Le Mauvais Vitrier

plus grande place à l’individu alors que le catholicisme a une dimension plus communautaire. Dans le catholicisme il y a une hiérarchie des prêtres contrairement au protestantisme. Le protestantisme considère que l’enrichissement perso n’est pas mauvais et qu’il peut être le résultat d’une bénédiction divine. Il va donc autoriser les personnes à une recherche personnelle de profit, de dév éco. Cela est accentué par une thèse de Luther : Béruf qui est le travail vue comme une vocation. Chacun doit

plus grande place à l’individu alors que le catholicisme a une dimension plus communautaire. Dans le catholicisme il y a une hiérarchie des prêtres contrairement au protestantisme. Le protestantisme considère que l’enrichissement perso n’est pas mauvais et qu’il peut être le résultat d’une bénédiction divine. Il va donc autoriser les personnes à une recherche personnelle de profit, de dév éco. Cela est accentué par une thèse de Luther : Béruf qui est le travail vue comme une vocation. Chacun doit

moyen, il tournoit de bonne heure notre attention vers ce qui étoit juste, prudent, utile dans la conduite de la vie. Il ne parloit jamais des mets qui paroissoient sur la table. Il n'observoit point s'ils étoient bien ou mal cuits, de bon ou de mauvais goût, trop ou trop peu assaisonnés, préférables ou inférieurs à tel autre plat du même genre. Ainsi, accoutumé dès mon enfance à ne pas faire la moindre attention à ces objets, j'ai toujours été parfaitement indifférent à l'espèce d'alimens qu'on

de Tencin (ancienne religieuse, maîtresse du Régent, femme de lettres qui tient un salon) et du chevalier Destouches. La mère fait exposer l’enfant sur le parvis de l’église Saint Jean-leRond, près de Notre-Dame. Il est recueilli par la femme d’un vitrier, Mme Rousseau (le père servira une pension). Il manifeste une intelligence précoce et brillante. Il fait des études de droit, de médecine. A vingt-quatre ans, il entre à l’Académie des Sciences (l’abbé Gua de Malves est un de ses confrères). Il publie

variable qui s’ajoute au nom pour indiquer la qualité de l’être ou de la chose que ce nom désigne. GENRE : Règle générale Pour former le féminin des adjectifs, on ajoute un « e » muet au masculin : Ex : mauvais mauvaise Joli jolie Remarque : Les adjectifs déjà terminés par un « e » au masculin, ne changent pas. Ex : un homme maigre, une femme maigre. L’addition

122. Baudelaire, "incorrigible catholique" comme il se qualifie lui-même (lettre à Calonne du 10 novembre 1858), évoque fréquemment le diable dans sa poésie: voir, par exemple, Les Litanies de Satan (poème CXX), La Destruction (poème CIX), Le Mauvais Vitrier, Le Joueur généreux (Pl. I, p. 285, 325), comme dans ses écrits intimes: Fusées, X, XIV (Pl. I, p. 657, 663); Mon coeur mis à nu, XI (Pl. I, p. 682-683); lettre à Flaubert du 26 juin 1860; cf. aussi ce passage d'une étude sur Théodore de Banville

des feuillages dorés où ne manquait même pas la présence d'un oiseau. Car j'entendais Albertine siffler sans trêve: Les douleurs sont des folles, / Et qui les écoute est encore plus fou[17]/ Je l'aimais trop pour ne pas joyeusement sourire de son mauvais goût musical. Cette chanson du reste avait ravi l'été passé Mme Bontemps, laquelle entendit dire bientôt que c'était une ineptie, de sorte qu'au lieu de demander à Albertine de la chanter quand elle avait du monde, elle y substitua: Une chanson d'adieu

des êtres ambigus. Le narrateur n'est jamais présenté de l'extérieur. C'est plus facile pour le lecteur de se mettre en lui-même. Il ne s'agit pas de dimensions morales dans les romans de Proust. Le narrateur ne discute pas sur ce qui est bon ou mauvais. On ne peut pas dire quel est le caractère du narrateur. Il y a certains moments satiriques, mais on ne dit rien ouvertement. L'histoire impressionniste du monde dans lequel on vit. On ne peut pas faire une peinture achevée du narrateur. Les thèmes

frites pré-cuites, surgelées, lyophilisées, en flocons...La mal-bouffe reste attachée encore à la patate, un effet induit, une reproduction du misérabilisme qui étreint les nouveaux pauvres. On songe au défi fameux que Baudelaire (3) lance au "Mauvais vitrier": "Comment, vous n'avez pas de verres de couleur, des verres roses, rouges, bleux, des vitres magiques, des vitres de Paradis ? Impudent que vous êtes ! Vous osez vous promener dans les quartiers pauvres et vous n'avez même pas de vitres qui fassent

du feu dans la cheminée au coin de laquelle se tenaient une vieille femme agenouillée devant un malade assis sur une chaise, et un homme debout, le visage tourné vers le foyer. L’intérieur de cette maison formait une seule chambre éclairée par un mauvais châssis garni de toile. Le sol était en terre battue. La chaise, une table et un grabat composaient tout le mobilier. Jamais le commandant n’avait rien vu de si simple ni de si nu, même en Russie où les cabanes des Mougiks ressemblent à des tanières