Le Mendiant Victor Hugo

d’habitude, parce que le nombre des enfants papistes est au moins de trois contre un dans ce royaume ; cela aura donc un autre avantage, celui de diminuer le nombre des papistes parmi nous. J’ai déjà calculé que les frais de nourriture d’un enfant de mendiant (et je fais entrer dans cette liste tous les cottagers [2], les journaliers et les quatre cinquièmes des fermiers), étaient d’environ deux shillings par an, guenilles comprises ; et je crois qu’aucun gentleman ne se plaindra de donner dix shillings

..............................................................................59 A UNE MENDIANTE ROUSSE.............................................................................................................................60 LE CYGNE..............................................................................................................................................................61 A VICTOR HUGO.......................................................................................

ranimer, ô génies, Mes chansons, comme un ciel d'automne rembrunies, Et jeter dans mes yeux son magique reflet, Et longtemps, s'éteignant en rumeurs étouffées, Avec les mille tours de ses palais de fées, Brumeuse, denteler l'horizon violet ! Victor Hugo , Recueil : Les orientales Rue Paul Verlaine Je fais parfois le rêve étrange et pénétrant d'une rue en étain blanchâtre et maternelle l'un et l'autre trottoir palpite comme une aile tandis que sa chaussée a tout son poids d'étant Les ruisseaux

est arrivé à Montmartre, Robinson, Biarritz, Nogent-sur-Marne, le Mont Saint-Michel, les chutes du Niagara, Tahiti ... On trouve son jardin beau comme un Corot, écrit Oscar Wilde, et les Goncourt ajouteront "un cheval beau comme un Géricault, ou un mendiant beau comme un Murillo". L’homme moderne a appris à trouver beau les lieux inhospitaliers qui glaçaient d'effroi dans les siècles passés : les forêts, les déserts, les montagnes et les glaciers. Valéry peut alors se lamenter : "Il est des lieux

trahison (ex : « Le Vampire », femme=bourreau)La ville : Baudelaire est fasciné par la ville, il est donc à contre-courant du romantisme. Dans la ville, il s’intéresse aux plus démunis : vieillards, vieilles femmes, aveugles, prostitués, mendiants, dont il révèle la beauté cachée derrière leur détresse. C’est aussi un lieu de solitude, celle des plus démunis laissées pour compte de cette société et celle du poète exilé dans la ville, qui fait l’expérience de la solitude dans la foule

passage de l'ignorance à la connaissance (par exemple, Œdipe apprenant que la reine Jocaste, qu'il a épousée, est en fait sa mère); la catastrophe, qui est une action destructive et douloureuse (Œdipe se crevant les yeux et s'en allant comme un mendiant, après avoir appris l'horreur de son destin). Enfin, selon le philosophe, la fable doit être assez élaborée. En France, au XVIIe siècle, Corneille suivra ce précepte, alors que Racine , au contraire, cherchera à simplifier ses intrigues.

naturelles sur les Alpes et le Rhin. La République doit également permettre de mettre fin du régime « timoré et humiliant » de la Monarchie de Juillet. Cette idéologie « nationaliste de gauche » est représentée parfaitement par MICHELET puis par HUGO, après sa conversion. Pour accéder à la République, deux solutions s’opposent : la méthode légale et l’insurrection populaire héritée de la « grande Révolution ». (Droit à l’insurrection qui ne peut s’exercer légitimement que contre les régimes oligarchique

 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Les misérables’’ (1862) roman de Victor HUGO (1490 pages) pour lequel on trouve un résumé puis une analyse de : - la genèse (page 16) - l’intérêt de l’action (page 19) - l’intérêt littéraire (page 29) - la langue (page 29) - le style (page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne

ciel de Victor Hugo, double symbole du Progrès humain et du Salut chrétien (on le trouvait déjà dans "Mauvais sang" : "Le chant raisonnable des anges s'élève du navire sauveur : c'est l'amour divin.").       Les "blanches nations en joie" sortent tout droit de l'imagerie chrétienne du ciel. On y a décelé une allusion à la célébration des Saints dans l'Apocalypse,7,9 ("grande multitude [...] de toute nation [...] vêtus de robes blanches"). On trouve des visions voisines dans le même poème de Hugo ("Nef

perfection de sa laideur, la populace le reconnut sur-le-champ, et s’écria d’une voix : C’est Quasimodo, le sonneur de cloches ! c’est Quasimodo, le bossu de Notre-Dame ! Quasimodo le borgne ! Quasimodo le bancal ! Noël ! Noël ! […] Cependant tous les mendiants, tous les laquais, tous les coupe-bourses, réunis aux écoliers, avaient été chercher processionnellement, dans l’armoire de la basoche, la tiare de carton et la simarre dérisoire du pape des fous. Quasimodo s’en laissa revêtir sans sourciller et