Le Monopole En Microeconomie

structure and foreign trade" a) La concurrence imparfaite et le commerce international On va étudier le commerce international à partir des firmes et des marchés sur lesquelles elles évoluent. Il faut organiser le commerce international à partir de la microeconomie. Les marchés sont oligopolistiques (la concurrence est sur les prix uniquement car produits similaires) ou monopolistiques (produits sont différenciés). Ainsi, la concurrence oligopolistique ou concurrence monopolistique. La réalité du commerce

(stratégie des firmes pour s’éloigner des situations de CPP) et sous le prisme de l’économie publique (c’est l’analyse du bien être sociale engendré par différente structures de marchés). Cette première partie va se situer au croisement entre microéconomie, économie industrielle et économie publique mais aussi au croisement du droit de la concurrence et on verra le lien entre l’économie et le droit. Comment les économistes peuvent influencer le droit de la concurrence ? Qu’entend-on par politique

guerre, par les pensions des anciens combattants et par l’accroissement de la dette publique qui a plus que quadruplé entre 1914 et 1921. A côté de ces dépenses, on note de multiples interventions de l’Etat dans la vie économique et sociale : quasi-monopole du commerce extérieur, rationnement et contrôle des prix des biens de consommation alimentaire, extension de la législation sociale des industries d’armement, contrôle des prix des fournitures de guerre. Un décret du 15 juillet 1915, permettra même

développer. Il ira même jusqu’à proposer d’augmenter l’exploitation de certaines ressources tout en réaménageant une partie de la ville pour en améliorer le trafic. On distingue une analyse de flux à travers ces propositions, les prémices de la microéconomie. Platon, dans La République, donne sa vision de la cité idéale. Une organisation communiste, où la justice résulte de l’entente entre les hommes et la société. Il parle de classes sociales mais qui ne soit pas basé sur l’hérédité mais plutôt sur

partir d’une souscription populaire, la levée de fond absolument gigantesque puisqu’elle dépasse par 10 fois le capital de la compagnie anglaise des Indes qui a été créée seulement 2 ans plus tôt. Avec cette compagnie, Amsterdam va se créer un réel monopole sur les épices. La société n’est pas liquidée au bout de 22 ans, donc les investisseurs ont été contraints de revendre les parts qu’ils avaient souscrits. Cela va contribuer à la création de la première bourse à Amsterdam en 1611 où acheteurs et

libéralisme et de la propriété privée, les économistes néoclassiques développent une analyse micro-économique, au contraire des précédents, selon laquelle chaque agent optimise de façon rationnelle l'utilisation des biens dont ils disposent. a) LA MICROECONOMIE NEOCLASSIQUE ET L'HOMO ECONOMICUS L'école néo-classique fonde l'intégralité de sa démarche sur l'idée que les phénomènes économiques s'expliquent par l'action des seuls individus, considérés comme les atomes de la société identiques les uns aux

l’enrichissement global de la collectivité .Nous trouvons ici la notion d’utilité et d’utilitarisme , l’individu rationnel cherche la maximisation de sa satisfaction et la minimisation des coûts. De cette notion d’utilité est née la microéconomie néoclassique. L’ homo oeconomicus,être parfaitement rationnel et informé, évolue dans un environnement économique de concurrence pure et parfaite. Cette économie de marché est régulée par la variation des prix . Le raisonnement ne se fait plus

et de la monnaie ». Pour beaucoup d’économistes c’est dans l’ordre chronologique le 3ème grand ouvrage d’économie politique après : • La richesse des nations d’Adam Smith. • Le capital de Karl Marx . Keynes accepte la théorie de microéconomie de Marshall Alfred mais soutien qu’on ne peut pas la transposer au niveau global. Un certain nombre de problèmes économiques globaux, comme l’inflation, le chômage, le déficit de la balance des paiements, ne peuvent être analysés qu’en utilisant

structures du marché 255 Partie IV : Le marché de biens et services 224 Section 1 : Le marché de concurrence pure 257 et parfaite 306 Fiches méthodologiques 308 Fiche n°1 : Comment lire un énoncé ? 308 Section 2 : Le monopole 264 Section 3 : L’oligopole 273 Section 4 : Le marché de concurrence monopolistique 280 Fiche n°2 : Comment identifier la nature d’une question ? 309 Fiche n°3 : Les mots de liaison 311 Fiche n°4 : Comment élaborer une

Recueil d’exercicesRecueil d’exercices de microéconomie Thème 1 : L’offre et la demande Question 1 a) Le marché pour la pierre d’ornement est décrit par les fonctions suivantes : Offre : P = 10 + 0,01 Q Demande : P = 100 – 0,01 Q où P est le prix par unité en dollars et Q représente les ventes par semaine en tonnes. Les prix et quantités d’équilibre sont donc de : P = 50 $/tonne ; Q = 6 000 tonnes/semaine. FAUX. Équilibre O = D 10 + 0,01 Q = 100 – 0,01