Le Monstre Au Théâtre

nDissertation Le théâtre et le roman sont deux genres typiques de la littérature française, qui ont chacun un public d’importance. Le théâtre est un genre littéraire dramatique qui a occupe une grande place dans la littérature française. Au fil des siècles, le roman est devenu un genre dominant et l’est toujours aujourd’hui. Le public du théâtre regarde les scènes, il est spectateur de la pièce, alors que le public du roman n’imagine la scène qu’à travers les pages

Le théâtre baroque Objectif : Comprendre les caractéristiques et l’évolution du théâtre baroque à travers des exemples précis. 1. Les circonstances et les caractéristiques a. Contexte historique Le théâtre baroque s’affirme en France, au début du XVIIe siècle, sous l’influence du théâtre élisabéthain (Shakespeare) et du théâtre espagnol (Calderòn). Dans la seconde moitié du siècle, le classicisme s’impose en réaction aux excès et aux extravagances du baroque. Les nombreuses tragi-comédies

tableau réaliste et essai didactique… De la même façon, dans Les Travailleurs de la mer (1866) et dans L'Homme qui rit (1869), Hugo se rapproche davantage de l’esthétique romantique du début du siècle, avec ses personnages difformes, ses monstres et sa Nature effrayante. Enfin, en 1874, Quatrevingt-treize signe la concrétisation romanesque d’un vieux thème hugolien : le rôle fondateur de la Révolution française dans la conscience littéraire, politique, sociale et morale du dix-neuvième

ce témoignage authentique garanti la crédibilité de ce récit fantaisite. B) L’image donné narrateur dans ce nouveau monde : une merveille : La fantaisie sont les détails de ce nouveau monde, décrit par l’auteur : sur la lune se trouve, des monstres, «  des bêtes hommes » qui « avait la taille (…) comme nous » mais marchant à 4 pattes (deuxième topos de la relation de voyage, Hérodote) car le narrateur souligne que ces êtres rappelent ceux de la mytholgie : « Cette aventure me fit souvenir (…)

ce témoignage authentique garanti la crédibilité de ce récit fantaisite. B) L’image donné narrateur dans ce nouveau monde : une merveille : La fantaisie sont les détails de ce nouveau monde, décrit par l’auteur : sur la lune se trouve, des monstres, «  des bêtes hommes » qui « avait la taille (…) comme nous » mais marchant à 4 pattes (deuxième topos de la relation de voyage, Hérodote) car le narrateur souligne que ces êtres rappelent ceux de la mytholgie : « Cette aventure me fit souvenir (…)

baroque, elle est la plus baroque de tout le théâtre de corneille et la plus représentative du théâtre baroque français en général. Aucune autre œuvre de corneille et aucune autre œuvre d’un autre dramaturge de l’époque n’a mieux utilisé ce courant esthétique. Si le jeu des apparences n’était pas nouveau, jamais avant l’illusion comique on en avait fait l’essence et la chair même d’une pièce. On ne peut en effet supprimer le procédé du théâtre dans le théâtre et le thème du déguisement sans détruire

l’emphase sur ce qu’elle ressent face à la malédiction. L’amour est doux puisque c’est un sentiment censé être heureux, mais c’est un supplice dans sa situation. De plus, cette souffrance l’amènera à se comparer à un monstre dont Hippolyte devrait se débarrasser, « délivre l’univers d’un monstre qui t’irrite » L.72. En bref, le sors jeté par les Dieux pèse lourd sur Phèdre qui se sent coupable de devoir faire vivre un tel fardeau au fils de son mari. Jean Racine a su refléter parfaitement le comble

où l’être humain s’interroge sur le sens de l’existence. Le genre littéraire du théâtre de l’absurde est né au même moment, évoquant le sentiment d’absurdité éprouvé par l’homme de cette époque. Ayant connu cette situation en Roumanie avec la Garde de fer, Eugène Ionesco présente en 1959 son œuvre « Rhinocéros », dont le propos porte sur le totalitarisme. Dans cette pièce, l’auteur montre les caractéristiques du théâtre de l’absurde, concernant tant les personnages que la mise en scène, lui servant

d’infinies variations. • Ex : peu d’éléments communs entre le Knock de Louis Jouvet et celui de Guy Simon. II) Un lieu contraignant par essence 1) Un espace unique, borné, clos • Que le théâtre soit dans une salle ou en plein air, que la salle soit minuscule (la Huchette à Paris) ou gigantesque (le théâtre d’Orange), elle est toujours limitée. Même si un metteur en scène choisit d’envahir l’espace réservé aux spectateurs, finalement il se trouve borné à un espace unique et c’est cet espace

Introduction Auteur auteur de tragédies inspirées de l’antiquité latine, comme Bérénice, Britannicus ou grecque comme Phèdre dans lesquels il montre la fatalité de la passion. Genre pièce de théâtre, tragédie Mouvement le théâtre classique correspond à la deuxième partie du 17es c’est à dire sous louis 14. C’est un théâtre très règlement : vraisemblable et la bienséance, règle des 3 unités, deux registres concurrents (tragique/comique=catharsis/castigat ridendo mores), repris des thèmes mythologiques.