Le Penseur

cohérente. Ce fut également la démarche de Thomas d'Aquin et de Descartes. Mais la Renaissance marque le début d'une rupture entre les démarches scientifiques et philosophiques d'une part et d'autre part la démarche religieuse Certains penseurs vont en effet mettre en lumière les contradictions entre les données expérimentales et celles de la Foi. On commence à contester que l'homme soit au centre de la création et la terre au centre de l'univers ; on en vient à dire que le soleil lui-même

(1265-1321), auteur de la Divine Comédie 4) L’Humanisme : a. Chez les Grecs, étudier les « humanités » consistait à étudier l’homme en opposition à l’étude des dieux. b. Penseurs grecs précurseurs de l’humanisme b.i. Protagoras : « L’homme est la mesure de toute chose. » b.ii. Socrate : « Connais-toi toi-même » c.  Les penseurs et les artistes de la Renaissance d’intéressent davantage à la condition humaine. En opposition, le Moyen Âge envisageait l’homme dans une perspective religieuse. d. L’humanisme

1/ vie et oeuvre de Montesquieu Montesquieu, de son vrai nom Charles Louis de Secondat de la Brede, est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières, né le 18 janvier 1689 à La Brède dans une famille de magistrats de la bonne noblesse (Guyenne, à côté de Bordeaux) et mort le 10 février 1755 à Paris d'une "fièvre chaude" (fièvre ardente). Il est inhumé le 11 février 1755 dans la chapelle Sainte-Geneviève de l'église Saint-Sulpice à Paris.

ses origines remontent aux civilisations grecque antique et plus précisément au VIIe siècle avant JC. Il y existait des « penseurs » dit Présocratiques (n.b. Avant l’existence de Socrate) qui furent les premiers (tout du moins les premiers à en laisser une trace jusqu’à notre ère) à avoir étudié, entre autres, les Sciences Physiques. Cela marque un tournant par rapport aux penseurs qui les ont précédés dont les doctrines étaient majoritairement centrées autour de la mythologie, les dieux et les poèmes

phénomène largement étudié alors que le néologisme « bientraitance » n’apparaît même pas dans les dictionnaires. Nadia Péoc’h l’atteint en s’appuyant d’abord sur une étude étymologique, sémantique et historique; en relavant chez les philosophes et penseurs ce qui pour chacun d’eux définit l’homme et fonde son activité : le bonheur et la sagesse pour Aristote, le respect et la dignité humaine pour Kant, « l’être au monde » chez Heidegger, le « vécu indissociable de la corporéité » chez Merleau Ponty

nombreux et divers. Pour n’en citer que quelques-uns parmi ceux reconnus comme « grands penseurs libéraux » à la naissance du libéralisme, on évoquera Locke au XVIIe siècle, Turgot ou Smith au XVIIIe siècle. La diversité de leurs écrits ne peut se comprendre qu'en fonction du contexte historique avec lequel ils étaient en interaction. Parallèlement, avec le développent de la circulation des échanges en Europe, des penseurs plutôt connus en tant qu'économistes, comme Turgot et Adam Smith prennent soin de

été l'un des artisans les plus actifs à la formation d'un mouvement néolibéral international regroupant principalement des penseurs nord-américains mais aussi européens, qui formeront en 1947 « La sociétés du Mont-Pèlerin » ou « les compagnons du Mont-Pèlerin », qui se présente comme étant un laboratoire d'idées (think tank) et d'échange, et qui compte dans ses rangs des penseurs tels : Milton Friedman, Michael Polanyi, Karl Popper ou Maurice Allais, pour n'en citer que ceux là. Cette « sociétés »

défense du monde ouvrier s’instaure, Markx, Engels et autre en sont les portes drapeaux. B. Plaidoyers pour la science et le progrès Il y a de grands progrès techniques et scientifiques ce qui provoque l’enthousiasme de nombreux écrivains et penseurs. Ces découvertes scientifiques tendent à expliquer le monde et il y a une passion pour le progrès qui transforme les modes de vie et de pensée. Le temps est au positivisme, un courant de pensée fondé par Auguste Comte. Il y a, comme au début de

humanité de ceux-ci » et « tout peuple qui pourrait être découvert dans l'avenir ». Il y eut ensuite la Controverse de Valladolid de 1550 à 1551 qui opposait le dominicain Bartholomé de las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepulvéda. Les deux penseurs ont alors débattu pendant des mois en partie au travers de lettres, si les Espagnols pouvaient coloniser et dominer les Amérindiens par droit de conquête avec la justification morale selon laquelle il mettrait fin aux pratiques précolombiennes comme

cours de ces décennies ? Mais pourquoi parler de théorie et de faits puisque notre cours est un cours d’histoire de la pensée ? C’est que l’histoire de la pensée économique englobe l’histoire des faits et l’histoire de théories. L’archétype du penseur n’est-il pas Platon, ou Aristote ? Et est-il possible de comprendre leurs pensées sans faire référence aux faits qu’ils ont pu observer, à la société dans laquelle ils vivaient et à la compréhension (aux théories) alors en vigueur? Certes il y