Le Multiplicateur De Crédit

comptable (inscription d'un montant au crédit d'un client par un établissement financier). Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, ruée vers l'or) et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, une partie de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans

théoriques entre les approches Post-Keynésiennes. Les Horizontalistes et les Circuitistes affirment que la Banque Centrale est parfaitement accommodante avec le système bancaire et les banques de second rang n’ont pas d’autre choix que d’octroyer les crédits aux entrepreneurs ; et ce, pour mettre en œuvre les plans de productions. Les Structuralistes et le Point de vue de la Préférence pour la Liquidité avancent, en outre, que la Banque Centrale est partiellement accommodante, jouent pleinement son

ne faut pas confondre. Leur fonction d'intermédiation consiste à collecter de l'épargne et à distribuer des crédits (la créance des agents à capacité de financement est donc différente de la dette des agents à besoin de financement) alors que leur fonction de courtage consiste à mettre en relation l'acheteur et le vendeur d'un titre de créance (moyennant rémunération). - Remarque : Le crédit bail C’est de la location avec option d’achat : Cela permet à l’entreprise de disposer de moyens de production

LE MICRO-CREDIT EST-IL UN INSTRUMENT DE DEVELOPPEMENT ?   Fernand VINCENT I. HISTORIQUE Dans le passé, mais aussi, de nos jours dans certaines parties du monde, le micro-crédit est souvent lié à l'usure. Les marchands, dans le Sud comme dans le Nord, qui accordent de petits crédits à ceux qui ne peuvent joindre les deux bouts ont été les premiers à prêter de petites sommes aux villageois qui n'avaient pas l'argent pour payer les médicaments ou l'écolage des enfants. Malgré les taux d'intérêts

composantes du PIB. Ce dernier étant l’indicateur de la croissance, il est compréhensible qu’une augmentation de l’investissement permette un accroissement du PIB et donc de la croissance. Keynes, met ainsi en évidence ce mécanisme dans son principe du multiplicateur et de l’accélérateur. Selon lui, une hausse initiale de l’investissement est à l’origine d’une augmentation de la production, et donc des revenus, qui seront eux-mêmes répartis et réinvestis, d’où de nouveaux une augmentation de la production

technologique, partiel. Le chômage est dû à : accroissement de la pop. Active, affaiblissement de la croissance, baisse de la demande, concurrence (innovation, délocalisation, croissance intensive etc.), politique économique (hausse des taux de crédits et baisse d’investissement, baisse de production, destruction d’emploi), manque ou inefficacité de la formation, les indemnités de chômage (point de vue libéral). Le chômage a pour conséquences : - pour le chômeur : baisse de revenu, endettement

politique de relance financée par l’emprunt, la théorie de l’équivalence ricardienne (Ricardo-Barro) énonce que les agents économiques anticipant une hausse future des impôts pour rembourser vont épargner davantage, réduisant de ce fait l’effet multiplicateur. Enfin, selon le courant des anticipations rationnelles, les agents économiques connaissent l’ensemble des effets induits par les politiques économiques mises en place, notamment l’inflation. Ils ne seraient alors pas dupes et n’augmenteraient

cotisation volontaire des membres L’ Extérieur Toutes les UI qui ne sont pas sur le territoire français et qui échangent avec des UI sur le territoire. VA= CA – conso intermédiaire EBE= VA – rémunération – impôts Coefficient multiplicateur : Valeur d’arrivé/ Valeur de Départ Taux de variation : VA-VD/VD x 100 Indice : nombre x 100 Nombre référence Ch2 : Monnaie et financement de l’économie Flux réels : achat de biens et service Agent 1 activité économique Agent

l’accès aux capitaux nécessaires pour l’entreprise. Pour les économistes néoclassiques comme pour les keynésiens, l’investissement joue un rôle centrale dans la croissance. Le taux d’intérêt est un déterminant de l’investissement, c’est le prix du crédit, c'est-à-dire le prix de la renonciation à la liquidité. Les économistes établissent une distinction entre  taux d’intérêt réel et nominal. Le taux d’intérêt nominal  est le taux que paient les investisseurs pour emprunter de l’argent, et le taux

les États-Unis entrèrent dans une période de récession. Peu après sa prise de fonctions, le président Obama signa un « paquet » budgétaire pour stimuler l’économie d’un montant de 787 milliards de dollars (en plus des sommes allouées pour aider le crédit [voir encadré 18.3]). L’objectif était de créer 3,6 millions d’emplois et de renverser la tendance baissière de la demande. Dans le paquet, 212 milliards correspondaient à des réductions d’impôts pour les particuliers et les entreprises mais la majorité