Le Papillon Lamartine

splendide y rôde Et, sur mes cils mi-clos alanguis de sommeil,  De mille éclairs furtifs forme un réseau vermeil  Qui s'allonge et se croise à travers l'ombre chaude. Vers la gaze de feu que trament les rayons,  Vole le frêle essaim des riches papillons  Qu'enivrent la lumière et le parfum des sèves ; Alors mes doigts tremblants saisissent chaque fil,  Et dans les mailles d'or de ce filet subtil,  Chasseur harmonieux, j'emprisonne mes rêves. Emile Verhaeren , les usines – p 282 Se regardant

hostile et indifférent. De nombreux poèmes de ce mouvement parlent de la nature, considérée comme un refuge, le paysage trouve donc une signification pour chaque auteurs. C'est également une manière de critiquer la société et l'engagement politique. Lamartine et Hugo, principaux poètes du Romantisme revendiquent la fonction de mage visionnaire, qui doivent guider les foules. Ce mouvement comporte aussi des innovations poétiques telles l'usage de termes populaires, l'utilisation fréquente du style lyrique

Victor Hugo - Celui qui ne craint pas d'agir ne craint pas de parler- Sophocle - Un petit chez soi vaut mieux qu'un grand chez les autres- proverbe chinois - Maison de paille où l'on rit vaut mieux qu'un palais où l'on pleure- - L'enfance est un papillon qui se hâte de brûler ses blanches ailes aux flammes de la jeunesse-Aloysius Bertrand - La jeunesse heureuse est une invention de vieillards- Paul Guimard - Un frère est un ami donné par la nature- Gabriel Legouvé - Il y a quelque chose de plus

René Char-p13 Les yeux brillants de Michel Butor -p14 Les enfants qui s’aiment de Jacques Prévert -p14 L’amour et la folie de Jean de la Fontaine -p15 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire -p16 -le temps qui passe p17 à p24 Le lac de Lamartine -p18-19 Demain de Robert Desnos-p20 Poème de Samuel Beckett-p20 Le temps de vivre de Boris Vian-p21 J’ai bien le temps de vivre de Claude Roy-p22 Pourquoy m’as-tu vendu, jeunesse de Charles d’ORLEANS-p22 Le temps perdu de René-François Sully

c'est pourquoi il n'est pas représenté dans cette anthologie. Cependant la richesse du XIXe justifie le fait que ce soit la période la plus représentée dans mon anthologie avec de grands noms comme Victor Hugo, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. A mes yeux cette période est l'âge d'or de la poésie, elle a vécu ses plus grands moments de gloire. Pour conclure mon tracé historique je suis presque remonté jusqu'à nos jours avec Guillaume

nommer ou décrire, importance des sensations, subjectivité de la connaissance A la fois un art et un mode de vie. Auteurs cherchent à dévoiler le surréel dans leur vie. Ecriture libre de toute règle Auteurs Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Alphonse de Lamartine Hérédia, Th. Gautier Verlaine, Rimbaud André Breton, Philippe Soupault, Louis Aragon Œuvres « Le dormeur du Val », « Le Lac » Vénus de Milo Brise Marine, Clair de lune « Le paysan de Paris », « Champs magnétiques » Poésie médiévale Introduction

“Rayons et des ombres” présente d’abord, pour le tableau et l’évocation du pélerinage, des sizains où on a, deux fois, deux alexandrins aux rimes suivies suivis d’un hexasyllabe (les deux vers rimant), et on peut donc, à partir de l'exemple du Lac de Lamartine, les considérer comme des strophes doublement élégiaques, car les vers plus courts (donc allongés car chaque vers doit recevoir le même souffle) sont plus chargés d’émotion. Pour le discours du poète, les trophes sont des quatrains d’alexandrins

“Rayons et des ombres” présente d’abord, pour le tableau et l’évocation du pélerinage, des sizains où on a, deux fois, deux alexandrins aux rimes suivies suivis d’un hexasyllabe (les deux vers rimant), et on peut donc, à partir de l'exemple du Lac de Lamartine, les considérer comme des strophes doublement élégiaques, car les vers plus courts (donc allongés car chaque vers doit recevoir le même souffle) sont plus chargés d’émotion. Pour le discours du poète, les trophes sont des quatrains d’alexandrins

XXè siècle que je côtoyais tous les jours, des Français idéalisés tels qu’ils m’étaient apparus à travers l’enseignement remarquable qui m’avait été donné de la littérature française : entre Corneille, Racine, Molière, La Bruyère, Chateaubriand, Lamartine, Victor Hugo, Balzac et Zola et le parisien du XXè siècle, je ne m’y retrouvais plus du tout. Mais tout cela est une autre histoire que je ne raconterai pas ici. Rentré au Liban à l’âge de 22 ans, je fis une autre découverte effarante : mon pays

moi. Tiens ! la petite bête est morte. Je n'ai pas mis hier encor, Tant ma rêverie était forte, Au trou de rubis la clef d'or ! Et je ne vois plus, dans sa boîte, Le fin ressort du balancier Aller, venir, à gauche, à droite, Ainsi qu'un papillon d'acier. C'est bien de moi ! Quand je chevauche L'Hippogriffe, au pays du Bleu, Mon corps sans âme se débauche, Et s'en va comme il plaît à Dieu ! L'éternité poursuit son cercle Autour de ce cadran muet, Et le temps, l'oreille au couvercle