Le Multipartisme En Afrique

état fédéral démocratique stable qui reste en contradiction avec la société indienne divisée en castes traditionnelles et inégalitaires. En Algérie, la forme autoritaire de l’Etat-nation construit autour d’un parti unique est choisie. En 1988, le multipartisme est instauré mais un conflit politique avec les islamistes intégristes du Front Islamique de Salut provoque une guerre civile sanglante. L’Algérie retrouve la paix et la démocratie en 1999. SITUATION : LA TOUSSAINT 1954 Le 1er novembre 1954, l’Algérie

aujourd’hui de la transition en République démocratique du Congo renvoie presque automatiquement à l’Accord global et inclusif signé le 17 décembre 2002 à Pretoria, et à l’actuelle Constitution de transition, signée, elle, le 3 avril 2003 à Sun City, en Afrique du sud. Cette façon de voir les choses n’est pas anormale, dès lors que l’on envisage les choses par rapport à l’évolution actuelle de la transition en République démocratique du Congo. En effet, bon nombre d’observateurs avertis admettent aujourd’hui

électeurs élisent les candidats des partis qui siègent à l'assemblée sous leurs étiquettes respectives : chaque élu est en situation de dépendance et se plie donc aux consignes de son parti. Selon que l'on est dans un système de bipartisme ou de multipartisme, il se dégage une majorité au profit d'un parti ou d'une coalition. De cette majorité sont issus le chef du gouvernement et le gouvernement. Ce dernier ne peut mener à bien sa politique qu'avec le soutien de la majorité dont il est dépendant

le premier président du Sénégal (1960-1980) et il fut aussi le premier Africain à siéger à l'Académie française. Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs. Sa poésie essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Par ailleurs il approfondira

origines anciennes Mais des moments de rupture, telles que les révolutions française et américaine Une histoire très occidentale de l’État « Dans ses institutions contemporaines, l’Etat est volontiers considéré comme un “pur produit d’importation” en Afrique et en Asie (…). De fait son édification, sous cette forme particulière, est le fruit de l’expansion impérialiste de l’Occident ». « L’Etat, né de l'occupation coloniale, a été l'objet de multiples pratiques de réappropriation qui l'éloignent chaque

rupture avec les pratiques soviétiques traditionnelles. En mars 1989, alors qu’il y a la chute du mur de Berlin et la dislocation du bloc communiste en Europe de l’Est, les premières élections se tiennent dans le pays. Boris Eltsine, favorable au multipartisme, est élu à plus de 89% par les moscovites. En 1990, Eltsine est élu  Président du Soviet suprême de la République socialiste fédérative soviétique de Russie. Pour parer à la montée en puissance des libéraux et pour maintenir l’URSS

CEDEAO semble avoir des difficultés pour gérer la crise. La principale raison de cette faiblesse est la différence de position des États membres, certains pays membres veulent une chose alors que d’autres défendent le contraire. Ceci est fréquent en Afrique, on se souvient de la position de l’Union Africaine quand l’OTAN bombardait la Lybie qui était opposée à celle de certains dirigeants africains pourtant membre de la dite union. Pour la CEDEAO, une unité des pays membres autour cette dernière pour

des médias et le président doit démissionner en 1974, après avoir été triomphalement réélu. ____________________________________________________________ _______________ [pic] [pic] Démocratie et développement: le rôle des médias en Afrique Reinhold Meyer Texte intégral d'un article paru dans D+C Développement et Coopération no. 6, novembre-décembre 1994: pages 18-21 Page EUFORIC [pic] D+C is published by the Deutsche Stiftung für Internationale Entwicklung. Subscriptions

place de Taïwan en 71, voyage de Nixon 72) 3. La « guerre fraîche » : le renouveau des tensions (1975-1989) *A partir du milieu des années 1970, l’opposition entre les Blocs gagne à nouveau en acuité. Le communisme reprend son expansion en Asie, en Afrique, en Amérique latine (Afghanistan, Angola, Mozambique, Viêtnam 75, Nicaragua 79). *Les Etats-Unis ripostent vigoureusement en relançant la course aux armements (Initiative de Défense Stratégique de Ronald Reagan en 82, « guerre des étoiles ») et en

organisée selon les principes de la libre entreprise et du libéralisme : le libre jeu du marché est censé assurer le progrès de l'ensemble de la société et l'État doit intervenir le moins possible. L'État américain est donc relativement faible. Le multipartisme règne ; les libertés individuelles sont sacrées. Le régime se réclame de valeurs religieuses : la formule « nous croyons en Dieu » figure sur les billets américains. • À l'époque de la guerre froide, le modèle américain est, dans le monde entier