Le Montage

communiste:officiers-aristocrates contre matelots-prolétaires.Ce film est le symbole même du film soviétique ce qui ne lui retire en rien ses qualités de scénario, de mise en scène et de montage toutes maîtrisées par Eisenstein. Il meurt suite à une hémorragie cérébrale en 1948 à 50 ans à Moscou. Eisenstein supervisait également le montage de ses films. Affiche du film «  Le Cuirassé Potemkine »

peu à peu mise à mort, au centre d’une arène métaphorique. La circularité de la salle, renforcée par les courbes des loges et un panoramique horizontal, ne laisse aucune échappatoire dans cet espace systématiquement clos en arrière plan. Le montage repose sur une série de champs contrechamps liés par des raccords regards, symbolisant la confrontation entre Merteuil et les aristocrates qui la rejettent, rendant visible le contraste entre sa solitude dans le cadre et le nombre de ses détracteurs

enfin nous verrons en quoi elle est représentative du style « Hitchcock ». PRESENTATION DE LA SCENE DE LA DOUCHE Avant de détailler les principaux plans de cette scène d'anthologie, il est important de noter que la réalisation et le montage sont totalement novateurs pour l'époque. Bien loin d'Hitchcock l'idée d'une mise en scène de facture classique qui suivra les règles de bienséances dictées par le code Hayes censeur d'Hollywood a l'époque. Non, l'idée est de mettre un coup de pied

-Story-board: on présentes les séquences et les plans sous forme de dessins. -Photogramme: image isolée d'un film (plus petite prise de vue). -Séquence: équivalent à un chapitre d'un roman,c'est une série de plans. Comprendre les choix du montage -le montage: c'est l'art d' enchaîner les séquences et les plans en y ajoutant les effets sonores. -fondu: transition entre deux plans, on remplace une image par une autre. -fondu au noire: l'écran s'assombrit, laissant place à la scène suivante. -fondu

Compte rendu de Post­Production (Montage)    La préparation de mon espace de travail (choix de la station de montage Mac occupée,  matériel…) s’est déroulée dès la première réunion précédant le tournage.  J’ai organisé le “workflow” (création des différentes bins, chutiers et hiérarchie des  séquences). Cette étape est particulièrement importante sur Avid Media Composer, afin de  gagner du temps lors de l’importation de rushs et du dérushage.   Le tournage se déroule parfaitement, il viens alors le moment de dérusher en collaboration 

nombreux soucis de logistique et de nourriture. Le tournage terminé, de nombreuses tâches restaient à effectuer. L’enregistrement de la voix off a été effectué heureusement rapidement et sans problème notoire, ce qui a permis à la post-production et au montage, puis au mixage, d’avancer à bon rythme. La période de post-production a été entrecoupée successivement par les épreuves d’anglais du BTS et le passage des habilitations électriques de certains d’entre nous. Malgré ces contretemps et après une dernière

forum.free.fr 16/2/2012 17:06:17 - 4 Le découpage aboutit à la numérotation de tous les plans, séquence par séquence. C’est à partir de ces numéros que la scripte pourra s’assurer qu’il ne manque aucun plan, et qu’on les retrouvera facilement au montage. Ce sont d’ailleurs ces numéros qui figurent sur le clap, filmé à chaque début de prise. · Le story-board : Le story-boarder dessine ensuite un petit croquis pour chaque plan, à la manière d’une bande dessinée. Il s'aide de flèches pour représenter

est son film le plus abstrait. Une ambition mortelle De Shakespeare, Welles retient également son sens du morbide. Ainsi, lorsqu’il met en scène les retrouvailles de Lady Macbeth et de son mari (tandis que l’ancien Cawdor fraîchement destitué, en montage parallèle, se fait décapiter), le plan d’ensemble, qui montre leur étreinte sur la droite de l’écran, met en évidence un pendu à l’arrière-plan qui croupit là depuis manifestement plusieurs jours. L’amour est comme cerné par la mort. Dans une communion

classiques, la caméra reste invisible, simple appareil d’enregistrement (on la devine dans quelques plans chez Ruttmann), ce n’est évidemment pas le cas dans le film de Vertov qui par un paradoxe assez violent se montre en train de se faire (tournage, montage, projection). Conclusion Vertov se sert du genre de la symphonie urbaine, mais c’est pour le dépasser, voire le subvertir. « En effet, le cinéaste soviétique cherche moins à enregistrer des événements quotidiens qu’à exprimer une utopie où le

commun et organiser notre projet, nous avons trié les photos par thèmes. Je savais déjà que notre support final serait un montage audio-visuel car nous en avions parlé entre nous auparavant. J’étais assez à l’aise sur ce genre de support. Néanmoins sa création a été particulièrement longue à effectuer. Nous avons utilisé un logiciel sur l’ordinateur de Philippine. Le montage a été pour moi le plus compliqué dans l’évolution de ce projet. En effet, le travail en groupe apporte des idées différentes