Le Mort Joyeux Figures De Style

hommes » qu'il met ensuite en contradiction avec le « Moi », cette construction creuse l'écart entre la société et lui et renforce son aspect marginal. On remarque également une omniprésence du « moi » dont on peut compter huit occurrences dont la figure de répétition ligne 4 « Moi! Moi! » qui semble être une affirmation de son individualité. Enfin, on peut observer qu'Antony est un héros romantique dans le sens où c'est un héros orphelin, « bâtard », trait spécifique d'une majorité de héros romantiques

tradition orale qui leur permettait de fixer les événements historiques et leurs origines. Ce langage rythmé était alors sans doute associé à la musique et véhiculait des faits essentiels ou fondateurs des peuples. Dans l'Antiquité grecque, le poète était figuré par Orphée accompagné de sa lyre, personnage légendaire qui séduisait les hommes et les bêtes par son chant. Cette poésie apparaissait alors comme le fruit d'un don divin offert à un mortel, inspiré par les muses et par Zeus. Celui-ci permettait

profond désespoir, une folie extrêmement violente qui la pousse à mettre fin à ses jours. Ici, Didon nous est présentée sous une figure de femme animée par la folie et hantée par la douleur. Cet extrait est un monologue lamentatoire où la reine de Carthage semble abandonner son titre de reine à cause du désespoir dans lequel elle est plongée, qui va la mener à la mort. Il semblerait qu'il y ait une évolution de l'état physique et moral de Didon. Cependant, cet amour apparaît surprenant puisqu'il

il est dépouillé de ses vêtements par des meuniers, avant de se réfugier auprès d’une « vieille sorcière ». Un tel renversement des hiérarchies est typiquement carnavalesque. La déchéance des deux rois peut être interprétée symboliquement comme la mort du roi de Carnaval préludant à l’instauration d’un monde nouveau. Notons néanmoins une divergence de taille : dans le chapitre suivant, Gargantua réorgaLIRE L’ŒUVRE 5 nise le royaume du colérique selon des principes de politique humaniste, allant

une couleur étroitement liée au rêve, à la sagesse et à la sérénité. C'est l'une des couleurs préférées des Occidentaux : en effet, elle est omniprésente autour de nous. Le bleu est l'écho de la vie, du voyage et des découvertes au sens propre et figuré (introspection personnelle). Comme l'eau qui désaltère, le bleu a un petit côté rafraîchissant et pur qui permet de retrouver un certain calme intérieur lié aux choses profondes. Le bleu est symbole de vérité, comme l'eau limpide qui ne peut rien

lignes sont numérotées et qui va de "Et elle se leva." jusqu'à "me fait froid..." QUESTIONS 1^) Etudiez l'emploi du style indirect libre aux lignes 20 à 28. (2 points), 2°) Commentez les images "un rire de poulie mal graissée" (ligne 18) et "un fichu grelot'(ligne 29). (2 points) Faites un COMMENTAIRE COMPOSE du passage. (16 points) REPONSES AUX QUESTIONS l) Le style indirect libre (lignes 20 à 28) consiste à Intégrer les paroles d'un personnage dans le système verbal (imparfait, plus-que-parfait

Cette anthologie, dédiée à la mort chez Ronsard, un de ses thèmes principaux, comprendra 8 poèmes. Le thème de la mort et de la souffrance est souvent associé chez Ronsard avec celui de l’amour. Nous aurions donc pu aussi citer ce leitmotiv pour notre anthologie. La majorité des poèmes de Ronsard, inspirés de l’Antiquité, rendent hommage à une de ses muses, Cassandre et Marie. Il dédiera aussi un recueil de poèmes nommé Sonnets pour Hélène à la femme du même

dotés d’une grande endurance physique et moral. Sa loyauté envers son seigneur est sans faille, il est très pieux et Dieu lui vient souvent en aide. Il arrive que le chevalier meure et c’est alors le moment le plus émouvant de l’histoire. C’est une mort noble car elle subie pour Dieu ou pour le suzerain. Les personnages secondaires sont toujours les mêmes et ont des rôles bien définis : ils sont l’ami confident, le traître, l’ennemi, le lâche. Ils sont là pour souligner les vertus du chevalier personnage

romancière, et ses œuvres sont plus particulièrement historiques. Généralement, elle s’inspire de faits réels de l’Histoire afin d’écrire ses romans, tout en y ajoutant des personnages ayant existé dans une intrigue qui se montre fictive, donc, n’ayant pas figuré dans la période historique. 3) Définir le genre du livre C’est un roman pseudo-historique : nous sommes en 1664, à l’âge d’or de la peinture hollandaise. Le tableau, la jeune fille peinte, le peintre Vermeer et sa famille ont existé.

connaître tout de suite l'issue, puis de revenir en arrière à un bonheur fondé sur le plaisir sensuel procuré par les femmes et par la possession d'objets mais qui sont imaginés comme ayant appartenu à des femmes, qui sont un moyen d'atteindre ces mortes (le personnage est «possédé par le désir des femmes d'autrefois»), d'où une obsession de la fuite du temps, le passage enfin d'une montre à (et ici il y a annonce d'un événement) un meuble dans lequel - et c'est une autre péripétie - est découverte