Le Mendiant Baudelaire

Oliver Sheriff 2nd 15 le 16/02/2014 Anthologie sur Les Fleurs Du Mal de Baudelaire Sommaire: 1) Les poemes évoquant les cinq sens -p1 2) La Femme selon Baudelaire -p11 a-Introduction b-Incarnation du Mal c-La Femme Ideale d-La Soeur e-Conclusion 3) Une peinture illustrant Spleen&Ideal -p21 4) Sources -p22 Les Poemes évoquant les

de création et la morale dans une société bourgeoise comme le second empire pour un artiste comme Baudelaire? 2010 PROBLEMATIQUE : Où est la frontière entre la liberté de création et la morale dans une société bourgeoise comme le second empire pour un artiste comme Baudelaire? . Introduction : Charles Baudelaire poète originaire de France naquit en 1821 et décéda à l’âge de 46 ans suite à une maladie très courante

entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise : Ils ont aimé ! Méditations poétiques, 1820 La Liberté guidant le peuple, Eugène Delacroix, 1830 6) Baudelaire (1821 – 1867) Biographie : Baudelaire naît à Paris en 1821. Il perd son père à l’âge de six ans. Après des études secondaires à Lyon puis au lycée Louis le Grand, Baudelaire mène une vie marginale et de bohème dans le Quartier latin. En 1841, sous la pression de sa famille, il embarque pour les côtes d’Afrique et de l’Orient. Il

ai-je mérité mafaiblesse actuelle ? Vous qui prétendez que des bêtes poussent des sanglots de chagrin, que des malades désespèrent, que des morts rêvent mal, tâchez de raconter ma chute et mon sommeil. Moi, je ne puis pas plus m’expliquer que le mendiant avec ses continuelsPater et Ave Maria. Je ne sais plus parler ! Pourtant, aujourd’hui, je crois avoir fini la relation de monenfer. C’était bien l’enfer ; l’ancien, celui dont le fils de l’homme ouvrit les portes. Du même désert, à la même nuit

lieux de mémoires → l'architecture a un sens ● La ville est une entité abstraite : problématique du tout et du fragment La ville, personnage surhumain ● Rupture avec le passé, la forme pour retranscrire la ville doit elle aussi être renouvelée (Baudelaire) → intérêt pour la forme. ● Lien entre la physiognomie de la ville et sa transription. Haussman → métamorphose du coeur de la ville : grands monuments restent mais leur environnement est transformé → ville unidimensionnelle, uniforme → plus

En poésie, l’alchimie est une métaphore qui insiste sur la capacité du poète à transformer ce qui semble laid, comme la boue, en une chose admirable, comme l’or, et donc à révéler la beauté du monde. Ce thème a été souvent repris, par exemple par Baudelaire ou Tristan Corbière, mais aussi par Victor Hugo, célèbre poète romantique du XIXe siècle. Dans son texte « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » issu des Contemplations publiées en 1856, l’auteur évoque son opinion au sujet de deux créatures mal

& donc est payé peu car payé que pour sa mise en servitude : disposition de son temps de travail, d’une partie de sa liberté. - Le misérable. Celui qui a perdu toute félicité. Cicéron appelle miséreux les morts car ils sont perdus la vie. Les mendiants car ils ont moins que le minimum vital. La misère manifeste une gradation dans la pauvreté, c’est celui qui a moins que le minimum vital pour pouvoir subsister. - L’exclu renvoie non seulement à une forme de misère économique & sociale mais aussi

Charles Baudelaire Les fleurs du mal Édition établie par Jacques Dupont Collection "GF"; 227 Copyright: Garnier-Flammarion, 1991 ISBN 2-08-070527-X Transcription en braille intégral: Bibliothèque Braille Romande, Genève, août 1999 Notes et Variantes Il n'était pas possible de reproduire ici la totalité des variantes: nous avons retenu les principales. Il en va de même pour les "sources", nombreuses et souvent conjecturales, que la tradition critique a accumulées. Notre choix vise

 1ère STI2D 3 SEQUENCE I – POESIE ET QUETE DU SENS Problématique Quel sens peut avoir la création poétique ? Que cherche le poète ? Textes étudiés en lecture analytique 1 – Hugo, « Le mendiant », Les Contemplations, 1856 2 – Baudelaire, « Correspondances », Les Fleurs du mal, 1857 3 – Jaccottet, « Le travail du poète », L’Ignorant, 1957 4 – Jaccottet, « Je sais maintenant que je ne possède rien … », L’Effraie, 1953 4 groupements de textes ○1er corpus. C’est le corpus que nous avons

un marchand, un banquier, un chasseur avec ses chiens qui ressemblerait à Napoléon III. Ou encore un ouvrier inactif, un croque-mort et une mendiante qui symbolisent la pauvreté. Et à droite il y a toujours selon Courbet « les actionnaires, les amis, les travailleurs, les amateurs du monde de l'art. ». Au premier plan on peut voir Charles Baudelaire qui lit, il représente la poésie. Il y a le critique Champfleury (assis sur un tabouret) qui défend le réalisme et ami de Courbet. On retrouve