Le Multiplicateur De Crédit

comparées de lutte- contre l’inflation 8- L’emploi et le chômage - Politiques comparées de lutte contre le chômage 9- La politique économique - Fiscalité - Dette publique - Investissement public 10- La politique économique - Politique monétaire et du crédit Examen final (3h) Travaux préparatoires - Compte rendu sur l’actualité (CRA*) - Analyser Tableau de bord de l’économie nationale (Carré magique de N.Kaldor) - CRA - Analyser Enquêtes HCP sur les dépenses et sur le niveau de vie. 2 Cours

d’inspiration marxiste sur les cycles et la dynamique du mode de production capitaliste. 2.1. Les bases du modèle Le modèle de Goodwin est un modèle de croissance cyclique qui se distingue alors des modèles « normaux » reposant sur les mécanismes de multiplicateur et d’accélérateur. Il met en avant et isole deux mécanismes centraux : L’évolution du taux d’emploi ; La part des salaires dans l’économie nationale. La co-évolution de ces deux grandeurs (i.e. la répartition des revenus) explique le cycle de

la hausse de demande de biens de consommation par les éléments suivants : Déthésaurisation. Augmentation des revenus et notamment des salaires (il faut être en situation de croissance forte). Augmentation des dépenses publiques. Augmentation du crédit liée par une anticipation de la croissance future de la part des consommateurs ou des producteurs dans certains cas. Augmentation des exportations peut provoquer hausse des prix. D’autre part on peut expliquer l’inflation par la demande en analysant

le krach des prêts immobiliers à risque aux États-Unis aussi appelé subprimes. Ces emprunt destiné au ménages à revenu modestes sont des crédits hypothécaires à taux variables qui ce sont révélé en février 2007 très dangereux puisse ceux-ci était accordés a une clientèle peu solvable. Tout commença en 2002 lorsque, le gouvernement américain a proposé des crédits hypothécaires pour relancer l’économie. Mais en l’espace de 4 ans c'est une véritable bulle financière immobilière qui s'est formée puisse

statistiques Qui produit des statistiques ? La ou les statistique(s) ? L’exemple du CAC40 (3/9) Considérons l’extrait de données suivant : 09/07/2012 ACCOR AIR LIQUIDE ALCATEL-LUCENT ALSTOM ARCELORMITTAL AXA BNP PARIBAS BOUYGUES CAP-GEMINI CARREFOUR CREDIT AGRICOLE DANONE EADS EDF ESSILOR INTERNATIONAL FRANCE TELECOM GDF SUEZ L'OREAL LVMH LAFARGE Volumes échangés 746755 851064 26938856 1206503 8576658 13800910 6346490 1217788 1275380 3201998 14855939 1559413 1265222 1084055 560346 9636507 4883947 641485

financement des entreprises : les mesures de trésorerie ( 11,5 millards d’euros ) se veulent une réponse aux difficultés de financement de l’exploitation que peuvent rencontrer des PME en bonne santé dans le contexte actuel de rationnement du crédit bancaire ( crédit crunch ).   Un plan de relance d’inspiration keynésienne.   Le type de politique budgétaire mise en œuvre par le gouvernement est globalement d’inspiration keynésienne tant dans l’esprit que dans les mécanismes mis en œuvre. Le gouvernement

118 000 milliards de dollars, soit 326% du PIB mondial. Très fort développement du marché des changes. En 20 ans, le volume journalier des opérations a été multiplié par 10 : en 86, 200 Mds de dollars contre 1900 milliards en 2004. La part des crédits à la clientèle dans l’actif des banques commerciales a régressé de 84 % à 38 %. Les banques se sont orientées vers des activités de marché : à l’actif, la part des titres est passé de 5 % en 80 à 47 % en 2002 Les administrations publiques ont augmenté

exclusivement liées à une mode et/ou produites selon des procédés techniques périmés ; – lorsque les modes d’organisation sont inadaptés et inefficaces. De même, le recours par des voies multiples à des aides publiques, le refus répété de crédits bancaires, ou à plus forte raison la réalisation d’actifs importants constituent de fortes présomptions de difficultés durables. Une entreprise qui serait dans une telle situation aurait une valeur de productivité nulle du fait des déficits accumulés

d’une banque I-2 La règle « les prêts font les dépôts » I-3 Le problème fondamental des fuites : la notion de multiplicateur de crédit 19 19 20 21 21 22 22 22 22 22 23 27 32 37 37 37 39 39 4 Mongi Smaili. Cours d’économie monétaire. ISG Tunis. 2005-2006 I-4 Les limites de la création monétaire des banques II- Relation entre la masse monétaire et la base monétaire :le multiplicateur de la base monétaire III- La demande de monnaie III-1 La demande de monnaie chez les classiques III-2- La demande

résultat du multiplicateur. Toutefois, pour les keynésiens, une hausse des dépenses publiques n’est pas équivalente à une diminution des recettes. En effet, le multiplicateur des dépenses budgétaires est supérieur au multiplicateur fiscal en raison des délais plus lents de réaction des revenus individuels et donc de la consommation, par rapport aux modifications de la fiscalité. Une politique privilégiant l’offre, a été institué. En effet, le gouvernement actuel a instauré un crédit d’impôt pour