Le Mouvement Hippie

consacré fut le théâtre d'une gradation évidente, en passant par les textes des Doors, des Pink Floyd, de John Lennon, de Neil Young ou des Ten Years After pour ne citer qu'eux et en débouchant sur des plaidoyers bien plus osés avec l'apparition du mouvement punk en Angleterre (The Clash, The Sex Pistols) dont le franc-parler et la dimension violente inspirèrent plus tard les premiers rapeurs. "Cette chanson est copyrightée aux Etats-Unis, sous le Sceau #154085, pour une période de 28 ans, et quiconque

1967 ayant pour titre « Hippies  à paris, place de la contrescarpe ». On y distingue trois jeunes gens accroupi au sein d’un  regroupement de personnes.  Ce corpus de documents amène à une problématique commune : comment définir  une génération ?  Pour répondre au mieux à cette problématique il convient de développer un plan  qui  traitera  dans  une  première  partie  le  phénomène  transcendantal  de  la  génération.  Puis  dans  une  seconde  partie  par  un  mouvement  sociale  et  pour  terminer 

La contestation de la guerre du Vietnam aux Etats-Unis « Faites l'amour pas la guerre ». C'est l'un des slogans les plus populaires aujourd'hui en faveur d'une cause pacifiste. Ce slogan émerge dans les année 60 au sein du mouvement « Hippie » en contestation de la guerre du Vietnam. Les années 1960 aux Etats-Unis furent le théâtre de nombreux  bouleversements sociaux et culturels. La guerre du Vietnam fut de loin la guerre la plus longue de l’histoire américaine (officiellement de 1964 à

commencé la guitare. Son enfance et son adolescence sont baignées dans le jazz et le blues. Il deviendra l'un des plus grands de la pop music, terme employé en France pour désigner les musiques rock de 1964 à 1977, époque des sixties avec le mouvement hippie qui prône l'amour, la paix, la liberté. Ce guitariste auteur-compositeur et chanteur américain est considéré comme l’un des musiciens les plus novateurs du XXe siècle, en raison de son approche révolutionnaire de la guitare électrique qui lui

A - Qu'est ce que le psychedelisme? À la charnière des années 60 / 70, l'Amérique connaît un mouvement de révolte de la génération née après-guerre, les "baby-boomers". Ils remettent en cause un système, des valeurs traditionnelles dans lesquels ils ne se retrouvent pas et bien plus encore qu'en Europe, leur révolte est radicale et flamboyante. C'est en fait un melange de mouvements divers, issus de la lutte contre l'apartheid et de la "beat" génération. Sur la côte ouest, ce sont les "flowers

matériellement par le bloc de l'Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud-Vietnam soutenue par l'armée des États-Unis appuyée par plusieurs de ses alliés comme l'Australie. Nous sommes dans les sixties, c’est la génération des hippies qui prône le mouvement « Peace and Love » (= paix et amour). Cela entraîne donc de grandes manifestations contre cette guerre. Environ 100 000 personnes étaient présentes à la première marche et près de 35 000 à la seconde ; 800 personnes ont été arrêtées pour

musiciens noirs restent très actifs grâce à Chuck Berry et Little Richard (Tutti Frutti, Long Tall Sully, Rip It Up, Ready Teddy...). Le Rock'n'roll provoque un mouvement de rejet de la bonne société américaine qui croit avoir triomphé de ce mouvement en 1959. On annonce alors la mort du Rock et il est vrai qu'aux Etats-Unis, le mouvement semble s'essouffler. Les chanteurs sont désormais très consensuels et Elvis est institutionnalisé. Vers la fin des années 50, les titres de Rock'n'roll deviennent

la jeunesse immigrée antillaise en Angleterre, copiant le mode vestimentaire des gangsters. Au cours des années 60, certains ont lentement changer vers la mouvance hippie, est donc devenue pacifique. En réponse à ce changement les autres restants se sont radicalisés, clamant le « hate and war » en réponse au « peace and love » des hippies. Ce sont ce là qui devinrent les skinheads qui n’hésitaient pas à montrer leur rage et leur mécontentement en étant agressifs, provocants, racistes et xénophobes

Beat génération et le Jazz C – Les Beatniks IV – Conclusion I - Introduction La Beat Generation est un mouvement littéraire et artistique né dans les années 1950, aux États-Unis. Le terme de « Beat Generation » est employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes. John Clellon Holmes définit le mouvement dans un article publié dans le New York Times en novembre 1952 : « This is the Beat generation ». William Burroughs

Problématique : Pourquoi Woodstock reste-t-il dans les mémoires ? 1. Woodstock en lui-même : - Préparation et déroulement du festival. - L’ambiance. (Mouvement hippie, ambiance chez les spectateurs ainsi que chez les artistes.)  - Le type d’artiste. (Noms des Artistes, ceux qui n’ont pas accepté, le type de musique joué.)  2. Les conséquences : - Un film. - Popularité jusqu’à aujourd’hui. - Un phénomène de société. 1. Woodstock en lui-même :  a. Préparation et déroulement du festival