Le Mythe De La Caverne

d’après Platon l’artiste est un charlatan, un illusionniste, un sophiste. Il accuse le discours de l’artiste d’être apparemment vrai et de tromper les hommes qui sont enchainés à la caverne, qui sont dans l’ignorance. En fait, d’après Le Mythe de le Caverne, les hommes sont dans le monde sensible, symbolisé par la Caverne, ils sont esclaves d’eux-mêmes (de leurs perceptions) et des apparences. Il est ainsi aisé de les induire en erreur et de les détourner de la vérité. C’est ce que fait l’artiste :

l'inventivité humaine. Mais il y a des distinctions à faire : la vraie science (abstraite, cf. Platon) ne doit pas être confondue avec la folle science humaine (croyance), vulgarisée (Narcisse 18). "L’exercice de la pensée commence dans le fond de la Caverne avec l’imagination (eikasia), se poursuit avec la croyance (pistis), continue avec la raison (dianoia) et s’achève dans la science (epistèmè)" . "La science prise d'une manière abstraite mérite toute notre admiration". On comprend qu'il faut laisser

pourrons jamais l'atteindre. La vérité, ici, ce sont ces idées venant de ce deuxième monde et donc, malgré le peu de réalité de notre monde, la vérité persiste. Platon associe réalité et vérité mais de manière très complexe et l'illustre par le Mythe de la Caverne. D'autres philosophies peuvent encore être longuement étudiées mais ce ne sera pas le cas dans cet exercice de réflexion. Enfin, dans notre société, la véracité des choses est constamment mise à l'épreuve et le terme « vérité » régulièrement

du point de vue pragmatique: De plus,la tradition antique en faisait déjà mention avec Platon qui voyait les passion comme une sorte d'aveuglement. En effet pour lui les passions sont directement issues du monde de la grotte(issue du mythe de la caverne étudier ultérieurement), elles font tomber les hommes dans un pseudo savoir dont ces derniers ce persuadent eux même être vrai alors qu'il ne sagit en fait,d'après Platon, d'une fausse certitude. Les passions sont ici les chaînes qui retiennent

comme une étape du processus de détachement et de réparation. L’installation nommée « la destruction du père », inspirée d’un rêve cannibalique où elle et sa famille s’adonnent à dévorer le père lors d’un dîner tribal, ressemble à une grotte, une caverne en latex illuminée de rouge où l’on distingue un enchevêtrement des corps, de morceaux de corps, d’excroissances d’organes, de seins. Elle évoque les rapports douloureux avec son père qui ont marqué son enfance et adolescence. L’absence de son père

L'art au service de l'illusion voilà notre culte ! » (Nietzsche) I. L'apparence comme mensonge 1) Vérité se dit en grec aletheia — dévoilement. Le voile recouvre le réel ; pour connaître le réel (la vérité), il faut ôter le voile. Dans le mythe de la cavernes, Platon oppose deux mondes — le monde intelligible, qui est le seul réel, et le monde sensible, qui est celui des apparences. Les prisonniers enchaînés croient avoir affaire à des réalités — les apparences les trompent, ils ne voient que des

comme aux nécessités de notre contexte social, qui souvent sont des entraves à nos libertés individuelles? Si la liberté caractérise un état exempt de toute contrainte, le fait d’être libre dans notre condition d’être humain ne relève-t-il pas du mythe ou de l’utopie? Nous verrons que l’Homme est responsable de son état de liberté, et qu’être libre est avant tout un travail de libération de soi-même, libérer son égo de ses passions, ses haines, ses peurs. Libérer son ego des aliénations qui l’entravent

cinéma a traversé, des siècles durant, l’esprit des inventeurs sans pour autant percuter. Certains historiens du cinéma ancrent même sa naissance dans la nuit des temps. Le cinéma remonte pour certains à pas moins de 380 ans avant J.-C. avec le mythe de la caverne de Platon, et pour d’autre, à quelques siècles plus tard, avec le théâtre d’« ombres chinoises ». A la vérité, ce n’est que vers la fin du XIXe siècle que le rêve se réalise. Tout d’abord, prouesse technique, le cinéma à ses débuts ne racontait

«Voix des étangs»[3], ce frère de lait de la «Petite misère»[4]. Dans son coffre aux trésors à ferrures dorées, sa lampe d'Aladin, dort le génie d'Ernest «Papa» Hemingway. Des traces de pieds nus. Une porte grince. Un intrus se faufile dans la caverne par une brèche. Un naufragé de l'amour rescape les débris de sa vie, cherche un sens, la mère patrie. Une ombre aux pieds nus escalade pas à pas, un chemin du coeur qui mène à soi. Et quelque part dans la cave, la blanche Vitamine vient d'accoucher

LA PIERRE BRUTE La tradition symbolique de la pierre débute avec l’histoire de l’humanité. La bible nous raconte que c’est avec une « pierre » que Caïn tua Abel dans son sommeil. Plus loin dans la littérature, cette tradition se perpétua avec le mythe de Prométhée basé sur un idéal de foi en l’homme et rattachait l’existence de ce dernier aux pierres qui elles mêmes, étaient associées à l’élément feu sous sa forme physique et selon deux de ses manifestations. Par sa manifestation ascendante ou positive