse » et au vers 15 : antithèse . Vers 14 : hypocrisie « rationnait » donnait le strict minimum , « jugeaient les fous » impossible. Accumulation de verbes d’actions, ce qui traduit l’étendue de leur