Le Médecin Malgré Lui Comique

comme ils s’étaient brouillés, Molière travaille pour cette pièce en partenariat avec le compositeur Marc-Antoine Charpentier. Le Malade imaginaire reprend les critiques récurrentes de Molière envers les médecins, qui les présente dans plusieurs œuvres (Le Médecin malgré lui, Le Médecin volant…) comme des charlatans dont les traitements n’ont aucun effet pour soigner les malades. Il aurait tenu cette hostilité à l’encontre des docteurs de son enfance, en les voyant impuissants à soigner sa

de comédies. Le rôle premier de la comédie est de faire rire, à tel point que nous verrons qu’il existe beaucoup de procédés comiques utilisés dans ce but. Mais nous pourrons nous demander si parfois derrière ce comique n’apparaît pas une volonté de l’auteur de dénoncer telle ou telle pratique, classe sociale, etc. Alors, faire rire est-il le seul but d’une pièce comique ? Nous verrons donc en premier lieu, que la comédie repose avant tout sur une histoire et sur une technique, qu’elle est conçue

intrigue est d’autant plus comique puisque le spectateur sait qu’Argan n’est pas vraiment malade et que ses diagnostiques sont absurdes. Cette première intrigue est aussi liée à la deuxième ; celle des amours d’Angélique, car effectivement Argan veut absolument pour gendre un médecin qui puisse ainsi le soigner gratuitement. Le comique est alors renforcé par cette obsession d’Argan et le dénouement de la pièce est encore plus surprenant car celui-ci devient lui-même médecin. Nous pouvons donc dire que

au fils du médecin M. Diafoirus alors qu’elle aime Cléante. La servante Toinette, avec l’aide de Béralde, frère d’Argan, use de sa ruse pour raisonner Argan et parvient, grâce à ses deux stratagèmes (propose à Argan de feindre sa mort, puis se déguise en médecin), à déjouer le plan de Béline qui veut déshériter les enfants, et montrer à Argan qu’Angélique l’aime vraiment. Il accepte le mariage d’Angélique et Cléante, notamment grâce à l’idée de Béralde qui lui propose de se faire médecin afin qu’il

comédie-ballet. C’est un genre nouveau au XVIIe siècle, d’ailleurs inventé par le dramaturge Molière et le compositeur Lully, cependant, contrairement à l’opéra, le ballet y est quelque peu séparé du théâtre, car il se retrouve uniquement dans les intermèdes. Malgré cela, cette partie est en accord et en continuité avec les intrigues de la pièce. A l’instar du Bourgeois gentilhomme , nous pouvons citer le Malade imaginaire , une comédie-ballet en trois actes écrite

de théâtre qui appartient au mouvement du classicisme, C'est une comédie-ballet, il y a donc théâtre, chant et danse, La pièce parle d'un père de famille hypocondriaque et naïf nommé Argan, il souhaite marier sa fille Angélique à un médecin nommé Thomas Diafoirus, Cependant, Angélique souhaite épouser Cléante, Argan étant veuf, c'est remarier avec Béline qui elle, n'attend que sa mort afin de toucher son héritage, Toinette, la servante va démasquer Béline et fera marier Angélique et

(1665), acte III, scène 1. Caractérisations : Titre : Dom Juan Auteur : Molière Siècle : XVII Courant : classicisme ( 3 unités, bienséance et vraissemblance ). Type : argumentatif Registre : comique et ironique aussi polémique (dieu) Objectifs : plaire et instruire Thèmes : médecine, religion, libertinage, hiérarchie sociale. Dom Juan écrit en 1665 par Molière (Jean-Baptiste Poquelin), grand dramaturge du 17ème siècle. La pièce n’obéit pas aux règles de la dramaturgie classique

SYNTHESES : Préparation à la dissertationI. Le comique moliéresque[footnoteRef:1] [1: Tableaux d’après la fiche 4, pages 214-218 de l’ouvrage Hatier.] Le comique naît toujours d'un décalage, d'une sorte d'incongruité. Selon Bergson, le comique est « quelque chose de mécanique dans quelque chose de vivant[footnoteRef:2] ». Celui qui se comporte de façon absurde ou mécanique suscite le rire car son attitude dérange l'ordre social, régi par des règles, la rationalité ou le réel. Au XVIIe siècle,

visite Coupeau sur son lit de mort. Les médecins qui examinent et l’interne qui veille sur le patient sont des personnages secondaires, mais restent tout de même très importants dans cet extrait. Dans un premier temps, le thème de la mort et de la souffrance et omniprésent. Coupeau est mourant et Zola nous fait une description contrastée de la scène tant de façon morbide que comique. Dans un second temps, Zola fait de cet extrait une satire contre la médecine. Étant naturaliste, il use de la science

son analyse : l’origine de la grande comédie, responsable de son côté humoristique, thème qu’il aborde dans les vers un et de deux de cette citation (Les passages "ennemi des soupirs" et "n’admet point de tragiques douleurs" évoquent bien ce côté comique), la forme de ce genre nouveau, évoquée dans les vers 5 à 9 (notamment dans les passages "ses discours partout fertiles en bons mots" et "son style humble et doux" qui parle effectivement de règles nouvelles) et enfin son fond, dont il fait allusion