Le Meilleur Des Mondes Huxley Contre Utopie

support de l’utopie qui comparativement permettent la critique de notre réalité. I. L'évocation d'un monde très éloigné du nôtre transporte le lecteur dans un ailleurs séduisant 1. Elle dépayse totalement le lecteur La littérature est peuplée de mondes très éloignés du nôtre. Cet éloignement conduit à un dépaysement, qui peut être géographique ou temporel. DansCandide, conte philosophique de Voltaire, le pays d'Eldorado est situé en Amérique du Sud, une région qui, au xviiie siècle, est associée

Thèmes 3 : Les utopies C'est la représentation idéalisée d'un état d'humanité tant ds le passé que ds l'avenir. Ds ttes les cultures , on retrouve le concept de " l'âge d'or ". Ex : Jardin d'Eden Ethymologie : Utopie => U ne signifie rien. Topos : lieu => un lieu qui n'existe pas Thomas Moore , Utopia ( le + haut magistrat anglais). => intrigue : Ds cette ile ,les gens sont égaux , pas de propriété privée , république idéale , la religion est tolérante , on travaille peu. Un passage du

Un contrat est un échange qui suppose l’intérêt réciproque et l’acquiescement volontaire à ses conditions (cf. contrat d’assurance : échange volontaire fondé sur l’intérêt réciproque d’une somme d’argent contre un service). Dire comme Grotius que le peuple comme l’esclave échange sa liberté contre la nourriture que lui fournit le maître ou le roi est absurde puisque c’est lui qui la produite (de plus, de fait, les rois n’ont cure de la nourriture du peuple : il s’agit de faire la guerre et donc de

******* Considérons l'état d'esprit d'un homme appartenant à une civilisation qui développe sa technique. On remarque que plus il découvre de choses, plus il est satisfait. En effet, il y a de la concurrence et son objectif est d'être le meilleur, donc il veut produire plus et maîtriser un maximum de choses concrètes ou abstraites (le savoir). Il se sent puissant, supérieur et pense avoir le droit d'exploiter les autres et de leurs imposer sa culture (comme le démontre l’exemple de la colonisation)

rustique, gage de bonheur et de sérénité, et offrent au lecteur l'image d'un monde idéal, d'un modèle de société bien éloigné de sa réalité, évoquée d'ailleurs de façon très critique. III. La critique du monde réel 1. L'opposition entre les deux mondes Le narrateur dresse un portrait très rapide et plutôt élogieux de sa propre société aux habitants de la Bétique. Ce tableau du « monde réel » est constitué d'une énumération de différentes réalisations humaines associées chaque fois à des termes

travail. ! Ainsi, ces trois textes présentent différents aspects de la liberté : liberté de choix, liberté de se déplacer sans contrainte, liberté de ne pas être asservi par des possessions matérielles, liberté de penser, liberté de se défendre contre les abus et liberté de progresser socialement. Rousseau et Zola ont des intentions politiques et philosophiques. Ils insistent sur la fraternité et la notion de collectivité. La Fontaine, quant à lui, propose un exemple moral et appelle à la défense

Créer une utopie qui tout en présentant les caractéristiques d’un monde idéal, critique un aspect de notre époque qui vous révolte. • Avant de se lancer dans l’écriture, bien identifier les consignes du sujet : il y 4 aspects à retenir : 1. « créer une utopie » ( une documentation ou une information sur ce genre littéraire particulier o Il s’agit d’un genre littéraire depuis le 17ème siècle ▪ D’abord romanesque (fiction narrative) ▪

programme). a.Le conte philosophique Lecture d’un corpus de textes extraits d’utopies du 16ème siècle (Thomas More) et du 18ème siècle (Montesquieu, Swift, Voltaire) et d’une contre- utopie du 20ème siècle (Huxley). Question 1. Dans quelle mesure peut-on parler de contre- utopie à propos de l’extrait de Le Meilleur des mondes ? 16.10 Correction du contrôle de lecture sur Candide. Lecture analytique d’un extrait du chapitre 18 de Candide (L’Eldorado). 18.10 Entraînement à l’épreuve écrite du

») sans conflit est concevable, et si oui à quel prix. Nous verrons que de telles communautés ont existé -­‐ au moins en apparence. Mais cela ne signifie pas forcément que nous pouvons souhaiter rétablir les conditions de possibilité de telles « utopies ». I. Oui car « le malheur, c’est la division » Cléanthe (philosophe stoïcien, 331-­‐ 232) Les conflits sont cause de souffrance pour l’âme comme pour le corps social. Les conflits naissent de tensions exacerbées. Dans le conflit, chaque protagoniste

devenir de l’humanité (destruction totale ou accession à la divinité) ; et celle de la SF politico-sociale, émergeant dans les années soixante, projetant la société dans des futurs proches souvent cauchemardesques, étant en cela, proche des utopies et des contre-utopies technoscientifiques. Cette étude se décline en quatre analyses : celle, générale, de la portée, valeur et signification que la SF peut revêtir pour la philosophie (relation avec les systèmes et pratiques conceptuels des philosophes,