Le Monologue Tragique

concrétise dans un affrontement sur scène entre Antigone et Créon. Ensuite, comme on peut le voir le conflit apparaît aussi bien dans le registre comique que dans le registre tragique. Dans Le conflit amoureux met en jeu deux amants, dans Andromaque ce conflit va opposer Hermione et Pyrrhus et prendra une dimension tragique. Dans les conflits sociaux entre un maître et son valet chez qu'on retrouve Marivaux, mais aussi un lien politique chez Sartre un dirigeant politique et son secrétaire. Enfin

Scène finale. Comment l’auteur dénoue-t-il sa farce finale ? I. La solitude radicale et tragique de Bérenger. * La solitude : * Monologue : classique pour exprimer la solitude car il y a une évolution de l’action : tous les personnages sont rhinocéros Bérenger n’a plus d’interlocuteur à part un accessoire (le miroir) qui lui rappelle qu’il est seul face à lui-même. Son monologue n’est adressé à personne (c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’interlocuteur imaginaire), ce qui indique

ressent, et qui, de cette manière, crée une intensité dramatique. Finalement, son imagination va lui montrer quelqu’un de lâche donc ce n’est pas un héros, et de la même façon, ce n’est pas une tragédie. Il bascule vers un héros qui n’est pas un héros tragique et le personnage devient humain. Troisième partie : A partir du vers 1289, on retourne à Isabelle. Il utilise le vocatif, ou plutôt un présent jussif à fonction impérative. Le seul moyen d’éviter la souffrance est de garder l’image d’Isabelle

sorte de héros moderne de l’absurde, au sens où A. Camus l’entendait ? Nous tenterons de voir comment, en découvrant dans ce monologue tragique toute l’absurdité de la condition humaine, Meursault parvient à la paix et à l’acceptation de soi. I / Un monologue tragique. Le passage présente tous les éléments caractéristiques du monologue : un personnage au destin tragique, confiné dans la solitude de sa cellule, médite sur son sort peu avant son exécution. A. Une construction très rigoureuse du

------------------------------------------------- INTRODUCTION Euripide est un poète tragique grec né à Salamina en 480 av. J.C. et mort en Macédoine en 406 av. J.C. (en même temps qu’une bataille qui porte son nom). Sa vie reste un peu inconnue, mais ils existent plusieurs mythes et légendes sur sa vie. Il écrit Médée en 431 av. J.C. C’est un texte écrit en prose et qui a un niveau de langage très soutenu. Le texte a un registre tragique et pathétique. Médée est une femme qui, folle de rage du fait du mariage

cadre spatial, temporel et des précisions sont données sur le personnage principal, ses relations avec les autres protagonistes mais ici rien. On ne sait pas où l’on ne se trouve ni dans quelle époque. Aucune didascalies internes ou externes au monologue ne donne d’information à ce sujet. Cela donne une valeur universelle à la pièce et évite qu’une description trop précise ne vienne entraver au processus d’identification du spectateur au personnage d’Ivanov. En opposition à cette absence de didascalie

présente-t-il l’intrigue et le drame à venir, ainsi que l’échec probable de Louis ? Mouvements  : 1)Destin tragique et annonce de la mort de Louis (1-17) 2)L’annonce de l’intrigue : une révélation vouée à l'échec (18-36) I. Destin tragique et annonce de la mort de Louis (vers 1 à 17) Tout le monologue du prologue repose sur une seule et longue phrase, comme si nous rentrions dans le flux des pensées du personnage (caractéristique du

: il renvoie à un usage inscrit dans dans les origines du théâtre occidental, « pro logos » signifiant « discours avant » et désignant à l’origine la première partie de la tragédie, avant la première apparition du choeur. Le Prologue est ici un monologue de Louis, le personnage principal, qui explique les raisons de son retour parmi les siens. Ce prologue, qui s’inspire du théâtre antique, fait de Louis le messager de sa mort prochaine. Le texte se présente sous une forme poétique constituée d’une

humains (…) » Deux études comparées : 1- Plaute Le soldat Fanfaron (manuel p. 248 extrait de la scène d’exposition) et Corneille L’Illusion comique II, 2 (manuel p. 250) 2- Plaute La marmite (manuel p.41 ; monologue d’Euclion) et Molière L’Avare IV, 7 (monologue d’Harpagon) Séance 4 : Mise en scène d’un type humain : le misanthrope à travers deux extraits : Ménandre Le dyscolos I, 3(manuel p.251) et Molière Le Misanthrope I, 1 Séance 5 : (module) Lecture de l’image → analyse

tragédie et la comédie. Aussi poser un tel problème sous forme d'alternative ne peut amener de réponse univoque ; cela oblige néanmoins à repérer les traces génériques qui subsistent dans Fin de Partie et à s'interroger sur leur sens. Éléments tragiques, éléments comiques La pièce ne s'inscrit pas de façon monolithique dans la tragédie, ni dans la comédie. Elle est parsemée d'indices qui font vers l'un ou l'autre de ces genres. La marque la plus évidente de référence à la comédie traditionnelle