Le Négationnisme

travers cela une critique de la condition humaine face au régime totalitaire qui est capable de transformer un intellectuel en un mouton asservi à la cause du régime. De plus, nous voyons que Botard est devenu rhinocéros malgré ses critiques et son négationnisme face à la «rhinocértie » : «  Que voulez-vous que j’en pense ! J’ai une nouvelle fraîche à vous donner : Botard est devenu rhinocéros » (page 204). Nous voyons que Botard a voulu suivre ses chefs en se transformant : «  Je sais qu’il était contre

mais admet quand même des lois normatives (Loi Guessot ou Loi Tobira) car pour ces historiens, ce slois ne disent pas l'histoire, elles s'appuient sur l'histoire déjà faite par les historiens. La liberté de la recherche n'est pas la liberté du négationnisme. La recherche sur les camps de concentration et d'extermination n'est plus mise en cause. Le politique a compétence pour énnoncer des actes de reconnaisssance symbollique qui sont fondateurs de la conscience collective. Ces lois mémorielles comme

avons décrites : tout peut y être dit, sauf les propos qui incitent à la violence.  En France cependant, certaines paroles sont sanctionnées par la loi : quiconque nie la réalité de l'extermination des juifs par les nazis peut être accusé de négationnisme, ce qui est un délit au regard de la loi française. • Comment expliquer cette différence ? La position française se comprend : il y a des opinions qui sont interdites, parce qu'elles sont d'une part fausses (et donc qu'elles n'auront jamais aucun

situation. Mais cette liberté d’expression est souvent restreinte par certaines conditions particulières qui interdisent l'incitation à la haine raciale, nationale ou religieuse ou l'appel à la violence physique contre les individus, ou encore le négationnisme. En effet, la constitution garanti le principe fondamental qu’est le respect de la vie privée (Vie familiale, l’honneur, la réputation, le droit a la protection de son image,…).En effet, les informations doivent avoir été obtenues avec l’accord

de le traiter, Alain Resnais dans Nuit et Brouillard fait appel au devoir de mémoire, il alterne images d'archives de la découverte des camps et prises de vues réelles 10 ans plus tard. Le film pose un jalon contre une éventuelle avancée du négationnisme, lorsque l'on regarde le film les images du passé et du présent ne fusionnent pas, comme si l'horreur n'avait jamais eu lieu. La scène d'ouverture de Hiroshima mon amour est traité avec similitude puisque deux regards s'opposent, celui de la femme

rapport mémoire/histoire (p. 79 : « Quels rapports entretiennent la mémoire et l’histoire » ? + texte de Pierre Nora), Mémoire de Vichy (p. 103), Historiographie (p. 84), Devoir de mémoire (p. 92), Travail de mémoire (p. 124), génocide (cf. cours), négationnisme (p. 92), Lois mémorielles (paragraphe de droite p. 79), « Juste parmi les nations » (légende doc. 5 p. 93), Shoah (cf. cours). Ce que je dois être capable de faire à partir du cours (quelque soit la nature de l’épreuve au baccalauréat) : Faire

Dans cette dernière hypothèse, les règles habituelles visant à lutter contre le racisme suffisent en effet à assurer une répression adéquate. Il faut ici remarquer que la France n’est pas la seule à s’être dotée d’un texte pénal incriminant le négationnisme : il existe des dispositifs comparables en Allemagne, en Suisse, en Belgique ou encore en Autriche. Le texte d’incrimination autrichien est même plus large que le nôtre, qui se contente de faire référence à la contestation du génocide, puisqu’une

histoire commune. D’autant plus que l’enseignement de l’histoire doit être tout à fait impartial, car si ce n’est pas le cas on ne parlerait plus d’histoire mais bel et bien de mémoire. Ce révisionnisme est d’autant plus pervers, car il frôle le négationnisme, preuve en est : le massacre de Nankin. Un manuel japonais pousse le lecteur à ne pas le prendre en compte, ou du moins pas plus qu’une vulgaire chimère. L’évènement est pour autant tout à fait véridique. Tout cela dans un but patriotique, celui

la mémoire collective en décida autrement. Les mémoires devinrent un enjeu social… Mais également un politique, donc un électorat potentiel, ce que critiquèrent, et critiquent toujours, vivement les historiens… Face à une montée récente du négationnisme, probablement dû à une montée des partis d’extrême droite, c’est à dire le fait de minimiser, voir de nier l’existence du génocide juif, des mesures furent prises en faveur des mémoires, la loi Gayssot, qui réprimande quiconque nie le fait que

pour les juifs, et la Naqba (« catastrophe ») pour les Arabes suite à l’expulsion de 1948. Il rejette l'utilisation de la Shoah faite par les israéliens et leurs défenseurs, devenue une stratégie politique. Et il dénonce par la même occasion le négationnisme de certains opposants à Israël. Il distingue deux leçons qui peuvent être tirées après le génocide juif et développées par Tom Segev: la première étant l'irréprochabilité d'Israël depuis la Shoah alors que la seconde consiste en ce que la Shoah