Le Pere Goriot Ouverture

L'extrait étudié, l'excipit du roman, relate le somptueux mariage de duroy à Paris, avec Suzanne la fille d'une de ses maîtresses. Le passage est significatif du " trajet " de Bel-Ami : plus qu'un mariage, c'est un sacre. Notion d'excipit : ouverture sur une suite que l'on peut imaginer. Analyse : I. Le sacre de Bel-Ami A) Les procédés stylistiques - Métaphore filée qui le présente comme un roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ". Métaphore préparée par les

des lieux sont très précis « Port Louis de l'Ile de France » (ligne 1), « quartier des Pamplemousses » (ligne 6). Le récit est ici fait au présent, « s'étend » (ligne 8), comme si l'on voyait en temps réel ce que nous montre le narrateur. Cette ouverture respecte la fonction de l'incipit, qui est de donner envie au lecteur de continuer le roman, car, dans la seconde partie du récit, le personnage du « vieillard » annonce que la suite du roman raconte une histoire qu'il dit « touchante » (ligne 35)

Tropisme, de Nathalie Sarraute, démontrent un style qui incorpore le lecture pour la creation de l’histoire, un style qui définit la literature contemporaine. Les romans traditionnels créer un monde complet grace au details physique. Dans Le Père Goriot, par Balzac, les descriptions sont longues, et extrêmement détaillé. «demoiselle Michonneau gardait sur ces yeux fatigués un crasseux abat-jour en taffetas vert, cercle par un fil d’archal qui aurait effarouché l’ange de la pitié. Son châle a franges

attentivement le texte afin d’en percevoir rapidement le contenu global et l’intérêt. 1- Le paratexte Le paratexte donne des indices indispensables et précieux qui permettent de connaître le contexte littéraire et historique du texte étudié (ex : Le Père Goriot, Balzac, 1835, incipit). 2- Examiner le texte Il faut rapidement définir : le genre du texte (ex : roman, nouvelle, comédie, tragédie, poésie…) afin d’en étudier les spécificités. son registre1 (ex : pathétique, épidictique, satirique, lyrique,

chacune de ses filles de 20 millions de francs. En surprenant sa femme en flagrant delit d'adultere avec un ministre, Duroy obtient le divoce. Devenu Georges du Roy de Cantel, il seduit la plus belle des deux filles de Walter, suzanne et force son pere a lui la laisser en mariage. A la fin du roman et apres trois ans seulement, le baron Georges du Roy de Cantel epouse Suzanne Walter a la Madeleine. L'ascenceion fulgurante de Bel-Ami, grace aux femmes est, pour Maupassant, l'occasion de critiquer

sur les femmes (celles du restaurant par exemple) et son aspect beau garçon quelque peu arriviste. Les thèmes majeurs du roman dévoilés dans cette ouverture (argent, femmes et ascension sociale) et le titre Bel-Ami (sorte de sobriquet affectif) nous renvoient à penser à d'autres œuvres dont les thématiques majeures sont assez similaires comme Le Père Goriot de Balzac , Le Rouge et Le Noir de Stendhal ou encore L'éducation sentimentale de Flaubert.

peut distraire le lecteur, susciter l'émotion, le rire ou les larmes. Manon Lescaut, le chevalier des Grieux la pitié du lecteur. Dracula, le monstre de Frankenstein… 2. Un personnage peut donner lieu à une analyse psychologique. Le bovarysme. Le père Goriot, ce Balzac : Le "Christ de la paternité". Chez Balzac, encore : l'avarice de Grandet, l'ambition de Rastignac. Meursault dans L'Étranger, de Camus. 3. Un personnage peut être un outil au service d'une œuvre d'art. Zola peut transformer des objets

Cervantès propose à la fois un modèle de héros et la dérision de ce modèle. Pour répondre à cette problématique, nous envisagerons tour à tour l’aspect parodique de l’extrait, les effets néfastes de la lecture ainsi que le programme inscrit dans cette ouverture. Conclusion : 1- Nous avons un personnage désuet, anachronique, dans une Espagne qui se modernise. 2- Un personnage intéressant dans sa fonction anti-héros. Complément culturel – Gustave Doré, illustration : La folie de Don Quichotte. 1. Adéquation

ses enfants afin de « noyer dans le sang le reste de leurs flammes », cela nous laisse supposer que les enfants sont le lien entre elle et Jason, elle a brisé ce lien par sa haine. Cette haine la rend odieuse comme on le voit dans les vers « heureux père et mari » alors qu’elle vient de tuer ses enfants, « va posséder Créuse », « va bienheureux amant cajoler ta maîtresse » alors qu’elle vient de la tuer aussi. Cette ironie est synonyme d’excitation à la haïr progressivement, elle utilise les points

et éprouve malgré tout des sentiments, sans aucune arrière pensée de manipulation : il aime Mme de Marelle d'un amour sincère. 4. Conclusion Ce passage marque la fin du roman mais ne marque pas la fin du parcours de Duroy. Cet excipit est une ouverture ; au lecteur d'imaginer quel parcours va suivre l'ascension fulgurante de Duroy... Il faut lire ce passage en parallèle avec l'incipit : Le portrait final de Duroy dans l'excipit fait écho aux traits de caractère décelés dans l'incipit : fierté