Le Métèque

| |la transmission de la citoyenneté mais sont exclues de | | | | |la vie politique. | |Métèques (femmes et enfants |9 000 à 12 000 |25 000 à 40 000 |Non citoyens : étrangers domiciliés à Athènes mais | |compris) | | |exclus

-Dans la Grèce antique, le terme de métèque désigne l'étranger domicilié dans une cité, autre que celle dont il est originaire. Il ne comporte alors aucune connotation péjorative. Le nationalisme c'est le sentiment de vif attachement à la nation, c’est-à-dire d'une grande exaltation de l'idée nationale ; c'est également une doctrine politique qui affirme la primauté de l'intérêt national, sur les intérêts particuliers de ses composantes d'une part et sur les intérêts des autres nations d'autre

garnison. Section n°2 : Les autres habitants de la cité Athènienne I Les métèques - Littéralement les co habitants (méta = A coté, oikos = la maison) : les métèques sont ceux qui vivent à cote de citoyens sans être des citoyens. Traduction= ce sont ceux qui cohabitent ou bien ceux qui ont changé de résidences (ceux qui sont venus de l’extérieur d’Athènes pour vivre aux cotés des athéniens). - Le nombre des métèques : on estime qu’au Vème siècle, il y avait 40000 hommes ayant ce statut, en

par son père ou son tuteur, prouver que le jeune homme a bien 18 ans et qu’il est bien un fils légitime ; un vote a ensuite lieu. Si la réponse est négative, on peut faire appel, mais en cas de perte du procès, la personne peut être réduite à un métèque. Accorde-t-on le droit de cité à des gens qui ne sont pas nés citoyens ? Il s’agit d’une procédure très rare. Une douzaine de cas sont connus dans tout le 5e siècle. Toutefois, les habitants de Platées reçurent collectivement la citoyenneté athénienne

politiques : 10 chefs : HASARD : 1 an, ** une seule fois QUÉBEC | ATHÈNE | a) 1er ministre b) ≠ hasard c) femme droit de vote ( pas métèques) d) démo. Représentative : LUI qui và à l’assemblée. Nationale & eux vont voté les lois e) ≠ mendats limité ( 1 = 4 ans) | 10 chefs politiqueshasard : archonte, boulè, héliéefemme, esclaves, métèques ≠votedémocratie direct : tous participe à l’assembléemendats limités : 1 an | ROME (RÉPUBLIQUE) & EMPIRE ROMAIN A)CITOYENS .

Grecs ont la même langue une même culture mais aussi une meme religion Grandes fêtes, jeux olympiques. Tout les autres peuples sont des barbares Citoyens, femmes et enfants, esclaves et métèques. Esclaves : un instrument animé 25 ans de vie et souvent prisonniers de guerre peut être affranchis Métèques : des personnes qui n'ont pas la citoyenneté de la ou ils vivent payent un impôt sur les étrangers pas de terre peut etre riche Citoyens : Pas très nombreux que des hommes de 22 ans 20 ans

patriarcale. Au viiie siècle, la cité en se développant se bâtit sur une double exclusion : « club de citoyens », elle exclut les étrangers (métèques) et les esclaves ; « club d’hommes », elle exclut les femmes. Aristote définissant la citoyenneté comme la possibilité de participer au pouvoir politique, la femme en est donc la plus éloignée : contrairement aux métèques et aux esclaves, elle ne peut jamais devenir citoyenne. Il faut attendre l’époque hellénistique pour voir de grandes figures de femmes

qui vit le jour dans le dernier tiers du 5ème siècle avant J.C , sous la démocratie de Périclès . Ces intellectuels étaient des métèques (des ressortissants d’autres cités grecques). Les sophistes restés célèbres parmi ces métèques sont Protagoras, Gorgias (connus par les dialogues de Platon), Prodicos de Céos, Hippias d’Elis ( moins connus ), Antiphon d’Athènes

Dans les cités-États grecques, les citoyens étaient ceux qui participaient aux décisions de la cité (lois, guerres, justice, administration), aux débats à l'agora et étaient les seuls à pouvoir posséder la terre par opposition aux métèques et aux esclaves (les métèques et les esclaves étant des catégories qui n'existaient qu'à Athènes). Ces citoyens devaient toutefois respecter certains critères, comme être de sexe masculin, avoir plus de dix-huit ans, être libre, être né de père citoyen et aussi

400000 habitants peuplent la cité d'Athènes. Ces habitants sont répartis de la façon suivante : - les citoyens, - les femmes, - les esclaves, - les métèques. Dans cet univers la femme n'a pas sa place, presque aucun droit ne lui est attribué, elle n'est là que pour se marier, entretenir la maison, s'occuper des enfants et tisser. Quant aux métèques, ce ne sont que des étrangers qui résident à Athènes, ils bénéficint seulement d'une protection juridique (surtout les commerçants) et peuvent joindre