Le Messager de la mort

trois auteur ont un point commun : tous contre la peine de mort, et dans leurs œuvre ont retrouve bien des solution pour cette peine de mort. La question est remise sur le gouvernement en se demandant si il y a assez de liberté du peuple et s’il n’y a pas trop de règle. La littérature fait passer le message du peuple, qui peut être contre le roi ou bien seulement contre une loi mais que personne n’ose dire ayant peur d’être punie jusqu'à la mort. Cela se faisait déjà il y a bien longtemps, par exemple

après être venu au Caire pour participer à la manifestation du 25 janvier et avoir été détenu douze jours par les forces de sécurité, être le créateur de la page Facebook "We are all Khaled Said". Baptisée du nom d'un jeune homme torturé et battu à mort par des policiers à Alexandrie le 6 juin 2010, la page a été au cœur de la prise de conscience par les jeunes Egyptiens des abus de la police et du pouvoir, et fut la clé, avec d'autres pages contrôlées par d'autres mouvements de jeunesse, de la mobilisation

(Grèce) (-480 ; -406) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il naquit à Salamine vers 485. Le peu que l’on sait de ses origines, de sa vie et de sa mort repose sur des légendes souvent malveillantes qu'il faut prendre avec circonspection car il fut la cible privilégiée des poètes comiques. Il est assuré cependant que sa famille était assez aisée pour lui avoir fait donner une éducation conforme à

Créon, la nourrice d'Antigone, le messager et enfin les trois gardes. Antigone rentre chez elle, à l'aube, après une promenade nocturne, elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse quelques reproches. La nourrice sort et Ismène dissuade Antigone d'ensevelir le corps de son frère Polynice et ainsi d'enfreindre l'ordre de Créon. Sans succès, Antigone n'entend pas devenir raisonnable. Antigone se retrouve à nouveau seule avec sa nourrice, elle pense à la mort, la nourrice la réconforte. Ensuite

désespoir, il dit : « Ecoute Mina, voilà j’ai reçu un appel de ta mère tout à l’heure, elle m’a demandé de te passer un message.. Mina était en détresse elle ne comprenait rien. Le directeur reprit. Voilà ton père a était retrouvé, dans une rue avec 12 coups de couteaux, ton père est mort Mina… » A ces mots Mina eu un déchirement, elle ne le croyait pas. Son père ne pouvait pas être mort, non pas son père. Les larmes lui montaient aux yeux, elle ne pouvait plus se retenir. A ce moment, elle voulait

que la protection du pays est primordiale et que la mort de tous ses ennemies est nécessaire pour garantir les libertés de tous. Ce discours très populaire à l'époque est qualifié par Céline comme étant une propagande irréaliste qui ne peut s'appliquer à l'horreur de la guerre. L'horreur de guerre justement n'est pas l'aspect qui choque le plus notre narrateur, la preuve il n'est nullement troublé lorsqu'il aperçoit son colonel éventré et le messager « qui n'avait plus sa tête [mais] rien qu'une ouverture

ABBA ; ABBA ; CCD ; EDE pour les rimes. Ce poème reprend dans sa structure même des images et des thèmes récurrents da la poésie baroque. Bref, il est là pour nous enseigner qu’on ne trouve le sens véritable de l’existence qu’auprès de Dieu, après la mort… Notons que nous avons peu de renseignements sur l’auteur (seulement qu’il a été avocat de la cour au parlement de Toulouse). 1) LE MOUVEMENT DE LA FRAGILITÉ DE L’EXISTENCE : Le vers 1 introduit le thème du mouvement en s’inspirant des phénomènes

registres : -trahique : chp lexical de la mort. -mélodramatique : "fiole de poison" => spectaculaire ->dramatisation mélodramatique dans l'attitude de RB "marche lentement"; et ds les questions de la reine "que fait-il?" -Lyrisme : exaltation du sentiment amoureux "je t'aime" -Pathétique : souffrance de RB. Familiarrité de certaines répliques : "Dis?"; "Je m'apelle RB" => tragique + humain. Amour impossible et fatal : -Thème romantique par excellence. -la mort => dénouement de cet amour impossible

vie, et la vie était la Lumière des hommes, et la Lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point arrêté » Le Prologue de l’ Evangile de Jean, qui compose le Volume de la Loi Sacré posé, sur l’Autel des serments, constitue, un message que les maçonnes, que tous les maçons du REAA, se doivent de déchiffrer. Je vais donc tenter de vous exprimer, par une approche, un peu plus ésotérique, un peu plus johannique, on va dire, mon sentiment, sur « cette lumière qui brille…». LA

ORPHÉE REVU PAR JEAN COCTEAU I. Le film et son auteur Orphée est un film réalisé par Jean Cocteau en 1950. Il est directement inspiré du mythe grec d'Orphée. Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 et mort le 11 octobre 1963, est un poète français, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste. Dans Orphée, Cocteau transpose le Saint-Germain-des-Prés du début du siècle dans le contexte irréel du mythe d'Orphée, installant un climat de réalisme irréel, délire lyrique empreint de surréalisme,