Le Multipartisme En France

donne pas une réponse tout à fait satisfaisante à la question de savoir pourquoi les pays francophones n'ont pas fait preuve de plus de créativité et de sens d'innovation constitutionnelle en optant de nouveau pour le modèle constitutionnel de la France. Sindjoun considère que 'les nouvelles constitutions africaines marquent plus ou moins l'existence d'une culture juridico-politique, universelle, transcendant les particularismes et relativisant l'existence d'une irréducti- 9. Banégas, R., 'Mobilisations

1986 en France) . Pour les proportionnalistes, un système électoral doit donner une image fidèle de la situation politique et du corps électoral ; pour les majoritaires, il vise à désigner une majorité d’élus capable de gouverner . Au-delà de la répartition des sièges, le choix du mode de scrutin correspond à une conception de la vie politique, qu’il influence forcément. Les scrutins proportionnels conduisent souvent à un dysfonctionnement du système politique ; ils favorisent le multipartisme et donnent

d’auto-organisation, c’est une « système normatif dynamique » (H. Kelsen). L’Etat est soumis aux règles de droit qu’il élaborent  Etat de droit : Constitution, juridiction indépendantes, respect de la hiérarchie des normes. Le pouvoir d’Etat en France : pouvoir de centralisation, d’arbitrage, extrapatrimonial, civil et temporel. L’Etat providence exerce les missions de l’Etat gendarme et en plus intervient dans le domaine économique et social. 3. Les formes juridiques de l’Etat

sein des parlements, où des élus partageant la même vision, vont se rassembler en groupe. Dès lors que le suffrage va s’étendre, les élus vont éprouver dès lors le besoin de tisser des liens plus étroits avec les populations, d’où la naissance en France ou en Grande-Bretagne de comité électoraux, afin de rendre compte des actions et éventuellement, solliciter leur jugement. * Ces comités dénotent cependant une idée élitiste puisque ce sont des notables qui vont s’impliquer. Néanmoins, de cette

qu’il trouve des limites ». La séparation des pouvoirs va ainsi permettre la répartition de l’exercice de la souveraineté entre trois organes, qui ne peuvent avoir l’ambition de représenter la nation tout entière. De plus, si on prend l’exemple de la France, la Constitution de 1958 rappelle dans son article 2 que le principe de la République est un « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Avant d’ajouter dans l’article suivant que « la souveraineté nationale appartient au peuple […]

quoi les deux modes de scrutin principaux en France ne permettent pas première partie→ parler des modes de scrutins en France → avantages inconvénients de ces deux modes→ en quoi elles remplissent et ne remplissent pas les critères du bon mode de scrutin vu par Juppé deuxième partie→ expliquer en quoi ces deux modes de scrutins par leurs inconvénients, même en les combinants ne peuvent remplir les deux conditions→ système hybride inévitable en France, avec bipolarité politique Ce qu’inspire la formule

49: cette question de confiance ne peut être posée que par le président du Conseil, après autorisation préalable du Conseil des Ministres. L'article prévoit également un délai: « le vote sur la question de confiance ne peut intervenir qu'un jour franc après qu'elle a été posée devant l'Assemblée », et le vote est fait au scrutin public, ce qui sous entend que chaque député doit assumer sa position. Enfin, il faut la majorité absolue des votes des députés de l'Assemblée pour que la question de confiance

de la 4ème République, sans pour autant rompre avec le passé politique et juridique. Ainsi, au lendemain de la seconde guerre mondiale, l’Europe est en train de se reconstruire. L’Allemagne et la France doivent donc mettre en place deux nouveaux régimes politiques à la sortie de la guerre. En France, ce sera l’adoption de la Constitution de 1946 qui donnera naissance à la IVème République, et de l’autre côté du Rhin, les allemands adoptent la loi fondamentale qui donnera quant à elle naissance

correspond le mieux à leurs opinions politiques. Second tour : Il reste souvent deux partis à tendance opposé. Ils sont favoriser à faire des alliances pour attirer le plus d’électeurs possible. Intérêt : contrôle des alliances. •Proportionnel = multipartisme Partis n’ont pas besoin de se regrouper car élécteurs votent pour le partis qu’il souhaite vraiment et pas juste pour une tendance politique. Plus ou moins prononcé selon le type de proportionnel. Propo au plus fort reste favorise petits partis

l'exécutif de l'assemblée (c'est pourquoi certains politologues parlent de "régime d'assemblée"). Cela résulte d'un évènement, la crise politique de mai 1877 (A/), et d'une instabilité gouvernementale chronique résultant de l'existence d'un multipartisme souple (B/). A/ La crise de mai 1877 179. Le premier Président de la République, élu en mai 1873, est donc un militaire, le maréchal Edme Patrice Maurice comte de Mac-Mahon, duc de Magenta, qui est de "sensibilité" monarchiste légitimiste. Or