Le Misanthrope Résumé Intrigue

cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L'Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672) et bien d'autres. Épuisé par le travail et la maladie, il est atteint d'une tuberculose, Molière meurt le 17 février 1673 après la quatrième représentation du Malade imaginaire, il jouait le rôle d'Argan. II – Résumé du Bourgeois Gentilhomme Monsieur Jourdain est un riche bourgeois

presque rien : la narration se focalise principalement sur le personnage principal, des Esseintes, un antihéros esthète et excentrique, et constitue une sorte de catalogue de ses goûts et dégoûts. I Résumé ● À travers le personnage de des Esseintes, Huysmans n'a pas seulement résumé et immortalisé les torpeurs, les langueurs, les névroses vénéneuses et perverses du siècle finissant. Car des Esseintes est aussi un héros kierkegaardien, à la fois grotesque et pathétique, une des plus fortes

Résumé Le personnage principal de cette œuvre porte le nom de Prétextat Tach. Il s’agit d’un écrivain très célèbre qui a d’ailleurs gagné un Prix Nobel de littérature. A 83 ans, il ne lui reste plus que deux mois à vivre, étant atteint d’un syndrome inventé de toute pièce par l’auteure, l’Elzenveiverplatz, une sorte de cancer du cartilage. Ce personnage étrange a décidé d’arrêter définitivement d’écrire, après avoir écrit une vingtaine de livres remarquables. Toute sa vie, Prétextat a refusé de

Théâtre des Quartiers d’Ivry La Scène Watteau « […] donner est un mot pour qui il a tant d’aversion, qu’il ne dit jamais : Je vous donne, mais : je vous prête le bonjour. » [La Flèche, Acte II scène 4] SOMMAIRE Page 2/ Distribution Page 4/ Résumé et note du metteur en scène Pages 5/ Molière et L’Avare – Genèse et contexte Page 9/ Sur le théâtre classique Page 10/Sur la commedia dell’arte et les lazzi Page 11/ Construction de la pièce Page 14/ Les thèmes Page 16/ Questionnaires d’analyse

2°B Fiche de lecture [pic] Année : 2010/2011 ➢ Titre : Dom Juan ➢ Nom de l’auteur : Molière ➢ Le mouvement auquel appartient l’auteur : classicisme ➢ Le nom de l’éditeur : Classique Bordas ➢ Résumé de l’œuvre : Un paysan Pierrot, raconte a sa promise, Charlotte une paysanne, comment il sa sauvé des eaux un gentilhomme et son valet. Dom Juan arrive, il fait sa courtoisie à Charlotte. Il la demande en mariage. Mathurine arrive. Elle est jalouse

parfois tendu | Heureux | Moquerie envers les ridiculisés | Turcaret de Lesage | Comédie de caractère | Bourgeoisie | Contemporaine à celle de l'auteur | Emprise du caractère | Joyeux, parfois tendu | Heureux | Moquerie envers les ridiculisés | Le Misanthrope de Molière | Farce | Peuple | Moyen Âge | Obstacles légers | Comique gestuel | Heureux | Rire | La Farce de Maître Pathelin(vers 1465) | 2. La tragédie La tragédie n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du XVIe

Le Misanthrope I – Biographie de Molière Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un dramaturge du XVIIe siècle (1622-1673). Il est le fils de Jean Poquelin, un riche marchand de tapissier établi à Paris. Sa mère meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans. Molière eut trois enfants avec Armande Béjart. Le premier, Louis, est décédé à huit mois et demi. Le second est une fille, Esprit-Madeleine, née en 1665. Enfin, le dernier, Pierre, est né en octobre 1672 et il meurt le mois suivant

comme le suggère le « on dit ». Il s’oppose au refus et a la peur de Sylvia car elle est incompétente « je ne m’ennuie pas d’être fille ». En effet Sylvia s’oppose à toute forme de mariage conventionnel de l’époque. En définitive cette intrigue sur le mariage se résume entre la première et la dernière réplique puisque s’oppose deux mots majeurs : sentiment et mari. Le mot sentiment renvoi a l’amour alors que dans la réplique la tautologie employé par Lisette « un mari ? C’est un mari » fonde le mariage

renchérit sur Molière : la satire des grandes démonstrations d’affection (Le Misanthrope, 17 sqq.) : a. C., 30 : « accabler de caresses » (Le Misanthrope, 17) devient chez La Bruyère « étouffer de caresses ». b. G., 48 : les « embrassements » de Théognis (cf. Le Misanthrope, 20-22). La Bruyère ajoute un jeu de scène caricatural : « il lui presse la tête contre sa poitrine ». « Il demande ensuite qui est celui qu’il a embrassé » résume et aggrave les vers 21-22. 3. De la caricature à l’outrance burlesque[1]

comme le suggère le « on dit ». Il s’oppose au refus et a la peur de Sylvia car elle est incompétente « je ne m’ennuie pas d’être fille ». En effet Sylvia s’oppose à toute forme de mariage conventionnel de l’époque. En définitive cette intrigue sur le mariage se résume entre la première et la dernière réplique puisque s’oppose deux mots majeurs : sentiment et mari. Le mot sentiment renvoi a l’amour alors que dans la réplique la tautologie employé par Lisette « un mari ? C’est un mari » fonde le mariage