Le Personnage D Homais

Noblesse est ainsi marquée dans l’œuvre par des personnages tels que Jean-Antoine d’Andervilles d’Yverbonville, Comte de la Vaubyesard et le Baron de la Fresnoye. Le Clergé quant à lui est représenté par le Curé Bournisien et le Tiers-Etat est constitué de la Bourgeoisie et du prolétariat. Rodolphe Boulanger riche propriétaire de la Huchette, le père Rouault riche fermier, Homais le pharmacien et la société Yonvillaise sont des personnages et lieux qui reflètent la bourgeoisie dans l’œuvre

« lecture en diagonale », les passages importants au service de la satire sociale. Sujets : « Homais ou l’incarnation du ridicule » « Charles Bovary : un personnage pathétique ? » « L’image du clergé dans le roman » « Les amants d’Emma » « Rêves et illusions d’Emma » « L’ennui et désenchantement » « le personnage de Lheureux » « La campagne / la ville » « Le peuple »

 TP d’une œuvre littéraire : Madame Bovary La métamorphose de Léon Dupuis Léon Dupuis est un personnage qui bouleversera la vie du personnage principal, Emma Bovary. C’est un personnage qui changera le déroulement de l’histoire, et qui permettra aux lecteurs de mieux connaître Emma Bovary, une femme qui se marie très jeune avec un veuf (Charles Bovary) et qui, à travers des romans, a idéalisé sa vie. Léon est un jeune clerc chez maître Guillaumin, un notaire. Il

| | | | | | | |La façon de parler: chaque personnage possède le langage de sa | | | |classe sociale, en accord avec sa psychologie. Ainsi le père | | | |Rouault

 Littérature: Mme Bovary, G. FLAUBERT Parmi les nombreuses critiques faites à l'œuvre Mme Bovary de Flaubert publiée en 1857, celle de Baudelaire-poète du XIXe siècle- cherche à comprendre le personnage féminin d'Emma Bovary. Il la considère avec « ce double caractère de calcul et de rêverie qui constitue l'être parfait ». Flaubert est à son image, il le revendique dans une lettre à Louise Colet en 1852 : « il y a en moi, littérairement parlant, deux bonhommes distincts : un qui est épris de

CHARLES BOVARY PATRIZIA OPPICI Fabuleux destin celui de « Charbovary », le garçon ridicule , le mari trompé, le lourdaud qui pèse de toute sa bêtise sur l’existence d’Emma ? Ce titre, je le sais, a de quoi surprendre. Et pourtant c’est bien ce personnage « vide » dont le roman de formation à peine esquissé se laisse remplir tout entier par l’histoire d’une femme qui a pris son nom, qui a inspiré, à la fin du XXe siècle, une série de réécritures du roman de Flaubert. Le premier en date est Charles

comportement cynique, où se cache la peur d’évoquer Emma, n’évoquant que « bestiaux, culture, engrais », et évitant toute « allusion ».Quant à Homais, il recevra tous les honneurs possibles : Protégé par « l’autorité, le ménage et l’opinion publique », il obtiendra la « croix d’honneur », son triomphe étant évidemment en contraste avec celui des Bovary. Ce même personnage poussera le vice jusqu’à assassiner Charles une seconde fois, puisqu’on l’autopsiera « à la demande de l’apothicaire ». L’absence de morale

des attentes des deux siècles qui la précèdent; ce que Sarraute appelle « les formes connues et déjà utilisées ». Il s'agira pour continuer d'assimiler ce qu'est « [ce] nouveau mode d'expression, [ces] nouvelles formes ». Concevoir que la place du personnage et de l'intrigue est bouleversée dans le Nouveau Roman, que l'écriture est désormais sa propre fin. Autrement dit que l'on nie devoir l'utiliser au service d'un sens. Il faudra terminer par s'expliquer les notions d'inconnu et d'invisible. Expliquer

guider les hommes et améliorer leur sort. D’où cet engagement en faveur des plus pauvres que l’on trouve aussi en Angleterre avec Dickens. Engagé contre la misère, Victor Hugo s’en prend à une société qui punit au lieu d’éduquer en imaginant le personnage de Jean Valjean dans Les Misérables. Il avait déjà pris parti contre le système judiciaire dans deux petits romans de jeunesse, comme Le dernier jour d’un condamné (1829). D’autres écrivains empruntent cette voie du roman social, comme Eugène Sue

) ; toutes les classes sociales y sont représentées spécialement la bourgeoisie dont l’auteur dresse un portrait féroce puisqu’elle incarne à ses yeux l’esprit de l’époque , dominé par la volonté de réussite , l’égoïsme et le conformisme.. Ces personnages offrent un piètre panorama de l’humanité , dénonçant le pessimisme de Flaubert qui naît de l’amère conviction que la vie terrestre n’a ni sens ni but et qu’elle est une « triste plaisanterie » . L’art seul peut consoler .L’unique mission de l’artiste