Le Monstre Vert

Visiter New York City Visiter New York : Jour 1 Central Park Vous pouvez prévoir une journée tranquille, à traîner dans Central Park, le poumon vert de New York City. On s’y balade paisiblement, et on peut même y pique-niquer. C’est assez idéal pour reprendre des forces avant d’attaquer un autre monument de NYC : le MoMa. Le Modern Museum of Art – MoMa Le Modern Museum of Art figure parmi les plus beaux musées de la ville et est une étape indispensable lors de votre séjour à New York.
Si vous

commises, ce qui est renforcés par sa posture (agenouillé), son regard qui porte vers le ciel, ainsi que l’expression de son visage qui peut montrer qu’il réfléchit. Provoquer le visiteur en rendant une part humanité à celui qui est considère comme un monstre. Lorsque l’on aborde le sujet d’Hitler, s’est extrêmement sensible, qui suscite émotion, douleur, colère, chagrin à son évocation. Ce qui rend difficile de travailler autour de l’émotion. Cattelan joue par cette œuvre sur la confusion des sentiments

et passivité de Dieu (« s'endort ») : les Hommes s’entre tuent et Dieu laisse faire → Parallélisme établi par auteur dans dénonciation des pouvoirs : roi qui « raille » et Dieu qui « rit » -3ème thème : la nature (v.7 et 8) ; couleurs implicites (le vert de l'herbe, la lumière de l'été) + « ciel bleu » du v.2 = sérénité de la Nature ensanglantée par la fureur des hommes ; conclusion à la dénonciation de la guerre dont elle invoque les victimes (« Pauvre morts ! ») -Nature véritablement sacrée (pour

trouvent dans les campagnes où la terre fut jadis assez peu coûteuse pour être sacrifiée à l'ornement. L'air était si pur, l'atmosphère était si douce, qu'une famille prenait alors le frais comme en été. Un homme vêtu d'une veste de chasse en coutil vert, à boutons verts et d'une culotte de même étoffe, chaussé de souliers à semelles minces, et qui avait des guêtres de coutil montant jusqu'au genou, nettoyait une carabine avec le soin que mettent à cette occupation les chasseurs adroits, dans leurs

partout : dans les peintures sur les murs de vieilles pierres, qui se prélassent sur les étagères et les tables, en fimo et de plâtre, en tissu et bois, en feuilles, plumes, fourrure et os. Des Gobelins se tiennent près de la rampe d'escalier, et des monstres se cachent sur l'immense foyer en pierre. Les sculptures de fées et dames préraphaélites de Wendy sont assises en équilibre sur des piles de livres de mythologie. Tout ce petit monde à l’air si réaliste que vous vous pouvez vous attendre qu'ils se

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.  Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. 

encaisser : traités comme des bêtes qui assument des tâches difficiles. Strophe VIII et IX : peuple beau représenté par les femmes et les enfants. Enfant, pureté des femmes : source de vie : avenir et espoir mais en même temps fragile et inoffensif. "Vert" = espoir et " lait " = source pour vivre. Mise en valeur de leur pureté. Pause dans le poème. Toujours thème des yeux, le peuple a un visage, une beauté, une identité. Répétition des strophes. Ces quelques vers sur la nature : dans ce monde d’horreur

commie smasher ». Pendant la guerre froide de nombreux supers héros portaient ce nom. Au second plan à droite on voit Electro (le vilain) qui a déjà mis à terre l’ami de Captain America, Bucky et qui attaque le héros. Il est représenté comme un monstre inhumain (vert,, yeux blancs, éclairs), éclairs), ignoble (il attaque son ennemi par derrière) et il porte les symboles communistes (faucille et marteau). Il s’agit d’un soldat soviétique (Ivan Kronov) manipulé génétiquement dont l’arme est l’électricité

où le ciel prend 4/5ème de la page, la couleur y est inexistante on peut voir Peau d’âne galopant sur son cheval en sens inverse des horribles et monstrueuses formes qui se dessinent dans le ciel ressemblant à des loups aux griffes acérées, des monstres nocturnes aux dents apparentes. Le fait que Peau d’âne galope en sens inverse et dans une large bande blanche, seul endroit où la lumière est apparente dans cette image, laisse au lecteur un certain espoir, elle inquiète et rassure en même temps

Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer.  Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue.