Le Passager de la pluie

elle est aussitôt retrouvée par ses anciens geôliers, et les sert désormais vêtue d'une soutane. Un jour de prêche, mue par une impulsion soudaine elle dénonce ses geôliers devant toute l'assistance (p 103-105) et s'enfuit. Eperdue elle erre sous la pluie et s'effondre (morte ?). Interlude : résilience Musango s'éveille dans une grotte, où elle rencontre une vieille femme qui porte le même nom, et n'est autre qu'elle-même plus âgée. Tout cet épisode de renaissance est une sorte d'hallucination

mois après le début de la conflagration et nous dit l’histoire d’une troupe à l’aide d’une narration à la première personne faite par un soldat éduqué dont on ne connaît pas le nom qui observe les événements desquels il fait partie lui aussi. Des passages descriptifs en même temps poétiques et poignants sont entremêlés avec les très détaillées portraits de la vie que les soldats ordinaires menaient dans les tranchées où ils vivaient enterrés dans la boue et l’excrément. Parmi ces tableaux descriptifs

Mémoire individuelle et mémoire collective dans Pluie et Vent sur Télumée Miracle de Simone Schwarz-Bart Noëlle Carruggi New School University/USA City University of New York “Pour exprimer l’imaginaire du monde l’écrivain doit partir d’un lieu” (Glissant, PD, 133) La question de l’articulation entre mémoire et imaginaire date de la nuit des temps. La mémoire n’est pas simple résurgence du passé mais tissage sélectif dans lequel l’empreinte qu’ont laissé certains événements sur notre subjectivité

sur la nature comme l’atteste le champ lexical d’une nature triste et morne (« le grand bois jaunissant » (v. 4), « l’automne décline » (v. 5), « le soleil est la pluie ont rouillé la forêt » (v. 6), « déchire ce brouillard » (v. 12)). Ses émotions sont aussi projetées sur le climat qui, lui aussi, prend une teinte monotone : « la pluie » (v.6), « brouillard » (v. 12). Le poète compare même explicitement ses chansons au climat au vers 14 : « mes chansons, comme un ciel d’automne rembrunies ». La projection

des il marchait arrogamment une main à la rêne et de l’autre le fouet, il chantait au pas des bêtes, Le climat changeait, le parler changeait …. Aujourd’hui l’orage Rapidement comme toujours dans ce pays les nues s’enflèrent Ensuite la pluie venait la laide pluie continuelle , il fallait conduire les bêtes de manière à éviter les ornières , Le retour sur la route n’était pas commode, Le bourretier faisait claquer son fouet, C’était un éclat répété , un vacarme, un cliquetis qui ressemblait à

L’Europe après la pluie II, Max Ernst I.Présentation 1.L’artiste Max Ernst, né en en 1891 à Brühl en Allemagne, et décédé en 1976 à Paris, est un artiste français d’origine allemande. Il a pratiqué la peinture et la sculpture tout au long de sa vie. Il faisait partie des artistes s’exprimant grâce d’abord à l’expressionisme puis au Dadaïsme et au surréalisme. Deux de ses œuvres les plus célèbres sont Le rossignol chinois, un photomontage et L’éléphant de Célèbes, une peinture mélangeant le surréalisme

décalage entre les deux = impossible de dominer et d’être maitre du monde. Définir le monde comme « un cachot » (prison) : L’humain est rejeté, puni à quitter un monde idéal (l’au-delà) pour subir la vie dans le monde d’ici-bas : monde matériel, passager, le monde des péchés, des vices, des souffrances : l’humain est condamné à vivre dans le monde. Etre au mondeEtre dans le monde. Exister pleinement.Etre autonome et libre. Affirmer sa présence. Acteur, actif. Se trouver enfoui et jeté dansUn monde

| |Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là | |Et tu marchais souriante | |É panouie ravie ruisselante | |Sous la pluie | |Rappelle-toi Barbara | |Il pleuvait sans cesse sur Brest | |Et je t'ai croisée rue de Siam

dit ce n'est rien d'autre qu'un affreux velléitaire 21:00 Publié dans Très long texte | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Littérature, Poésie mardi, 03 octobre 2006 ... au creux de tes reins ... texte comme la pluie comme les pierres s'attardant traînant son absence d'inspiration au cours de deux longues semaines un texte se meut ou se meurt sans le mouvement des lignes ou des doigts sur la page ou des doigts sur le clavier ou du mercure dans la caboche pas moyen

tous ensemble au manoir familial avec sa famille et ses parents. Décidément le destin en aura fait autrement. Le retour de l’enterrement fut trop long au gout de Martin, sa femme dormait sur le siège passager, lui essayait de conduire mais ce n’était pas évident à cause d’une énorme tempête de pluie qui l’empêchait de voir au loin. Il avait l’impression que tout allait contre lui, ce maudit temps qui durait depuis des mois, ces parents qui décédaient dans un accident de la route, ses trente-sept