Le Pain noir

les ventres affamés. On mangea beaucoup de racines (ignames, patates douces, dachines/madères, choux/malangas), de ti-figues/ti-nains, de poyos, de bananes plantain, de légumineuses (lentilles, pois boukoussou, pois savon/chousse ...), de fruits à pain. Comme chair, il y avait la morue salée. La viande et le poisson étaient rares, réservés aux plus aisés. Chacun possédait un petit jardin où était cultivé de quoi améliorer les repas : giraumons, gombos, épinards, piments, oignons-pays, ti-concombres

| |FROID

Tapas

Jambon Serrano aux Tomates Confites
Petits Croûtons de Brebis, pâte de Coing
Magret séché au Chutney de Fruits de saison 
Truite Fumée de Banca

Tartelettes

Brandade de poissons | |fins 
Boudin Noir aux Pommes à l’air 
Allumette au Fromage 
Samossa à l’Agneau de 7 Heures 

Brochettes

Tomates cerise et anchois 
Crevettes et Olives 
Panaché de Melon 


CHAUD

Accra de | |Jambon Serrano 
Accra de Fromage 
Accra de Poissons fins 
Queue de Crevette

|6.50 5.50 |PKT | |BREAD WITH CHOCOLAT |PAIN AU CHOCOLAT |1.00 0.95 |PC | |BRIE |FROMAGE BRIE PORTION |6.50 5.50 |PKT | |BREAD WITH DRY GRAPE |PAIN FOURRE RAISIN | 1.00 0.95 |PC | |BUTTER

retirent en nous disant adieu », montre l'esthétique des vanités l’argent (la bourse), la grosse perle, les cartes diraient la vie dissolue; le valet de trèfle sur la carte de cœur dirait le jeu amoureux; le miroir montre la fragilité des apparences. Pain et vin: symbole de l'eucharistie. Ce tableau est une "vanité", genre très pratiqué à l'époque baroque - particulièrement en Hollande - et à haute valeur symbolique. Son titre et sa conception sont à mettre en rapport avec cette citation de l'Ecclésiaste:

Nuremberg. de Francfort, de Vienne, de Strasbourg; Leberwurst de la région de Kassel, «Weißwurst» de Munich, «currywurst» de Berlin, Bragenwurst de Basse Saxe, Knackwurst du Sud-ouest de l'Allemagne (pour accompagner la choucroute), Blutwurst (boudin noir, qui se mange Himmel und Erde, c'est-à-dire Himmel pour purée de pommes [de CIEL], Erde pour purée de pommes de terre, accompagné d'oignons dorées). Mais on trouve aussi des spécialités de jambon, de jambonneau ou jarret de porc (Eisbein): Jambon de

réalisme et rejoint-elle Zola ? Réalisme dans les actions, cadre spatio-temporel : bcp de descriptions, qui touchent à tous les sens (olfactif, visuel …). Nous avons une indication sur l’âge (« petits »), et une large description sur la fabrication du pain par le boulanger (réalisme indéniable) + l’évocation des petits pauvres ( mouvement de précision croissant dans les détails (les évoquer). Evocation de « grillons » : vrais insectes, réalisme, poids réel. Réalisme mais plus encore naturalisme ( le

II/ Le Tableau Dans ce tableau, à l’avant-plan, une jeune femme nue est assise entre deux hommes vêtus avec soin de costumes contemporains et qui semblent converser entre eux en l’ignorant. A sa droite, un panier de fruits renversé et un pain rond sont disposés comme dans une nature morte. À l’arrière plan, une autre jeune femme, vêtue d’un tissu léger, se baigne dans une petite rivière. Le Déjeuner sur l’herbe est une huile sur toile de dimensions imposantes (500 cm x 343 cm) datant

besoins nécessaires à la vie. Le besoin s’apparente donc à une nécessité vitale, qui porte sur un objet clairement déterminé (eau, pain…). Il existe tout de même différents besoin, autant physiologique que matériel. Les besoins restent quelque chose qui existe de façon sure quelque part dans le monde.  Le désir quand à lui déborde le besoin. On aura besoin d’eau et de pain lorsqu’on désirera du caviar et du champagne. Le désir n’est pas un objet désigné par avance, et se caractérise souvent par du superflu

le mal et le dormeur du val (l-6) « et fait de cent milliers d’homme un tas fumant » (l-12 à 13)  « Et se reveille, quand des mères, ramassées dans l’angoisse, et pleurant sous leur vieux bonnet noir » (l-13 à 14) «il dort dans le soleil la main sur sa poitrine tranquille. Il a deux trous rouges au coté droit » Dans Morts de 93  Rimbaud s’oppose très clairement à la

Je viens d’aller échanger contre du lait, les tickets de rationnement bleu clair, que tu m’avais envoyés à Noël. J’en ai bu quelques gorgées dans la rue et en rentrant, je me suis remplie l’estomac d’une bouillie de semoule et de quelques croûtes de pain. Je devrais être rassasiée comme je ne l’ai pas été depuis longtemps pourtant je suis toujours tenaillée par la faim. Manger m’a donné plus faim encore. Dans la maigre collection de livres du propriétaire, j’ai trouvé un roman dont l’histoire se déroule