Le Multipartisme

mécanismes juridiques que le parlementarisme fonctionne ? Pour le savoir nous allons nous intéresser dans un premier temps à la pratique institutionnelle pour la rationalisation du parlementarisme à travers le texte constitutionnel de 1946 et le multipartisme qui causa la perte de cette république. Et dans un second temps nous étudierons les différentes modalités de l’échec de la rationalisation du parlementarisme en s’appuyant sur les causes et raisons de ce fiasco et aux différents outils qui ont

du système des partis politiques. Il existe plusieurs problèmes liés aux partis politiques. Parmi eux, la possibilité d'une apparition du multipartisme. Le multipartisme est un système où plusieurs partis politiques se disputent le pouvoir, ce qui oblige généralement à former des gouvernements de coalition plus ou moins stables. Ce rejet du multipartisme par exemple est présent chez Alexis de Tocqueville dans De la Démocratie en Amérique en 1835 : « Une des chances majeures de l'Amérique est de

organisé où le candidat qui a le plus de voix se voit attribuer 50% des sièges, les restent étant réparties proportionnellement entre les tous partis ayant obtenu au moins 10 % des suffrages exprimés. Le mode de scrutin entraîne inévitablement un multipartisme, mais permet cependant de dégager une majorité suffisamment nette pour un gouvernement stable. Le scrutin majoritaire présente l’avantage d’être très simple à mettre en place. Le parti politique qui réunit le plus grand nombre de suffrages remporte

communistes tchèques qui soutiennent leur nouveau leader Alexandre Dubcek et une bonne partie de la population tentent d'instaurer le « socialisme à visage humain ». Ils prônent la séparation des pouvoirs entre le Parti et le gouvernement, le multipartisme et l'abolition de la censure. Cependant, ce fameux Printemps de Prague est un relatif échec. En effet, Brejnev met en pratique sa politique de la souveraineté limitée et ordonne alors l'invasion de la Tchécoslovaquie par les troupes du Pacte de

directeur du cabinet du président Léopold Sédar Senghor en 1963, puis ministre du Plan et de l’Industrie en 1968. En 1970, il inaugure la fonction de Premier ministre au Sénégal dans le cadre de la mise en place d’institutions démocratiques et du multipartisme. La même année, il est élu secrétaire général adjoint de l’Union progressiste sénégalaise (UPS), ex-parti unique transformé en Parti socialiste. Après la démission du président Senghor, en 1981, son « dauphin » lui succède naturellement à la présidence

par le peuple et pour le peuple ,en France ,le peuple-souverain ,le pluralisme politique et fait majoritaire a composé les fondement démocratique. Le peuple souverain est élection aux électeur pays ; pour le « fait majoritaire » ,c’est-à-dire multipartisme bipolarisé dût aux élections présidentielles ou au scrutin majoritaire à 2 tours. Le plus important, c’est le pluralisme politique : le pluralisme est un système d'organisation qui reconnaît et accepte la diversité des courants d'opinion, de leurs

avant l’élection, les électeurs ayant une idée de la coalition qui va gouverner à l’issue d’un scrutin ;  * la représentation proportionnelle : elle favorise une fragmentation politique, mais ne conduit pas forcément à l’instabilité ou au multipartisme. Les partis n’ont pas d’intérêt à s’allier lors des élections, ce qui favorise leur éparpillement. Elle permet de faire apparaître de nouveaux partis représentatifs de tendances récentes de l’opinion (le FN en 1984 pendant les élections européennes)

observe alors des restes de voix. Ceux-ci vont à leur tour être répartis, ce qui est plus complexe. La représentation proportionnelle engendre le multipartisme dans la mesure où elle favorise l’existence de petites formations auxquelles elle permet d’obtenir des sièges que celles-ci n’obtiendrait pas avec un scrutin majoritaire. Le multipartisme rend donc possible un renouvellement du paysage partisan en favorisant la montée de nouvelles formations. Par ailleurs, il assure à l’électeur un large

Pacte de Varsovie - Hongrie : répression sanglante avec intervention de l’Armée Rouge (environ 2000 morts) en novembre 1956. Puis, arrestation de Nagy et exécution en 1958 ( répression car trop grande volonté de démocratisation (il voulait un multipartisme, des élections libres) et volonté de se retirer du Pacte de Varsovie. 2- Quelles sont les différentes voies nationales qui co-existent ? A- La Yougoslavie En 1958, Tito est accusé de déviationnisme et est expulsé du Kominform

fort Exemple Grande-Bretagne B) Le Président du Conseil : Une fiction. Pas mentionné par la C° Csq : Pas plus de pvr qu’un autre ministre, pas arbitre Contrairement au 1er ministre. II-Les conséquences de la subordination de l’exécutif. A) Le multipartisme cause de l’instabilité ministérielle. B) La volonté de réviser la constitution. Phrase d’accroche : Cette citation « Le gouvernement rend compte à l’assemblée comme le serviteur à son maitre » est de Pierre Mendès France dans laquelle il affirme