Le Monologue De Rodrigue

patience and support. I also thank him for believing and showing confidence in me. I would also like to thank all the members of my committee, Dr. Greg Stone, Dr. Lucie Brind’Amour, Dr. John Pizer, Dr. Nathaniel Wing, Dr. Jack Yeager and Dr. John Rodrigue for their helpful comments. I am also grateful to the secretaries of the French Department, Connie Simpson and Carlin Laviolet, for their help and invaluable services. I must thank Dr. Charles Grenier, Dr. Jack Digbeu and many other fellows who

chantée que timidement ou gauchement. Ce furent les Anglais Hervey, Gray et surtout Young qui mirent dans cette poésie sépulcrale les affres du désespoir et les sombres plaisirs d'un cœur lassé de tout. Les Nuits de Young, méditations oratoires et monologues prolixes où la rhétorique et l'artifice abondent, eurent un succès retentissant, lorsque Le Tourneur en donna en 1769, la traduction en une prose plus emphatique encore, mais surtout plus lugubre que les vers de l'original. On crut que Young avait

chantée que timidement ou gauchement. Ce furent les Anglais Hervey, Gray et surtout Young qui mirent dans cette poésie sépulcrale les affres du désespoir et les sombres plaisirs d'un cœur lassé de tout. Les Nuits de Young, méditations oratoires et monologues prolixes où la rhétorique et l'artifice abondent, eurent un succès retentissant, lorsque Le Tourneur en donna en 1769, la traduction en une prose plus emphatique encore, mais surtout plus lugubre que les vers de l'original. On crut que Young avait

est le maître de la comédie « calme ». Il préfère le texte parlé au texte chanté. Morale : Il faut être modéré en toutes choses. Technique : La scène d’exposition tend à remplacer le prologue. L’aparté (réflexion à haute voix) remplace le monologue s’adressant au public. 3. Sénèque(-4/65, 69 ans). Le seul tragique romain qui nous soit parvenu. Tous ses sujets sont grecs mais la manière de les traiter est très romaine. Plaçant ses personnages dans des « situations limites » d’horreur

voulu donner lui-même un sens à sa vie en créant des oeuvres d’art. A partir de la deuxième guerre mondiale, il l’a fait par son engagement politique et social. Son style Son art de romancier est puissant par son observation minutieuse, ses monologues intérieurs et par des procédés cinématographiques qu’il applique au roman. Son style est direct, pittoresque et plein d’images. Son théâtre est remarquable par la construction technique et ses dialogues très vifs, écrits dans une langue crue et

tiennent une place capitale dans le théâtre de Corneille : le salut de Rome est en jeu dans Horace, la conception du pouvoir dans Cinna. Même si le sujet n’est pas politique il y a toujours un puissant intérêt d’Etat comme toile de fond : dans le Cid, Rodrigue sauve le royaume par sa victoire sur les Mores. Les maximes politiques abondent : deux thèses s’affrontent. D’une part, une conception noble et grandiose du pouvoir :celle d’Auguste dans Cinna. Les vertus d’un souverain sont la maîtrise de soi

la rend impitoyable non seulement pour sa rivale mais pour ltre aim infidle. Et cette jalousie exacerbe est, pour elle, un cruel supplice, dautant plus quelle est victime de sa lucidit, de son imagination et de son orgueil. Ainsi, dans son long monologue de V, 1, o elle scrute impitoyablement son cur, elle est experte discerner toutes ses raisons de souffrir, toutes les nuances de ses douleurs. Elle pense que, si Pyrrhus la dlaisse, cest non seulement, comme il le dit, parce que dun autre il lclat

impitoyable non seulement pour sa rivale mais pour l’être aimé infidèle. Et cette jalousie exacerbée est, pour elle, un cruel supplice, d’autant plus qu’elle est victime de sa lucidité, de son imagination et de son orgueil. Ainsi, dans son long monologue de V, 1, où elle scrute impitoyablement son cœur, elle est experte à discerner toutes ses raisons de souffrir, toutes les nuances de ses douleurs. Elle pense que, si Pyrrhus la délaisse, c'est non seulement, comme il le dit, parce que «d'un autre

impitoyable non seulement pour sa rivale mais pour l’être aimé infidèle. Et cette jalousie exacerbée est, pour elle, un cruel supplice, d’autant plus qu’elle est victime de sa lucidité, de son imagination et de son orgueil. Ainsi, dans son long monologue de V, 1, où elle scrute impitoyablement son cœur, elle est experte à discerner toutes ses raisons de souffrir, toutes les nuances de ses douleurs. Elle pense que, si Pyrrhus la délaisse, c'est non seulement, comme il le dit, parce que «d'un autre

par les hautes figures qu'il a créées : des âmes fortes confrontées à des choix moraux fondamentaux (le fameux « dilemme cornélien ») comme Rodrigue qui doit choisir entre amour et honneur familial, Auguste qui préfère la clémence à la vengeance ou Polyeucte placé entre l'amour humain et l'amour de Dieu. Si les figures des jeunes hommes pleins de fougue (Rodrigue, le jeune Horace) s'associent à des figures de pères nobles (Don Diègue ou le vieil Horace), les figures masculines ne doivent pas faire oublier