Le Monologue Dialogue Déguisé

privés, sans subventions et qui font des vaudevilles et des mélodrames ; ce sont le théâtre de l´ambigu comique, Théâtre de la porte Saint Martin (Dumas et Hugo). Les genres théâtraux. # Scène dramatique : ce sont des scènes historiques, dialogués, en prose, mais qui ne sont pas faites pour jouer mais pour être lues. Ce sont écrites par les libéraux réunis dans les salons. C´était un genre qui suivait des théories de Stendhal, qui voulait un théâtre historique mais pour être lu. # Vielle

Comparable à l'incipit d'un roman. Elle est soumise à des règles qui consistent à présenter l'action, le lieu, le temps, et les personnages, de façon claire, intéressante, "vraisemblable", elle doit être entière et courte. - on peut avoir des monologues - dialogues entre un personnage et sa confidente Travail de mise en scène (avec un élève dans le rôle de Sganarelle) Imaginons que Sganarelle est un bonimenteur et qu’il s’adresse à nous, public privilégié Dérivé de l'argot bon(n)ir, « raconter (de bonnes

sacrilège par excellence, constitue un point culminant dans le parcours diabolique du personnage. Notre extrait se présente sous la forme d’un récit et d’un discours : un tableau de la « passion » de Renart après sa capture par le limaçon Tardif, et un dialogue entre Grimbert et Fière qui nous achemine vers le dénouement de l’épisode, c’est-à-dire la libération du goupil. Nous étudierons donc d’abord le récit, qui, par son pathétique, favorise l’identification au « héros », puis le jeu codé des discours

selon les auteurs du Nouveau roman (mouvance née dans les années 1950, à Paris), le roman n’est pas un moyen de connaissance. Il est, avant tout (et peut-être seulement), une écriture. Beckett, par exemple, propose, dans ses romans, de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette  ; le personnage n’est plus qu’une

monde cruelle et intéressée, est ainsi dotée d’un « profil d’aigle ». Caractérisation indirecte Le héros peut aussi livrer des aspects de sa personnalité à travers des éléments « indirects » : ses gestes, ses actions, son comportement. De plus, les dialogues insérés dans le récit sont également porteurs d’indications sur le personnage. Enfin, un objet ou un vêtement peuvent parfois fonctionner comme des symboles, donnant un éclairage essentiel sur le héros. Flaubert, par exemple, dans le portrait de

Paris 2009. Un premier exercice va nous permettre d’approfondir notre analyse en passant de l’observation à la rédaction. Reprenons le texte de Jules Renard. Vous allez essayer vous-même de transformer un passage narratif (récit + dialogue de récit) en dialogue de théâtre et d’analyser les transformations nécessaires. Texte narratif : Si Monsieur Lepic tue un lièvre au début de la chasse, il dit : « Veux-tu le laisser à la première ferme ou le cacher dans une haie, et nous le reprendrons ce soir

selon les auteurs du Nouveau roman (mouvance née dans les années 1950, à Paris), le roman n’est pas un moyen de connaissance. Il est, avant tout (et peut-être seulement), une écriture. Beckett, par exemple, propose, dans ses romans, de longs monologues, ou discours, de personnages dont on ne sait presque rien. Les consciences sont impossibles à explorer, tout est opaque ou morcelé, les points de vue sur un même objet se multiplient sans former une image nette  ; le personnage n’est plus qu’une

nettement chaque petit « tableau » constitué par les strophes à valeur de couplets. Les quatre premières strophes se découpent ainsi de manière assez nette (l’invitation, l’installation, le repas perturbé, la fuite) ; la suite, constituée par le dialogue, oppose la brève réplique du « citadin » au commentaire du « rustique ». 11. Quel est le ton des deux derniers vers de la fable 22 ? Dans ces deux vers, le ton devient cérémonieux, épique même. On le perçoit à l’allongement du vers (nous passons

chez le seigneur Anselme et ses enfants, où on reconnait l’image d’une vraie famille dans laquelle sentiments, pitié et harmonie ont leur propre place. Le mensonge : est un thème introduit d’emblée dans l’acte I à travers le personnage de Valère déguisé comme intendant. Ce thème se présente au spectateur en plusieurs façons, de la duplicité psychologique, au recours explicite à l’hypocrisie, aux louanges flatteuses, à la fausse délation ; mais le mensonge a une fonction surtout comique étant donné

pas dédaignée par les aristocrates, femmes de haute noblesse, … Leur œuvre est conditionnée par leur milieu (ils souhaitent plaire aux gens de leur monde) et par leur mode de relation (lettres, esprit de salon : aphorismes, bons mots, portraits, dialogues). De même, ils affectent d’écrire pour le seul divertissement, d’où le privilège de l’humour ou de l’esprit critique, toujours présents, même dans des genres plus élaborés comme la fable ou le conte. La lettre (la marquise de Sévigné) Le conte: