Le Monstre Vert

Dans le verger et dans la vigne, Il s'en va, furtif perruquier, Avec une houppe de cygne, Poudrer à frimas l'amandier. La nature au lit se repose; Lui, descend au jardin désert Et lace les boutons de rose Dans leur corset de velours vert. Tout en composant des solfèges, Qu'aux merles il siffle à mi-voix, Il sème aux prés les perce-neiges Et les violettes aux bois. Sur le cresson de la fontaine Où le cerf boit, l'oreille au guet, De sa main cachée il égrène Les grelots

contrefait la grâce De ton oreille, et celui-là Ta nuque rose, courte et grasse ; Mais un, entre autres, me troubla. Paul Verlaine, Fêtes galantes Le thé Miss Ellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise, Où des poissons d’or cherchent noise Au monstre rose épouvanté. J’aime la folle cruauté Des chimères qu’on apprivoise : Miss Ellen, versez-moi le Thé Dans la belle tasse chinoise. Là, sous un ciel rouge irrité, Une dame fière et sournoise Montre en ses longs yeux de turquoise L’extase et la naïveté

s’agissait de tons vifs isolés dans une masse de tons sombres.". Cette toile est la parfaite illustration de ce constat : les couleurs vives des rosiers grimpants sur la gauche et les tons clairs de la trouée lumineuse se détachent sur le fond bleu-vert du feuillage. L’absence de ciel, la grande variété des touches et l’imbrication étroite des couleurs entre elles atténuent l’effet de profondeur et créent une sensation de mise à plat de l’espace. En 1883, Claude Monet s'installe à Giverny

origines et significations de cette fête puisque nous sommes tous d’accord sur un point : à Halloween on se déguise ! Qu’on soit petit ou grand, le 31 octobre c’est le jour où l’on se permet de se lâcher un peu et c’est l’occasion de faire sortir le monstre qui sommeille en nous. Parce que nous n’avons pas tous le temps de se préparer pour le grand jour, nous avons réfléchi, pour vous faciliter la tâche, à une petite sélection de déguisements suivant le type de farceur que vous êtes, du plus sobre au

sens et en précisant chaque détail, en font une description sensuelle qui donne l'illusion du réel. En effet, les adjectifs «glauque », « noire », « sombre », et les noms « ténèbres » « verdures » et « ombres », montrent une dominance de noir et de vert alors que les adjectifs « blanche », « vive », et « laiteuse », font percevoir du blanc. Toutes ces couleurs apportent des précisions sur la serre et utilisent la vue. Des précisions sont également apportées avec le toucher dans les citations « feuilles

pétrole. Nous avons ici une hyperbole qui accentue le côté sombre et obscur de la ville. Dans le même esprit, les noms « le brouillard », « la peur » (v 29) font persister une seule couleur : le noir. Il y a une seule autre couleur présente, « un fanal vert » (v 30) qui est le seul et unique point de repère. À présent, nous allons parler de la déshumanisation de la ville. Nous avons des phrases contenant des sujets indéfinis et non animés (strophe 6) : « des quais sonnent » « des tombereaux grincent »

ses personnages préférés des bandes dessinées. Sur ses toiles, on peut voir plein de petites figurines qui ressemblent aux protagonistes des BD et des dessins animés japonais, bariolés, tous mignons, à mi-chemin entre jolis bébé-animaux et petits monstres extraterrestres. Takashi_murakami_jellyfish_eyes_black4 Takashi Murakami, Jellyfish eyes black, 2006 Si vous regardez bien les images de ce post, vous verrez surtout plein d'yeux: les yeux sont la “signature” de Murakami, c'est-à-dire que quand

Vous ferez le commentaire du texte suivant. Ferdinand Bardamu, héros narrateur du roman Voyage au bout de la nuit (Louis Ferdinand Céline, 1932) se trouve au front, pendant la guerre 1914-18. Voici ses réflexions. 1.Ce colonel, c'était donc un monstre! A présent, j'en étais assuré, pire qu'un chien, il n'imaginait  pas son trépas! Je conçus en même temps qu'il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre  armée, des braves, et puis tout autant sans doute dans l'armée d'en face. Qui savait

symbolisant la partie truquée qui se joue dans l'Europe. Un corps de femme est tatoué sur la prothèse cranienne, l'amour et le mariage ne sont plus que des reves pour ces personnages défigurés. Les trois personnags sont bien habillé malgré ça ils portent du vert (armé de terre) et du bleu (armé de l'aviation) Le fait de jouer aux cartes montre la sociabilité des anciens combattants mais uniquement entre eux Enfin on remarque que les personnages nous montre leurs cartes et ne les voit pas eux même, peut-être

le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Victor HUGO (1802-1885) Du haut de la muraille de Paris à la nuit tombante L'Occident était blanc, l'Orient était noir ; Comme si quelque bras sorti des ossuaires Dressait un catafalque aux colonnes