Le Misanthrope Narrateur

de vue critique sur une société de consommation et de tourisme de masse notamment. Il peut être intéressant de parcourir le livre en reprenant les « étiquettes » dont on affuble Edward Abbey et que Doug Peacock relève dans son introduction (misanthrope, éco-anarchiste, saint patron de l’écologie radicale américaine), pour identifier les passages qui alimentent cette image caricaturale et ceux qui la nuancent. Des passages qui peuvent faire l’objet d’une analyse plus approfondie Chapitre «

Les vertus de l’amant sont-elles une condition sine qua non de l’amour que consentirait à lui porter la dame ? On pourra rapprocher cette étude de cas de la question du « mérite » chez Corneille et de celle de l’« honnête homme » – Alceste du Misanthrope – chez Molière. ... à vous de participer au jeu poétique... (p. 38) On veillera à obtenir des élèves une définition acceptable du paradoxe, dont il retrouveront maints exemples au XVIIe siècle. 5 Réponses aux « … à vous… » Moyen Âge

S’opposant à la tragédie, la comédie cherche à divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (Castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière, il s’agit

“Essais” comme «un livre de bonne foi», mais Rousseau lui reprochait de s'être peint «de profil». Aussi “Les confessions” furent-elles la première grande œuvre autobiographique de la littérature française et la première autobiographie moderne car le narrateur, mettant en épigraphe « Intus et in cute » (c’est-à-dire « intérieurement et sous la peau ») et annonçant ainsi son souci de profondeur, fut le premier à oser livrer des confidences infamantes ou simplement des moments nuls, à tisser une trame confuse

de La Fayette La Princesse de Clèves est un roman publié anonymement par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l'indique le narrateur dans les premières lignes. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s'il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d'analyse dont se réclamera

entourent. Le problème, c’est qu’ils se trouvent dans une période de changement, où ils sont confrontés à « l’époque la plus instruite, la bourgeoisie la plus aristocratique, le pays le plus femelle au monde » (929). Ils devraient alors, selon le narrateur, pour se tirer d’affaire, coopérer avec « une classe moyenne, ivre de distinctions, amoureuse d’art et de science ». Néanmoins, pour « une question de pouvoir », ces grands rejettent toutes les propositions et n’accordent aucune chance à ceux qu’ils

par les opposants) : amour , amitié , constance , générosité… 3) La théorie de l'optimisme qui émane du conte: q On constate que l'optimisme n'est de mise que par : Bêtise ( Pangloss) Innocence( Candeur/ Candide) Ø Ironie ( le narrateur/ conteur). ( L’euphémisation ironique - Ex.1 De la guerre : « boucherie héroïque », « harmonie telle qu’il n’ y en eut jamais en enfer. » Ex.2 l’évocation de la prison à Lisbonne, où Pangloss et candide sont mis à l’ombre dans un endroit très frais

d’identification et d’illusion théâtrale. Comme au théâtre il n’y a pas de narrateur, le personnage est ce qu’il dit, l'identité personnelle est donnée par le texte. Le personnage est tellement fondateur dans l'action théâtral que beaucoup de pièces sont le développement du portrait d’un personnage au cours de la pièce : l'étude du caractère ( Le Misanthrope , L’avare , Britannicus …). De ce point de vue là, le théâtre à tendance

de Maupassant), de Bardamu ou Roquentin, « est loin d'être exemplaire », ces personnages ne sont pas des surhommes, mais ce sont eux qui « occupent le devant de la scène ». C'est dans ce sens là qu'on parle du « héros proustien », c'est-à-dire du narrateur-personnage, qui jamais ne quitte la scène du roman (sauf dans Un amour de Swann). C'est aussi dans ce sens-là – de protagoniste –que des écrivains parlent couramment de « héros ». Ainsi Zola, sur sa fiche « Etienne Lantier » (dans le dossier « personnages

Jean de Le Bruyère n’est pas le seul à avoir stigmatisé les travers de son temps, dans le but de permettre à son Lecteur d’atteindre la perfection de l’ Honnête Homme . · Molière, avec le Misanthrope , montre la difficulté à être Honnête Homme , (Document n°1), avec Tartuffe , il dénonce les faux dévots, (Document n°2). · Jean de La Fontaine, dénonce les courtisans