Le Monachisme Carolingien

C’est l’influence germanique qui domine partout. - Affirmation et déclin de l’unité législative sous les carolingiens ) Le perfectionnement de l’ordre juridique Sous les mérovingiens il y avait peu de législation royale. Sous les carolingiens au contraire on assiste à l’essor du pvr législatif. Pour les carolingiens on a plus de 200 capitulaires. On veut instaurer l’unité du peuple. C’est l’influence du christianisme qui est de plus en plus présente : tous les sujets communient dans la même

Séance 6 : l'église carolingienne Chrodegang, évêque de Metz (mort en 766) L'émergence d'une nouvelle dynastie à la tête du royaume franc a marqué un réel bouleversement dans le domaine religieux durant la deuxième moitié du VIII ème siècle. La Gesta episcorum Mettensium rédigée vers 783 par le célèbre écrivain lombard Paul Diacre (720-799) témoigne des hauts faits de l'évêque de Metz Chrodegang (gesta) sous le règne du roi franc Pépin le Bref. Paul Diacre, né dans une famille aristocrate

| |– 5 – | |L’ordre carolingien et son rayonnement | A retenir : conséquences de l’expansion du royaume des Francs : • Evangélisation systématique

ÉTAT ET SOCIÉTÉ DANS L’EUROPE CAROLINGIENNE : LA PUISSANCE DES ARISTOCRATIES LAÏQUE ET ECCLÉSIASTIQUE Table des matières : Introduction : 2 I – Les fondements de la puissance aristocratique. 2 1) Noblesse et service royal. 2 2) Les réseaux familiaux et sociaux 5 3) Richesse et pouvoir 9 II – L’évolution du mode de vie aristocratique 10 1) Combattre pour le roi : l’aristocratie laïque 10 2) Les prélats entre royauté et aristocratie 12 3) Une culture commune

Le gvt central Cest dans celui-ci qu’on trouve les honores les plus prestigieux : le palais et ceux qui agissent dans le palais. a) Le palais Centre du gvt dit le Palacio. Celui-ci est itinérant sous les mérovingien. Il faudra attendre les carolingien pour qu’il soit à une place durable. Dans le palais il y a la truste royale (les familiers du roi, ceux qui ont sa confiance) : les antrustions. Ils gvne avec lui, ils sont attachés au roi par un serment de fidélité. Le roi se déplace d’un domaine

vient du grec : « monos » = seul , solitaire Pour vivre dans une communauté, il faut des règles  la « regula » Les règles sont : « ora et lebora » = prier et travailler = règle bénédictine Les ordres : VIe s : Benoît de Nursie = « fondateur du monachisme occidental » l'ordre bénédictin choisit l’habit noir pour l’aspect humble XIe s : Saint Bernard de Clairvaux fonde l’ordre de Cîteaux = l’ordre cistercien  retour à la stricte observance de la règle, austérité, charité et pauvreté  Les Cisterciens

nouveau dans l’Eglise : le monachisme. Le monachisme va se développer par la conciliation de deux tendances divergentes : le monachisme bénédictin qui comme son nom l’indique vient de Saint Benoît, italien du début du VIe siècle, qui a écrit une règle (en 529), qui occupe le moine dans trois directions : la prière, le travail manuel, et le travail intellectuel. Cette règle va se répandre de l’Italie vers le nord tout au long du VIe siècle. Face à l’expansion de ce monachisme bénédictin, à partir de

CLC 842 843 . Serments de Strasbourg . traité de Verdun. Partage de l’Empire entre CLC (Francie occidentale), LLG (Francie orientale) et Lothaire 1er (Lotharingie) qui conserve le titre impérial. 819 822 823 829 830-833 838 839 . Réforme du monachisme par Benoît d’Aniane . Mort d’Eginhard qui s’était retiré dans son monastère de Seligenstadt pour la rédaction de la Vita Karoli. . Bataille de Fontenayen-Puisaye : défaite de Lothaire 1er devant LLG et CLC. 845 . Premier siège de Paris par les

à l’autre les édifices romans sont très divers ainsi reflétant d’une part le morcellement territorial à l’époque des Carolingiens. Les divers royaumes et principautés régionales consistent à un réseau d’alliances occidentales qui influence les uns les autres. A l’origine, au Nord de la France, là où les invasions scandinaves ont ravagées la région et que l’empreinte carolingienne est toujours évidente, ce nouvel art méridional a difficilement été emprunté appréciant en un mot pour longtemps les

fréquemment dans les débats, évolution a la fois théologique et politique. En 476, chute de l’empire romain d’occident. Il reste plein de Dieu partout mais le christianisme va rester comme unique élément. Deux éléments : Eglise et aristocratie. Le monachisme est la mise en place de monastères et de moines et vouent leur vie à Dieu. L’évangélisation va se faire de plus en plus. En 800, Carolus Magnus (Charlemagne) impose la foi chrétienne, fait le ri et impose une pratique unique, unifie la liturgie