Le Mercantilisme Et La Monnaie

keynésienne : Keynes (1883-1946).       L'économie de marché n'est que rarement en équilibre. Pour Keynes, l'État doit intervenir dans la vie économique pour rétablir les grands équilibres. Dans sa théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936), il justifie le recours au déficit public pour stimuler l'emploi.   Les grands équilibres :       Les grands équilibres en économie sont les équilibres fondamentaux nécessaires au bon fonctionnement de l'économie d'un pays.       On pense

monétaire est le processus par lequel de la monnaie nouvelle est introduite dans le circuit des échanges économiques. Au plan matériel, cela se traduit par la récolte de biens ayant une valeur reconnue (coquillages, métaux précieux, ...) ou leur fabrication (frappe de pièces, impression de billets), ou même par un jeu d'écriture dans un livre comptable (inscription d'un montant au crédit d'un client par un établissement financier). Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire

lui « l'oint du seigneur » assure sa légitimité, en fait le « ministre de Dieu sur terre ». Sa personne est donc sacrée. Il dispose de la totalité des pouvoirs : exécutif, législatif, judiciaire. Il peut faire la paix ou la guerre, anoblir, battre monnaie, lever des impôts. Il peut par une « lettre de cachet » faire emprisonner qui il veut sans jugement. Louis XIV décide de gouverner personnellement, sans premier ministre à partir de 1661. Pour l'aider dans sa tâche, il se fait assister par des conseils

keynésianisme | PREAMBULE MOTIVANT | DUREE : 5 min | Professeur : Bonjour !Elèves : Bonjour madame !Professeur : la semaine dernière, nous avons vu les courants de pensée économique avant le 18è siècle. Quels sont ces courants ?Elève : le mercantilisme et la physiocratie. Professeur : connaissez-vous les courants de pensées après le 18è siècle?Elève : (réponses incomplètes ou pas de réponses).Professeur : En tant que futurs comptables, il vous appartient de reconnaitre et de mesurer le degré

tout pouvoir à la noblesse puisqu'elle achète leurs terres pour en faire des seigneuries et de vastes domaines féodaux. 2 La métropole est le centre des activités économiques d'une colonie. Les rapports entre les deux partis se font sous le mercantilisme : « […] conception de l'économie, et particulièrement de l'économie politique, fondée sur un postulat de base selon lequel toute richesse, tant individuelle que nationale, se mesure à la quantité d'or et d'argent qu'on thésaurise. »[4] La colonie

vont avoir des entrées d’argent (or et argent à l’époque qui provoquaient un infléchissement monétaire du pays). Dans cette conception, le partage du revenu mondial est à somme nulle. Il y a donc accumulation de stock d’or, avec la monnaie papier on peut créer de la monnaie, au final on ne sera plus en accord avec la richesse réelle créée. 2) L’analyse de Smitth (1776) : La richesse avant tout réelle. Smith a proposé que chaque pays se spécialise la où il est le meilleur et qu’on exporte la où

plus politique lié au gouvernement. Contrôle direct. o Mondialisation, changements technologiques • facteurs politiques (guerre, rivalités, terrorisme), • structures sociales et de pouvoirs, cultures, etc… 2. Influence des idées économiques a. Mercantilisme et approches nationalistes- industrialistes Lien étroit entre Marché (commerçants) et État : connivence; Système de privilèges (réglementation, entente) Rôle de l’État dans le développement industriel, idée de soutien aux champions nationaux

= 5e constitution   Causes  de  l’AANB:  instabilité  politique  au  canada­uni,  menace  invasion  USA,  fin  traité  réciprocité, construction chemin de fer vers l’Ouest.  Séparation pouvoirs en fédéral et provincial:  fédéral:  défense,  banque,  monnaie,  relations  externes,  autochtones,  chemin  de   fer  et  naviguation, code criminel, pouvoirs résiduaires.   provincial: éducation, santé, richesses naturelles, routes, code civil,   (immigration et agriculture reste au main du provincial et du fédéral

Augustin (354-430) . . . . . . . . . . . . . . . B. Saint Thomas d’Aquin (1225-1274) . . . . . . . . . 2.2 Les premi` res repr´ sentations d’ensemble de l’´ conomie . . . . e e e 2.2.1 Le mercantilisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A. Populationnisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Monnaie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Interventionnisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 La physiocratie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

mouvements de capitaux § 1 : Les capitaux privés § 2 : L’aide au développement § 3 : Les apporteurs multilatéraux : FMI & BM Chapitre VI : Le système monétaire international § 1 : L’étalon-or § 2 : Le régime de Bretton Woods § 3 : Le flottement des monnaies § 4 : Le SMI actuel et ses déséquilibres § 5 : Quels ajustements ? § 6 : Vers un nouveau SMI ? Conclusion 3 Chapitre 1 : LES ECHANGES INTERNATIONAUX § 1 : Les trois phases de l’ouverture. 11) 1850-1914. 1° Mondialisation. Intégration aux économies