Le Meilleur Des Mondes Argumentation

Aristote, Rhétorique, chapitre II. De nombreux auteurs et philosophes se sont penchés depuis l’Antiquité sur la rhétorique et ses procédés, dans le but d’acquérir cette puissance du verbe – une arme parfois redoutable, n’oubliez pas qu’une argumentation bien menée et convaincante peut avoir une influence décisive  ! Parmi ces auteurs, on retrouve les noms d’auteurs grecs comme Démosthène (384-322 avant J.-C.), Isocrate (436-322 avant J.-C.) et Aristote (384-322 avant J.-C.), ou romains comme

Aristote, Rhétorique, chapitre II. De nombreux auteurs et philosophes se sont penchés depuis l’Antiquité sur la rhétorique et ses procédés, dans le but d’acquérir cette puissance du verbe – une arme parfois redoutable, n’oubliez pas qu’une argumentation bien menée et convaincante peut avoir une influence décisive ! Parmi ces auteurs, on retrouve les noms d’auteurs grecs comme Démosthène (384-322 avant J.-C.), Isocrate (436-322 avant J.-C.) et Aristote (384-322 avant J.-C.), ou romains comme Cicéron

Raison/émotions, etc.) constitutives de l’opposition — à la fois politique et épistémologique — entre Platon et les sophistes. Ainsi doit-on viser à convaincre rationnellement — l’émotion relevant davantage d’une pratique sophistique visant dans le meilleur des cas à séduire, dans le pire à tromper. Laurent Fabius explique par exemple devant les caméras de France 5 : Quatre personnages soutiennent la discussion : Gorgias, un des sophistes les plus célèbres, Polos, élève de Gorgias, Calliclès, sophiste

SOMMAIRE des séquences Objet d’étude Séquence 4 : Claude Roy : A la lisière du temps Séquence 5 : Jean-Claude Carrière : La Controverse de Valladolid Séquence 6 : Yasmina Réza : « Art » Séquence 7 : Fontenelle : Entretiens sur la pluralité des mondes Séquence 8 : Eric-Emmanuel Schmitt : Le Visiteur La poésie Convaincre… Théâtre, texte et repr. Convaincre / Lumières Théâtre, texte et repr. En annexes : 2 textes mis en forme grâce aux TIC

l’écart des échanges. De plus la mondialisation n’est pas correctement encadrée et prend parfois des tournures inattendues. Et enfin les pays du Sud dépendent le plus souvent des pays du Nord, et ceci dans presque tous les domaines. Dans mon argumentation je vais tout d’abord présenter deux théories sur la mondialisation qui nous seront très pertinentes. Il s’agit de l’altermondialisation et de l’antimondialisation. Nous verrons quel est la réponse de chacune à la problématique puis nous les comparerons

vie. 3.2 Religion et morale 3.2.a L’existence de Dieu - elle s’impose à notre raison car le monde est une machine admirable, donc il y a dans le monde une intelligence admirable, - elle est utiles à la société car la crainte d’un Dieu est le meilleur fondement de la morale pour les esprits simples. Quant aux philosophes, ils peuvent s’en passer : leur raison suffit à les maintenir dans la morale. 3.2.b Le déisme voltarien - critique des religions révélées car, selon Voltaire, elles reposent

détourne de la vie. 3.2 Religion et morale 3.2.a L’existence de Dieu elle s’impose à notre raison car le monde est une machine admirable, donc il y a dans le monde une intelligence admirable, elle est utiles à la société car la crainte d’un Dieu est le meilleur fondement de la morale pour les esprits simples. Quant aux philosophes, ils peuvent s’en passer : leur raison suffit à les maintenir dans la morale. 3.2.b Le déisme voltarien critique des religions révélées car, selon Voltaire, elles reposent surout

« la raison exige qu’il connaisse, qu’il étudie et qu’il travaille à acquérir les qualités sociables ». Les philosophes des lumières utilisent différent type d’argumentation (directe ou indirecte) pour éviter la censure. En effet, les textes à argumentation indirecte visent un plus grand public et donc évite la censure. Quant à l’argumentation directe elle ne vise qu’une élite de la société et particulièrement la bourgeoisie. Les auteurs tels que Montesquieu dans les lettres persans ou Voltaire dans

perspective, des procédés oratoires… Toutes ces finalités isolées ou combinées donnent naissance à une variété de formes et de tonalités qui rendent chaque tentative d’argumentation très originale et parfois difficile à discerner. Ainsi une argumentation peut paraître lâche ou serrée, courte ou longue, formelle ou informelle, lourde ou subtile, produite avec une économie de moyens ou au contraire donner l’impression de pilonner, classique ou novatrice, un long siège ou un coup d’audace

de ce qui a été présenté Ici, il s’agit d’apprendre à exprimer son opinion et de réinvestir des éléments déjà travaillés lors de séquences précédentes, sur l’expression de l’opposition, de la cause et de la concession, à l’intérieur d’une argumentation : Ex : « Bien que cette vid pas drôle parce que… « Quoiqu’il possède un caractère comique, ce sketch ne me semble pas hilarant » ; etc. 4 Déroulé de la séquence « Mais qu’est-ce qui vous fait rire ? » Nous ne rions pas des mêmes choses