Le Monstre Au Théâtre

Certes, le théâtre nous présente une image déformée de la vie En premier lieu, les personnages mis enscène sont le plus souvent caricaturés et exagérés. Dans Britannicus, de Racine, Néron nous est présenté comme un monstre naissant, soif de pouvoir et d’amour. Il serait capable de tuer un homme(Britannicus) pour épouser une jeune fille (Junie). Phèdre, de Racine, ne peut plus contrôler son comportement en raison de sa passion. Sa passion pour Hippolyte est une forme de persécution envoyé par Vénus

millénaires où les arbres morts, et vivants formaient un inextricable chaos, représentant l'égarement d'un coté, la mort et l'enfer de l'autre, qui se perpétue même à notre époque. Jean Duvet, Allégorie aux monstres, gravure. Sur cette gravure, on peut remarquer, outre le foisonnement de monstres, la présence d'un homme excentré à gauche du cadre et la présence d'une ville à l'arrière-plan, qui rappelle l'opposition entre ville ou châteaux et nature ou forêt. La présence de rochers, et de nombreux

maltraite ses domestiques. En voulant prendre leur défense, (Edipe le tue. C'êtait sonpère Laïus. Il vient de commettre le parricide sans le savoir. Pendant une de ses haltes, on lui raconte le fléau du Sphinx qui décime la jeunesse de Thèbes. Ce monstre, composé d'un corps de lion flanqué d'ailes d'aigle et surmonté d'un buste de femme, pose une devinette et dévore ceux qui ne la devinent pas. La reine Jocaste, veuve de Laiïs, offre sa main et sa couronne au vainqueur du Sphinx. Gdipe réussit

« Voici le livre qui m’a... » Voici le livre qui m’a le plus coûté L’enjeu ? Décrire un monstre et le comprendre. Le risque ? Se rendre compte que le monstre n’est pas si loin de soi. Le plaisir ? Sauver non pas le monstre qui reste impardonnable mais l’humanité en postulant que cela aurait pu être autrement.Le résultat ? Qu’il est inconfortable d’être un homme ! L’idée du livre m’est venue à Vienne, lors de la première autrichienne du Visiteur. L’élégant étudiant aux cheveux longs qui me

Hippolyte de lui avoir fait violence. Thésée maudit son fils et appelle sur lui la colère de Neptune mais bientôt, la nouvelle du suicide d’Oenone jette un doute dans son esprit. Cependant, il est trop tard : il apprend la mort d’Hippolyte, tué par un monstre marin tandis que Phèdre qui s’est empoisonnée, lui avait révélé tout sur la vérité de cette tragédie avant de mourir. Le personnage tragique se suicide aussi dans Antigone d’Anouille. Confrontée à l’autorité du roi Créon, Antigone reste fidèle à la

Racine a écrit plusieurs tragédies dont Phèdre en 1676.Il s’est inspiré de la mythologie grecque. Son œuvre fait partie du classicisme du XVIIès. C’est une période où le théatre se développe avec la tragédie et la comédie. Phèdre, femme de Thésée est amoureuse d’Hyppolyte qui a un amour interdit pour Aricie. Nous allons étudier la tirade de Phèdre dans l’acte II scène 5. Avant cet extrait, Phèdre a avoué à Oenone phson amour pour Hyppolyte. Oenone lui a conseillé d’avouer son amour, car Thésée était

Lecture analytique numéros 1 : extrait de l'acte 1 scène 2 vers 121-162 Introduction : Pierre Corneille est auteur dramatique français, né en 1606 à Rouen et mort 1684. → qualifie L'illusion comique d' « étrange monstre » → Pour celui qui s'imposera par la suite comme le maître de la tragédie classique la pièce est assez déroutante et ne semble respecter aucune règle, ni de genre ni de vraisemblance. → Premier acte : Pridamant, conduit par Dorante, vient consulter le mage Alcandre

et de nouvelles comme Boule de suif, qui l'ont rendu célèbre, il est l'auteur de poésies, de pièces de théâtre et d'études. C'est en 1887, à la fin de sa vie, qu'il écrit Pierre et Jean, animé par l'ambition d'illustrer sa conception personnelle du naturalisme. Le personnage principal de l'oeuvre, Pierre, "souvent aux prises avec ses pulsions devient au paroxysme de l'aliénation un monstre". On peut donc dès lors se demander dans quelle mesure cette citation caractérise-t-elle le personnage

temps malade. Il réussi finalement à surmonter ces épreuves et intègre le Trinity College, devenant un très brillant étudiant de l'Université Dublinoise comme son père. Il obtient son diplôme en sciences et mathématiques en 1870. Passionné par le théâtre et la littérature, il devient chroniqueur pour le "Dublin Mail". Il admire plus particulièrement le poète Américain Walt Whitman ainsi que le comédien britannique Henri Irving, deux figures hautes en couleurs qu'il rencontrera plus tard au cours de

une autre œuvre inspirée d’un fait divers : Le Rouge et le Noir de Stendhal, Les Bonnes de Genet (théâtre), Madame Bovary de Flaubert, Robinson Crusoé de Defoe, Le Procès-Verbal de Le Clézio, Roberto Zucco de Koltès (théâtre), De sang froid de T. Capote, L’étranger de Camus, Thérèse Desqueyroux de Mauriac… f) Comment passe-t-on de la réalité