Le Monstre Vert

L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle, Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau ! L'amoureux pantelant incliné sur sa belle A l'air d'un moribond caressant son tombeau. Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ? De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène, Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours, Rythme, parfum

conscience de la magie protectrice liée au sang, adressa une lettre à sa tante Pétunia Dursley, née Evans, sœur de Lily Evans Potter, en lui expliquant ce qui s'était passé chez les Potter. Cependant, Petunia, dégoûtée par la magie, son « horrible monstre de sœur » et son « horrible mari », cache à son neveu la vérité sur la mort de ses parents et sur sa nature de sorcier. Les Dursley lui menèrent la vie dure, lui donnant à réaliser de nombreuses tâches ingrates, tandis que leur fils Dudley, un gros

combattants, tels Roland et Olivier dans « Le mariage de Roland » (de La Légende sémitique : c’est l’Épopée de Gilgamesh, roi d’Uruk (Sumer, développé le poème en akkadien, langue dirigent vers les montagnes des cèdres pour tuer le monstre Huwawa. Ishtar2 invite Gilgamesh à devenir son époux ; il l’insulte en lui rappelant que tous ses amants ont pris la route des Enfers. Pour se venger, Ishtar place sur le chemin de des siècles), deviennent les meilleurs amis de la planète. Ils

agile accentue l’expression de ce visage. La délicatesse de la gamme colorée, là aussi, n’est pas similaire, à celle des autres peintres. Les couleurs de Véronèse constituent une image légère sur un fond pastel, avec une profondeur travaillé dans le vert émeraude qu’il brosse sur son chapeau. Dans cet autoportrait, Véronèse souligne un amour certain pour l’embellissement des personnages par la multiplicité des motifs, encore discret sur cette peinture. L’éventail coloré, utilisée dans L’allégorie de

séquences d’Excalibur de John Boorman • 3 sketches de Kaamelot d’Alexandre Astier • La dernière scène d’Indiana Jones et la dernière croisade de Steven Spielberg Lecture cursive = Lecture personnelle, au choix : • Le chevalier au bouclier vert d’Odile Weulersse • Les cinq écus de Bretagne d’Evelyne Brisou-Pellen • La croisade de la liberté de Bertrand Solet • Le vœu du paon de Jean-Côme Noguès • Double meurtre à l’abbaye de Jacqueline Mirande • Dans l’officine de

Ruy Blas : anaphore de "vous osez" adressée à Don Salluste => montre l'offense de Don Salluste envers la reine. - Ruy Blas a souffert des mauvais traitements de Don Salluste : métaphores qui mettent en valeur la souffrance de Ruy Blas ("C'est un monstre. En riant hier il m'étouffait./ Il m'a broyé le cœur à plaisir."). Gradation : "Je priais ! Je pleurais !" B- Une opposition verbale - Ruy Blas fait des tirades alors que Don Salluste parle peu (opposé à l'acte I scène 1) - Ruy Blas donne des

Nous vîmes cela pendant une seconde : c’était, nous sembla-t-il, deux misérables en haillons, rouges dans la lueur éclatante du foyer, avec leurs faces barbues tournées vers nous, et autour d’eux, comme un décor de drame, les arbres verts, d’un vert clair et luisant, les troncs frappés par le vif reflet de la flamme, le feuillage traversé, pénétré, mouillé par la lumière qui coulait dedans. Puis tout redevint noir de nouveau. Certes, ce fut une vision fort étrange ! Que faisaient-ils dans

surprenant… De plus, les constructions des phrases, les juxtapositions des groupes nominaux et les adverbes de lieux témoignent l’immensité de ce magasin appelée à plusieurs reprises « le monstre  ». Par exemple, Denise, petite provinciale récemment arrivée sur Paris, face à face avec un de ces « monstres » à la fois fascinants, grouillants de vie et synonyme de « mort » pour les petits commerçants. L'agencement du magasin est également très étudié: il fait un désordre organisé, change les objets

longtemps petite devant celui par qui elle était abandonnée. Elle ne voulait pas qu'Eugène la crût une conquête facile, précisément parce qu'il savait qu'elle avait appartenu à de Marsay. Enfin, après avoir subi le dégradant plaisir d'un véritable monstre, un libertin jeune, elle éprouvait tant de douceur à se promener dans les régions fleuries de l'amour, que c'était sans doute un charme pour elle d'en admirer tous les aspects, d'en écouter longtemps les frémissements, et de se laisser longtemps caresser

Au second plan, à droite, on voit un personnage portant sur le torse la faucille et le marteau ce qui nous permet de l'identifier comme étant communiste. Il ne semble pas être humain, son corps est vert et velu, ses yeux sont sans pupille, sa carrure imposante nous font d’avantages penser à un monstre. Il porte une ceinture et des bottes qui le rattachent au corps militaire. Différent par son aspect des autres «ennemis» représentés ( à gauche ), nous pouvons supposer qu'il s'agit du principal adversaire