Le Moi Social Philo

Sauvegarder le document * Levi Strauss - L'éducation Galop d'essai Philosophie Dutry Cécile 1. Résumé texte de Levi-Strauss L'école ,tout comme la société impose des règles et oppose une... Sauvegarder le document * Levi Strauss sciences sociales car il concerne les méthodes mathématiques selon Levi-Strauss. Pour lui, cela sexplique par le fait que le structuralisme vise une interprétation... Sauvegarder le document * Claude Levis Strauss dont Les Temps Modernes, commence à faire entendre

Philo vendredi : * Deux grandes voies pour justifier la morale : sentimentalisme (1) et rationalisme (2). (1) risque d’une justification insuffisante des jugements moraux Au niveau individuel : qu’est-ce qui justifie que ma sensibilité morale est « meilleure » que celle des autres ? (pluralité des sensibilités amenant à une pluralité des jugements moraux) Le désaccord vient peut-être de la considération de la justice, mais déjà l’on s’éloigne du sentimentalisme pour aller vers une

événements ► bonne-heur ► il y a cette idée de la chance dans le mot bonheur. La part qui ne dépend pas de moi. Le sage est celui qui ne trouve son bonheur qu'en lui même ► l'homme qui se sauve lui même. Tension entre la philosophie et la religion ► la philo peut elle apporter le bonheur de l'homme ? Bonheur par le retour sur soi. Travail du stoïcisme ► convertir le bonheur pour qu'il suive le jugement ► travailler à désirer ce que je juge beau. Normalement, Je juge bon ce que je désir. Au contraire

al raison (ou principe d’intelligibilité) qui n’a plus sa place dans les sciences de la nature. Fin 1. Sens ordinaire : la fin est le terme (par opposition au commencement) ou encore la limite externe d’une action, d’un être, d’un phénomène. 2. Philo : a) par opposition au moyen, la fin est le but d’une action, son objectif. Mais contrairement au but, elle n’est pas forcément intentionnelle (ainsi la fin de tout être vivant est la conservation de soi)

Dissertation de philo n°1 Peut-on vouloir ne pas être libre? La liberté, droit promis à chacun d’entre nous dès la naissance, fait partie des fondements de la démocratie actuelle. Elle peut être d’ordre morale ou physique, mais impose toujours des contraintes et engendre des inégalités. Aussi, “vouloir” quelque chose relève du fait d’être libre, et ne plus le désirer relève du choix d’un individu libre. Il semble difficile de soutenir que l’homme puisse volontairement accepter d’être asservi

I. Partie 1. La révolution : l'arrivée au pouvoir de la bourgeoisie. 1789-1795 La révolution française, c'est la prise du pouvoir par une classe sociale particulière : la bourgeoisie. Cette prise de pouvoir ne s'est pas faite en respectant les règles de droit mais de manière illégale. Elle a construit son propre pouvoir. Jamais le pouvoir de la bourgeoisie n'aurait pu être établi sans le soutien de masses populaires organisées, qui lui a permis de prendre le pouvoir. L'histoire de la révolution

Introduction : * Beaumarchais, 1784, siècle des Lumières * Beaumarchais a écrit une trilogie : 2comédies (le Barbier+ le mariage), et un drame (La mère coupable) * Le mariage joué en 1781 et interdit jusqu’en 84 * Pièce imprégnée de la philo des Lumières : désir de critiquer une société inégale => dans préface, B. pose clairement son obj. de dénonciation * Pièce jouée en 84 (5 ans avant la Révo) => franc succès (richesse mise en scène, imbroglio intrigue, vivacité …). * Dans

environnement social ou biologique détermine nos actions? Introduit dans les sciences sociales modernes par les travaux d' Emile Durkheim ou de Sigmund Freud, et repris par Pierre Bourdieu dans sa théorie de la reproduction sociale, le déterminisme peut prendre différentes formes: social, historique, biologique, etc. Alors que les écrivains réalistes et naturalistes (comme Émile Zola avec la famille Rougon-Macquart) indiquent que les individus sont en partie le produit de leur environnement social et biologique

est double : religieux (DJ libertin) et social-psychologique (DJ séducteur)2. Molière : Chez lui les deux aspects se retrouvent, mais insistance sur l'aspect religieux :- le pauvre- l'hypocrisie…3. 18ème siècle : Mozart et Da Ponte :- l'aspect religieux tend à disparaître : plus de scène du Pauvre.- Mais Don Giovanni est un séducteur sans scrupule, un être immoral (1ère scène : il tue le Commandeur après avoir failli violer sa fille !)- C'est un danger social (on est à la veille de 1789), qui révèle

intuitions originaires. • Remise en question de l’intuition ; plus de pt de vue unique. • Percevoir c’est percevoir à travers l’espace culturel. Nos représentations st influencées par notre culture : représentation du monde = une représentation sociale. 5. L’ho construit la réalité du monde : Cohérence et objectivité des perceptions st interrogées par la science III. Autrui 1. Autrui = alter ego = Autre + moi-même : Question du SOLLEPSISME : Autrui existe- t-il ? Autrui