Le Mendiant

et quelle en est la portée polémique ? Au cour de l’acte 3, Don Juan et Sganarelle toujours déguisés l’un en habit de campagne et l’autre en médecin s’égarent dans la forêt alors qu’ils tentent d’échapper aux frères d’Elvire. La rencontre avec le mendiant est l’occasion pour D.J de poursuivre son défi provocateur envers les valeurs de la société. Nous montrerons donc quelles facettes du libertin révèle cette scène et quelle en est la portée polémique. I. Du sadisme au sacrilège. La progression

bourgeois sont reconnaissables à quelques attributs: gant, canne. Il méprise le mendiant en lui donnant un timbre à la place d'une pièce. 6 Une enfant (peut être une orpheline car elle est seule et pieds nues) dessine sur le mur. 7 La petite fille se trouve devant la vitrine d'un magasin de prothèses, ce qui accentue l'infirmité des deux personnages. Les prothèses sont très élaborées par rapport à celles du mendiant. 8 Dans la vitrine d'à côté des perruques et des objets liés à la beauté.

sont dévorés, au sens figuré, par les politiques et les riches, autant proposer qu’ils le soient aussi au sens propre. A Modest Proposal s’ouvre sur un constat, celui de la misère humaine que l’on peut voir sur des routes peuplées de misérables mendiants aux corps décharnés. La figure allégorique de cette misère est une femme, suivie de ses nombreux enfants  Cette misère est associée à un pays sur lequel elle s’étend sans limite comme le suggèrent les cinq indications de lieux, montrant d’abord l’Irlande

(sans doute une prostituée). Personne ne regarde l'invalide, sauf le chien, mais ce dernier fait preuve d'agressivité contre l'homme. Une fillette dessine à la craie sur un mur. Une main de bois tient une canne. Un homme donne un timbre à l'invalide mendiant. Au fond il y a deux vitrines: une représentant la beauté (des produits de beauté...), l'autre représente la laideur (prothèse). On peut apercevoir la faux de la faucheuse se dessiner au centre de ce tableau. Otto Dix a utilisé un cadre resserré

LEUR PAYS ET POUR LES RENDRE UTILES AU PUBLIC ___ C’est une triste chose pour ceux qui se promènent dans cette grande ville[1] ou voyagent dans la campagne, que de voir les rues, les routes et les portes des cabanes encombrées de mendiantes que suivent trois, quatre ou six enfants tous en haillons et importunant chaque passant pour avoir l’aumône. Ces mères, au lieu d’être en état de travailler pour gagner honnêtement leur vie, sont forcées de passer tout leur temps à mendier de quoi

les indigents deviennent un problème national. Ce phénomène est visible depuis la moitié du XVIII°siècle. L'augmentation de la pauvreté a prit plusieurs formes: les pauvres à proprement parler ( définition du dictionnaire de l'ancien régime), les mendiants (définition), les personnes non valides, les vagabonds, les gens sans aveu .... et entraine une certaine méfiance, une peur de la part de la population. Le pouvoir royal décide par conséquent de prendre le problème en main et cela dès 1657. L'ensemble

sur la condition des mendiants au XVIIIème siècle ? Pour élucider cette question, nous étudierons tout d'abord la condition des mendiants telle que décrite par l'abbé de Véri, les problèmes soulevés par ce dernier, qui constitue en grande partie une critique du système social de son époque, et enfin les deux propositions pour résorber la situation proposées par le réformateur. 3 I. La condition des mendiants 1 A. Une évolution du statut la pauvreté Les mendiants et les vagabonds sont

aviez eu la générosité de donner un peu de votre pitance à ce même homme, qu'il ne serait pas mort? Je pense Madame que votre conscience ne pourrait porter un tel poids... -Que savez vous de ma conscience jeune homme... Vous n'êtes qu'un vulgaire mendiant qui fait la manche pour se nourrir! -Madame, je lis dans vos yeux que vous n'êtes pas de ces gens là. M'est avis que jamais vous ne laisseriez mourir un être humain, alors que vous avez la possibilité de lui donner à manger... Même si le repas que

avait dressés à l’attelage. Le mendiant avait soixante ans, mais il en paraissait quatre-vingt-dix à cause de la rudesse de sa vie passée. Il ne se doutait pas que quelqu’un allait bouleverser sa solitude le lendemain. Pierre, un jeune français, était arrivé au Portugal par avion au petit matin. Il prit un taxi, se rendit à la place principale de Lisbonne et se mit en quête d’un hôtel. Le jeune homme passa devant la célèbre cathédrale, donna un euro à un mendiant sans importance et suivit son

est une sorte d'illustration critique, il installe deux mannequins de personnes assises dans la rue, le contexte de cette œuvre est très important et nous permet d'identifier immédiatement le statut de ces deux personnages : ce sont des SDF, des mendiants et il a donc choisi de les placer dans une rue passante de la ville de Washington car il n'y a quasiment qu'en ville que l'on voit une personne assise dans la rue pour mendier, (s'il avait choisi de les placer à la campagne ou en forêt on les aurait